Thérapie de l'étreinte

La thérapie de l'étreinte vient de la découverte de Martha Welsch qui s'est aperçu qu'en serrant fortement dans ses bras des enfants autistes, cela les calmait. Jirina Prekop, psychologue tchèque, a inventé 4 techniques superbes.


La réconciliation d’enfants à parents
Cette technique est une combinaison d'étreinte et de visualisation. Le client est allongé sur le dos et une autre personne est au-dessus d'elle et l'étreint fortement. 
Le thérapeute amène le client à visualiser un traumatisme de son enfance. Sous l'étreinte, le client régresse spontanément. Il peut ainsi exprimer sa détresse ou sa colère en se sentant complètement accepté.
Ensuite, il visualise l'enfance du parent avec qui il veut se réconcilier. Il comprend ainsi sa dynamique familiale. Il est possible d'effectuer auparavant une constellation familiale. Enfin, il se réconcilie avec lui lors d'une rencontre sur terre ou au paradis. Il est nécessaire, pour accomplir ce travail, de croire en l'âme et en l'au-delà. 
Cette technique peut s'apprendre facilement à qui connait les constellations familiales, l'hypnose et qui a gouté de la Gestalt Thérapie.


La naissance
Quelquefois, la régression vous amène spontanément à votre naissance. La personne qui vous étreint reste sur vous. Une deuxième se tient à vos pieds et une troisième se place à la tête. C'est une réhabilitation de la naissance, précise Jirina Prekop. Je l'ai vécu, c'est extraordinaire. Vous avez à la fois la régression et l'accompagnement.

Le couple
Cette technique est une confrontation dans le couple, chacun tenant l'autre. "Je te tiens" et "je reste" sont les paroles les plus fortes du couple. L'être aimé est accepté quelque soient les circonstances et ses états d'âmes.


De parents à enfants
Les parents sont au-dessus et les enfants en dessous. Le message fondamental est que la mère dit à l'enfant "même quand je ne vais pas bien ou que je pleure, je reste la grande". Ainsi l'enfant reste à sa place et ne prend pas les émotions de la mère. Il est ainsi en sécurité.

Tout ça m’a fait beaucoup penser à l’étreinte d’Amma, « le darshan » .