C'est la vie. C'est comme ça. J'ai longtemps cherché ce que la Vie était. Ce que la vie est. Comme j'ai longtemps cherché qui j'étais. J'ai pris des chemins de traverses, j'ai beaucoup navigué. Ce n'est pas que j'ai sciemment désiré chercher une voie dans laquelle m'épanouir, c'est autrement que cela s'est passé. J'avais toujours plusieurs pistes, j'avais toujours plusieurs choix là où d'autres savent exactement ce qu'ils sont, ou ce qu'ils vont être. Fût un temps où j'explorais un thème par jour, presque frénétiquement : l'art du pendule, la cartomancie, le bouddhisme, la litothérapie. Je n'avais de cesse de fouiller. Cela s'est alors avéré épuisant. Disons qu'à ce stade de mon évolution, je disposais de peu d'accès aux multiples ressources que nous avons en chacun de nous et qui m'auraient alors permis de restaurer l'énergie vitale, que je dépensais ainsi. Il en fût autrement, bien évidemment. Je pataugeais et je me décourageais. Non content de dépérir puisque cette période de ma vie correspondait au moment où j'allais changer de mode d'alimentation. C'est donc dans un état particulier, je dirai, que j'ai finit par abandonner. Pas complètement, c'est vrai : j'avais goûter au fruit de la Connaissance et il me serait alors difficile de faire machine arrière. Mais qu'allais-je devenir ? D'autant que je ne me reconnaissais pas dans les écrits des stars qui me faisait rêver : je lisais les travaux de voyageur de l'astral, je ne m'y retrouvais pas, je lisais les miracles, je savourais les aventures des chercheurs de Lumière, des Guerriers Pacifique. Je n'avais rien d'un Guerrier pacifique. Tout juste un guerrier et encore, très peu entraîné. Je n'avais de guerrier que l'aspect querelleur. Mais contrairement aux stars, contrairement à ce que je comprenais de ce qu'elles vivaient, à ce que j'interprétais de ce que je lisais, dans mon coin, je ne trouvais toujours pas ni qui j'étais, ni ce que je pourrais éventuellement faire avec une telle information, le jour où je le saurai enfin ! C'était comme de savoir que quelque chose va se produire, mais sans savoir ni d'où ça viendrait, ni l'ampleur du phénomène. Ce n'est donc qu'après des mois d'exploration assidue que je décidai que ce qui m'importait, ce que je recherchais, dans toutes les directions dans lesquelles je cherchais, c'était la Paix. J'ai donc fait l'expérience rafraîchissante d'une courte illumination, je dirai, et à ce moment précis je me suis mis à croire qu'il serait plus judicieux, pour trouver la Paix, de faire comme si je ne la cherchais pas. Et j'ai fait comme si... c'était bien tenté ! Pourtant, il restait encore un espoir. Il restait encore un semblant de recherche. Oui, je ne chercherai plus la Paix intérieure, mais pour une seule raison, la même, la trouver ! Je tournais en rond. Sans l'aide de Dieu, je tournerai encore... car c'est bien avec son aide que j'ai enfin pris un chemin qui était différent. Puisque cela était impossible d'abandonner la quête de la Paix - et plus loin, la quête du Bonheur – Dieu me proposa de la chercher pour une raison à laquelle je n'avais pas pensé. Ce qui s'avère évident, en définitive. Eh bien oui, car c'est dans sa grande Sagesse, que Lui avait la réponse. Il m'avait d'ailleurs plusieurs fois enjoint à lui poser la question, comme à la plupart d'entre nous, mais j'avais continué de chercher seul. Un peu d'ailleurs pour ressembler aux stars dont je parle depuis maintenant quelques lignes. J'ai longtemps crû que les stars étaient dépourvues du soutien de Dieu... en quelque sorte : c'est à dire que je pensais que pour obtenir le soutien de Dieu dont elles bénéficiaient certainement un peu, elles avaient fait un bout de chemin seul. Contre tous. Contre elles même. Et j'ai tendance à faire durer ce type de contre courant. Alors donc, Dieu appelait et me disait : « J'ai la solution ». à cette époque, plus Il me l'a répété, moins je l'ai écouté. Si j'ai finit par tendre l'oreille, c'est après de longues années de résistance. Et voilà ce que j'ai découvert...

Il est bien évident que de telles informations sont à considérer avec le plus grand discernement. Non pas que les dites informations soient révolutionnaires, rien de plus naturelle que ce que j'ai découvert. Pourtant, plus nos découvertes sont simples, plus il peut s'avérer mal aisé de les trouver opportunes. Longtemps, je me disais : « ce ne peut pas être ainsi, c'est forcément plus complexe. Je vais continuer de chercher »...

C'est avec Joie que je vous dis ce que j'ai reçu. Allons-y : et si... je cherchais la Paix intérieure... pour faire venir... le Royaume de Dieu sur la Terre comme il est au Ciel. Voilà exactement le principe tel que je me suis mis à le considérer ! Alors, il ne serait désormais plus question ni d'en faire une affaire personnelle, ni de se sentir abandonné ; car des tas de personnes marchent vers le même objectif, en même temps.

Soudain, comme il ne s'agit plus d'une affaire personnelle, la notion d'échec, si tenace, disparaît. Il est question dans ce cas d'un groupe de personnes, d'une force, je dirai, qui avance dans une direction identique. Nous sommes loin pourtant d'une dynamique sectaire ! Pourquoi ? Car toutes ces personnes cherchent la même chose, sans peut être jamais avoir à se rencontrer dans le plan physique. Et cette force qui avance, ce mouvement d'individus épars, unis autour d'un même projet, c'est cela la nourriture infini que je trouve chaque jour dans mon assiette. Comment puis-je échouer... Un homme peut être friable, faible, et l'on peut le tenter, le faire chuter. Mais une idée... quelle merveille d'ingéniosité ! Soyons bien clair, et soyons au plus juste concernant ce que je viens de dire : il s'agit bien sûr d'un effort. Un tel ouvrage publié aujourd'hui montre à quel point cela peut se réaliser. Mais cela est en cours de réalisation. Cela prend forme. Le Royaume de Dieu sur la Terre ne serait venir après la courte illumination de l'un de ses partisans du moment. Car oui, parlons en vérité de ce qui fût la vie que j'ai eût jusqu'alors ; après tout cela ne fait que quelques mois que je marches dans cette direction. Si peu de temps que je souhaite que mes frères et soeurs puissent s'éloigner de la souffrance et connaître un épanouissement indéfectible. Basé sur des bonheurs intangibles ! Mais j'ai pris ce chemin... Je participes à ce courant et je dois dire que j'y trouve Paix et Courage. La Paix, car je sers une idée ; Le Courage, car nous sommes plusieurs. Nous sommes des milliers. Et nous sommes de toutes les races : humaines, non humaines, célestes, Angéliques. Et oui car je le souligne si les Anges aident les humains, la raison en est simple : dans leur « cahier des charges », les Anges travaillent à la venue du Royaume de Dieu sur la Terre comme il est au Ciel. Entendons nous bien, je reste à ma place et je constate tout ce que j'ai fait et tout ce que j'ai pensé pour en arriver à avoir de telles idées aujourd'hui. L'Ange est l'Ange. Je suis l'Humain. Il est entendu que je suis au service du même projet que Lui, mais je reste un Humain. C'est Lui, la Puissance. C'est Lui, la Grandeur. Car en vérité je le sens bien que Notre Seigneur Tout Puissant agit dans notre intérêt. Mais il serait approximatif de ma part de me comparer à des forces Angéliques ! En revanche, quel soulagement de savoir que dès que j'ai besoin de leur soutien, les voilà qui viennent à mon secours ! Alors là, j'ai du Courage ! Là, je me sens plus que moi même, tout en restant à ma place. Et c'est mathématique ! Plus le Courage me gagne, plus les Anges viennent à mon secours, plus les Anges viennent à mon secours, plus je constate leurs présence. Car je parle bien de présence. Psalmodier des litanies pendant des années, demeure une approche approximative dès lors que le cœur n'y est pas. Je ne suis pas le seul à le dire. Vous pouvez le constater. Grand bien nous fasse d'ailleurs. Et le cœur, comment l'impliquer ? Voilà la question à laquelle je cherchai à répondre. Mais je suis là, je me pose cette question et c'est toujours le même constat : pas de réponse ! En apparence, bien sûr, pas de réponse. Mais quand je cherchais dans une direction erronée, il ne se trouvait aucune âme qui vivent pour trouver les mots précis qui conduiraient à y voir clair.

Je n'écris pas pour ceux d'entre vous qui avaient trouvé la réponse que j'ai mis des années à trouver. Non. J'écris pour ceux qui avance avec des œillères, faite de cuir épais. Je sais bien comme elles sont faites, ces œillères, j'en portais tantôt. Et je n'écris pas pour ajouter un livre à la somme de livre. Je tente de raconter l'histoire suivante : au plus fort du désarroi, sachez bien que vous n'êtes pas seul. C'est tout simple de le dire, c'est tout un programme de le réaliser ! Il peut s'avérer utile, et je vous le souligne avec réserve, d'avancer par étape ; de suivre les pas d'une personne qui vous accompagne. De penser grand et de commencer petit...

« Penser grand », oui, pour avoir comme une ligne de conduite, un plan, à l'échelle humaine et « commencer petit » afin de s'octroyer la possibilité de s'échouer, de temps à autre, de s'éloigner du but que l'on se fixe, de prendre son temps. De faire de son mieux. Tout cela est d'une Sagesse qui nous dépasse. Fort heureusement, cette Sagesse est disponible et la voici qui nous est prêté au cours de cette vie comme dans l'autre. Car c'est l'un des secrets les plus rafraîchissants qu'il m'est donné de côtoyer : la Sagesse, ça s'apprend ! Elle est affaire de mesure, de degré. Constatez votre degré de Sagesse, vous serez surpris de son taux car notre taux de Sagesse est souvent plus élevé que nos yeux ne le voient. Et chacun d'entre nous peut s'en emparer en l'instant, et se mettre à tout changer dans sa vie...