La plupart du temps, ce qui nous éloigne de l’instant présent, ce n’est pas le monde extérieur, ni même nos émotions, mais cette activité incessante du mental qui commente, étiquette, compare, juge, analyse. Nous croyons, à tort, que ce flot est inévitable. Mais il ne l’est pas. Il est simplement automatique.Dans cette méditation, nous apprenons à revenir à la source : le souffle, les appuis, les bruits, le regard. Non pas pour nous couper du monde, mais pour y entrer autrement, avec moins d’interprétations et plus de présence. Chaque fois que le mental part, nous revenons. Cela ne demande ni lutte, ni effort, juste un choix. Et à mesure que ce choix devient familier, il devient naturel.Ce n’est pas le silence qui est rare, c’est l’habitude d’y rester.
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