Ce "travail" devait être la réalisation de la conscience cosmique ou Unité, et l'exploration des plans de conscience au-dessus du mental ordinaire, ou Supraconscient, qui allait mettre Sri Aurobindo sur la piste du Grand Secret. Ce qui m'arriva pendant cette période, je ne suis pas poussé à le dire, sinon que jour après jour, Il me montra Ses merveilles... Pendant douze mois d'emprisonnement, jour après jour, Il me donna la Connaissance.
(...) Car, en vérité, Dieu n'est pas en dehors de Son monde, Il n'a pas "créé" le monde - Il est devenu le monde, dit l'Upanishad : "Il est devenu la connaissance et l'ignorance. Il est devenu la vérité et la fausseté... Il est devenu tout ce qui est" (Taîttiriya Upanishad II.6).
(...)
Il faut regarder en face la réalité, courageusement, et voir que c'est Dieu, et nul autre, qui a fait ce monde dans son être et qu'Il l'a fait tel qu'il est. Il faut voir que la Nature dévorant ses enfants, le Temps qui se repaît de la vie des créatures, la Mort universelle et inéluctable, et la violence des forces de Roudra* dans l'homme et dans la Nature, sont aussi la Divinité suprême sous l'un de ses aspects cosmiques. Il faut voir que Dieu le créateur prodigue et bienfaisant, Dieu qui garde et qui sauve, la miséricorde puissante, est aussi Dieu qui dévore et Dieu qui détruit. Le tourment du lit d'angoisse et de mal sur lequel nous sommes écartelés est de Sa main, autant que la joie et la douceur et le plaisir. C'est seulement quand nous voyons avec l'œil de l'union complète et que nous sentons cette vérité jusqu'au tréfonds de notre être, que nous sommes capables, alors, de découvrir entièrement, derrière ce masque, le calme et beau visage de Celui qui est toute-félicité, et de sentir dans la main qui met notre imperfection à l'épreuve, la main de l'ami et du constructeur de l'Esprit dans l'homme. Les discordes des mondes sont les discordes de Dieu et c'est seulement en les acceptant et en progressant à travers elles que nous serons capables d'arriver aux hautes concordes de sa suprême harmonie et aux sommets, aux immensités vibrantes de son Ânanda* transcendant et cosmique... Car la vérité est le fondement de la vraie spiritualité, et le courage est son âme.
(...)
Pourtant, un abîme reste encore, entre cette imperfection, divine peut-être, et l'ultime Perfection; ce Divin cosmique n'est-il pas un Divin amoindri? n'est-ce pas ailleurs qu'il faut tendre, vers un Divin non-souillé, transcendant et parfait? Peut-être existe-t-il une opposition entre la vie spirituelle et la vie du monde, mais c'est pour jeter un pont sur cet abîme que le chercheur intégral est ici; il est ici pour faire de cette opposition, une harmonie. Peut-être le monde est-il gouverné par la chair et le diable, mais raison de plus pour que les fils de l'Immortalité viennent ici-même conquérir le monde pour Dieu et Pour l'Esprit. Peut-être la vie est-elle une insanité, mais justement tant de millions d'âmes attendent qu'on leur apporte la lumière de la raison divine; peut-être est-ce un rêve, mais c'est un rêve réel tant qu'on est dedans, réel pour tant de rêveurs à qui l'on doit apprendre à rêver des rêves plus nobles ou à se réveiller; et si c'est un mensonge, alors il faut donner la vérité à ceux qui sont trompés.
(...)
Ce monde n'est pas fini, il devient, c'est une conquête progressive du Divin par le Divin pour le Divin, afin de devenir le plus sans fin que nous devons être. Notre monde est en évolution et l'évolution a un sens spirituel :
La terre aux millions de routes peinait vers la divinité.
Que savons-nous vraiment du grand voyage terrestre? Il nous paraît tortueux, cruel, impur, mais nous sommes tout juste nés! Nous sommes à peine sortis de la Matière, boueux, petits, souffrants, comme un dieu dans une tombe et qui ne sait plus, et qui cherche, qui se cogne partout, mais quelle autre naissance, quelle mémoire revenue, quel pouvoir retrouvé, n'attendent-ils pas plus loin sur notre chemin? Ce monde est en route, nous ne savons pas encore tout le conte.
(...)
Et ce "moi", ce "je" qui proclame son Identité avec Dieu, n'est celui d'aucun individu privilégié - comme s'il y avait encore place pour un petit je personnel et exclusif dans cette éclatante ouverture, comme si le sage des Upanishads, les rishis ou le Christ, avaient annexé pour eux seuls la filiation divine -, c'est la voix de tous les hommes fondue dans une conscience cosmique et nous sommes tous les fils de Dieu.
Il y a deux façons de faire cette Découverte, ou deux étapes. La première est de découvrir l'âme, l'être psychique, éternellement une avec le Divin, petite lumière de cette grande Lumière : L'Esprit qui est ici-bas dans l'homme et l'Esprit qui est là-bas dans le Soleil, en vérité sont un seul Esprit et il n'en est pas d'autre", dit l'Upanishad; "Celui qui pense "Il est autre et je suis autre", il ne sait pas. C'est cette découverte de l'Esprit dedans, que les Védas, il y a quelque six ou sept mille ans, appelaient "la naissance du Fils" : "Nous l'avons vue, sa masse de rouge ardent - un grand dieu dedans a été délivré de l'obscurité" (Rig-Véda V.1.2) et dans un langage éblouissant de puissance, les rishis affirmaient l'éternelle Identité du Fils et du Père, et la transmutation divine de l'homme.
Et de la seconde où nous sommes né, nous voyons que cette âme en nous, est la même dans tous les êtres humains, et non seulement dans les êtres, mais dans les choses, latente, non-révélée.
(...)
Quand nous avons ouvert les portes du psychique, un premier stade de la conscience cosmique se dévoile. Mais le psychique qui grandit, la conscience-force qui s'individualise et devient de plus en plus compacte, serrée dedans, ne se satisfait pas longtemps de cette étroite forme individuelle; se sentant Une avec Cela, elle veut être vaste comme Cela, et retrouver sa Totalité innée.(...) Sans cette semence au fond, rien ne bougerait, parce que rien n'aurait besoin de rien - c'est le Besoin du monde. C'est notre être central. C'est lui le frère de lumière qui surgit parfois quand tout semble désespéré, la mémoire ensoleillée qui nous tourne et nous retourne, et ne nous laissera point de repos que nous n'ayons retrouvé tout notre Soleil. C'est notre centre cosmique comme le psychique était notre centre individuel. (...) Les murs qui emprisonnaient notre être conscient sont abattus, renversés; tout sentiment d'individualité et de personnalité est perdu, toute impression de situation dans l'espace et dans le temps ou dans l'action et dans les lois de la Nature, disparaît; il n'y a plus d'ego, plus de personne définie et définissable, seulement la conscience, seulement la paix et la béatitude, on devient l'immortalité, devient l'éternité, devient l'infinitude. De l'âme personnelle, il ne reste qu'un hymne de paix et de liberté, une béatitude qui vibre quelque part dans l'Eternel.
(...)
Mais Sri Aurobindo n'était pas homme à se contenter de rêveries cosmiques. L'authenticité de l'expérience, et son efficacité pratique, peuvent immédiatement se vérifier par un test très simple, c'est l'apparition d'un nouveau mode de connaissance, par identité - on connaît une chose parce que l'on est cette chose.
(...) La vraie connaissance ne s'obtient pas par la pensée, dit Sri Aurobindo. C'est ce que vous êtes, ce que vous devenez. (...) Rien ne peut être appris à l'intelligence qui ne soit déjà secrètement connu, en puissance dans l'âme qui s'épanouit. De même, toute la perfection dont l'homme extérieur est capable, n'est que la réalisation de l'éternelle perfection de l'Esprit qui est en lui. Nous connaissons le Divin et devenons le Divin parce que déjà nous Le sommes dans notre nature intime. Tout enseignement est une révélation, tout devenir, une éclosion. La découverte de soi est le secret; la connaissance de soi et une conscience toujours plus large sont le moyen et le procédé.
SRI AUROBINDO ou l'aventure de la conscience Satprem (p.176-189)
Méditation de la Paix dans le monde :
http://epanews.fr/video/meditation-hebdomadaire-de-la-paix-dans-le-...
Commentaires bienvenus
Bonjour Anna
(...) La vraie connaissance ne s'obtient pas par la pensée, dit Sri Aurobindo. C'est ce que vous êtes, ce que vous devenez. (...) Rien ne peut être appris à l'intelligence qui ne soit déjà secrètement connu, en puissance dans l'âme qui s'épanouit. De même, toute la perfection dont l'homme extérieur est capable, n'est que la réalisation de l'éternelle perfection de l'Esprit qui est en lui. Nous connaissons le Divin et devenons le Divin parce que déjà nous Le sommes dans notre nature intime. Tout enseignement est une révélation, tout devenir, une éclosion. La découverte de soi est le secret; la connaissance de soi et une conscience toujours plus large sont le moyen et le procédé."
En fait si je remplace le mot Divin par Esprit Universel, je suis entièrement d'accord avec ce qu'il dit, C'est ce ans. que je n'arrête pas de dire mais bon, le monde ne s'est pas fait en 7 ans.
Voici le résumé du processus progressif des articles (1) à (11)
(1) La Conscience d'Être : " on sent un véritable courant..."
http://epanews.fr/profiles/blogs/la-conscience-d-tre
Le vide mental établit une paix intérieure.
On sent un courant, une vibration qui parcourt tout le corps. C'est une énergie qui vient d'en haut, de la Source, de l'Esprit - Shakti.
Notre être s'emplit de force. Cette Force devient un outil pour notre transformation.
Vient un moment où on découvre le Témoin, cette vibration de silence qui devient le maître intérieur en créant l'action juste du moment présent.
(2) Le mental universel et le Silence mental
http://epanews.fr/profiles/blogs/2-le-mental-universel-et-le-silenc...
Le Silence mental rend l'être transparent, sans protection : il devient plus sensible aux agressions extérieures. Mais la Force intérieure devient sa protection et lui permet de rejeter ou choisir les pensées-vibrations, qui viennent du dehors, du Mental universel. Et sa conscience s'élargit. Il devient maître du silence et du monde mental.
(3) Le Témoin, Maître de la "maison mentale"
http://epanews.fr/profiles/blogs/3-le-t-moin-ma-tre-de-la-maison-me...
On ressent simultanément deux parties distinctes dans la conscience : la partie active "l'usine à pensées" et la partie réservée, Témoin et Volonté qui observe, ajuste.
Récit de la première expérience de Sri Aurobindo.
L'être découvre que lorsqu'il sort de sa "coquille mentale", tout est possible et son action devient clairvoyante, dans un climat de paix.
(cette même liberté de l'être, de la Conscience, est démontrée par Gregg Braden, à partir d'expériences de la Science quantique)
(4) Les centres de conscience sont vibrations
http://epanews.fr/profiles/blogs/4-les-centres-de-conscience-sont-v...
Les centres de conscience, les chakras, émettent toute une gamme de vibrations qui semblent s'irradier à différentes hauteurs de notre être.
Le mental n'est qu'un de ces centres, un type de vibration.
Ces sept centres sont répartis en quatre zones :
- Le Supraconscient
- Le Mental
- Le Vital
- Le physique et le Subconscient
Avec la Force descendante, nous n'affrontons les centres du bas qu'après avoir déjà solidement établi notre être dans la Lumière d'en haut, supraconsciente.
"Toutes les vibrations viennent du dehors. Notre être est comme un poste récepteur... Si nous disons "je pense donc je suis" ou je sens donc je suis, ou je veux donc je suis, nous sommes un peu comme l'enfant qui s'imagine que le speaker ou l'orchestre sont cachés dans la boîte à musique et que la radio est un organe pensant. Parce que tous ces je ne sont pas nous, ou à nous, et que leur musique est universelle."
(5) On s'aperçoit que la Conscience-Énergie est Force et Joie
http://epanews.fr/profiles/blogs/la-conscience-est-une-force-et-ell...
Dès les premières expériences, le courant de la Conscience est ressenti comme une Force (Agni, énergie) : c'est la substance fondamentale de l'Univers et de toutes choses.
La Matière est de l'Énergie condensée. "Quand nous aurons trouvé ce Secret, la conscience dans la force, nous aurons la vraie maîtrise des énergies matérielles - une maîtrise directe. Mais nous ne faisons que redécouvrir de très anciennes vérités..."
"L'histoire de notre évolution terrestre, finalement, est l'histoire d'une lente conversion de la Force en Conscience, ou, plus exactement, un lent rappel à la mémoire de soi, de cette Conscience engloutie dans sa Force."
"alors nous vérifions tangiblement que la conscience est une force, une substance, que l'on peut manipuler comme d'autres manipulent des oxydes ou des champs électriques..."
" Si nous n'avions pas fait des milliers d'expériences prouvant que le Pouvoir dedans peut modifier le mental, développer ses capacités, en ajouter de nouvelles, découvrir de nouvelles strates de conscience, maîtriser les mouvements du vital, changer le caractère, influencer les hommes et les choses, avoir de l'autorité sur le fonctionnement et l'état du corps, modifier les événements... nous n'en parlerions pas comme nous le faisons."
Et on découvre que la Conscience-Force est Joie, Ananda...
(6) Le pouvoir du Silence pacifie les émotions du vital
http://epanews.fr/profiles/blogs/comment-apaiser-le-vital
Le vital, comme le mental vient du dehors, du vital universel. Il n'est pas nous. Il est erroné de s'identifier à ses émotions. Il suffit de faire le silence pour le ressentir. Et ce silence nous permet d'établir autour de nous, dans le circumconscient, une couche protectrice pour voir venir les vibrations psychologiques et ne pas les laisser entrer.
A force de non-intervention, ces vibrations vitales ne nous touchent plus, puis elles sont dissoutes.
(7) "On découvre même que l'on est capable de descendre aussi bas que l'on est capable de monter haut"
http://epanews.fr/profiles/blogs/7-les-forces-adverses-de-la-consci...
Ces vibrations de désordre, "nos" tristesses, "nos" ennuis s'acharnent à décourager le chercheur.
"On découvre même que l'on est capable de monter haut, et qu'en vérité, nos bas sont exactement proportionnels à notre capacité de hauteur - bien des écailles nous tombent des yeux. Avec un peu d'honnêteté, on voit bien que l'on est capable de tout et qu'en somme, comme dit Sri Aurobindo, notre vertu est une prétentieuse impureté. Il faut n'avoir jamais quitté la personnalité frontale pour nourrir encore quelque illusion à ce sujet."
L'âme, l'Esprit, choisit ces épreuves qui sont là pour intensifier la force, élargir l'expérience nécessaire pour trouver la Vérité...
Le silence conscient permet de neutraliser ces forces adverses.
(8) La vraie Force de Vie : "élargir le vital... accepter plus, toujours plus, et étendre sa conscience."
http://epanews.fr/profiles/blogs/le-vital-vrai-la-vraie-force-de-vie
La personnalité frontale est engluée dans l'ambiguïté des sentiments, des attachements, de la souffrance et du plaisir.
C'est en englobant tout dans la présence intérieure de l'être, que la joie apparaît, immuable, tranquille : c'est la Force de Vie.
Il ne s'agit pas de lutter contre le vital infantile, mais de l'accepter dans une conscience élargie, où, par cette attention, il sera neutralisé, transmuté en joie : celle d'un vital calme et puissant, le vital vrai, état de concentration tranquille, spontanée.
Cette immobilité fondamentale est une base d'action, une puissance concentrée, une source d'énergie. Dans ce silence infini, se manifeste la Paix, la Liberté, le Pouvoir, la Lumière, la Connaissance, la Joie.
(9) L'Âme consciente, "Centre psychique", n'a besoin de rien pour être. Elle est Amour.
http://epanews.fr/profiles/blogs/9-le-centre-psychique-l-me-conscie...
La Conscience-Force est la réalité fondamentale de notre être. Mais qui est conscient en nous?
Le Centre individuel ou être psychique, l'Âme
Le Centre cosmique, lié à l'Être universel, l'Esprit
Étape par étape, nous devons retrouver l'un et l'autre.
Le Centre psychique se manifeste par l'état de Joie - sans objet - et d'Amour - qui est.
Ce psychique, caché par nos idées, nos sentiments, happé par le vital et le mental, est l'essence de la Liberté, de la Vérité - qui n'apparaît que par la décantation dans le Silence, par un changement de conscience, comme un feu, une énergie - Agni. C'est le vrai je en soi, le Centre, le Maître.
La Conscience bascule. On est dedans.
(10) La Réincarnation : évolution de l'Âme vers une Réalisation terrestre
http://epanews.fr/profiles/blogs/la-r-incarnation-volution-du-centr...
Selon Sri Aurobindo et le Secret du Véda, l'ensemble des vies représente une croissance de conscience qui culmine dans un accomplissement terrestre - et non seulement dans l'au-delà, comme le pensent les spiritualistes.
Cela permettra une Connaissance intégrale, donc une Vie intégrale.
(C'était ainsi prévoir, en 1910, la Transition actuelle!...)
Il ne s'agit pas de "croire" en la réincarnation, mais d'en avoir l'expérience.
Ce n'est pas la petite personnalité frontale qui se réincarne. Seul le Centre psychique, l'Âme, éternelle, demeure. Notre expérience de la réincarnation dépendra donc de la découverte du Centre et Maître psychique, qui emmène ses souvenirs d'une vie à l'autre, et du degré de développement de notre psychique. Seul le psychique conscient peut évoluer au cours des incarnations. D'une vie à l'autre, il emmène l'essence de toutes les expériences, certaines tendances générales, qui sont le premier embryon de la personnalité psychique, certaines empreintes (le karma).
Lentement, de vie en vie, le psychique acquiert une individualité de plus en plus forte, de plus en plus consciente et de plus en plus vaste. La conscience-force s'individualise de plus en plus.
Il faudra que toutes nos activités mentales, vitales et même physiques, s'intègrent à ce nouveau Centre, si nous voulons une réalisation terrestre.
Et nous sommes éveillés pour toujours.
Le jour où nous aurons infusé assez de conscience dans le corps, il pourra lui aussi participer à l'immortalité psychique...
La conscience est la clé.
(11) Le Nirvana
http://epanews.fr/profiles/blogs/11-le-nirvana
Cette expérience apporte à Sri Aurobindo, une Paix indicible, dans le Transcendant, l'Absolu.
Mais elle est hors du monde, hors de la vie.
Cette expérience, pour lui, n'est pas une fin, mais plutôt le point de départ de nouvelles expériences, qui intégreront dans une même Réalité, la vérité du monde et la vérité de l'au-delà.
Le Nirvana se révèle le commencement de sa propre réalisation.
Ce n'est pas en soi, un état supérieur de conscience : il peut se produire à divers niveaux de conscience.
Sri Aurobindo n'avait pas dépassé le plan mental lorsqu'il eut l'expérience du Nirvana.
Le Nirvana représente une étape intermédiaire vers une élévation encore plus grande : le stade spirituel centré sur la Totalité et non seulement sur l'au-delà.
Et tu as déjà bien débuté!... dans l'ouverture du cœur...
Pas de quoi te rebuter, en effet!...
Et on ne fait que s'entraider!... dans ce Champ qui deviendra cosmique...
Belle soirée dominicale, Nathie,
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