Vie ? Mort ? - Jeunesse ? Vieillesse ? - Santé ? Maladie ? Voici 3 face à face sur lesquels je vous invite à partager ma réflexion.

 

- A quoi sert la vie puisque nous devons mourir ?

Pouvons-nous choisir ?

 

- A quoi sert la jeunesse puisque nous devons vieillir ?

Pouvons-nous être toujours jeunes ?

 

- Pourquoi tombons-nous malade ?

Pouvons-nous être toujours en bonne santé ?

 

La première question devrait nous amener à nous interroger sur ce que nous nommons : La Vie.

Croyez-vous sincèrement que nous venons sur Terre pour y vivre, même si c’est pour un très court instant ? Car si je dois comparer notre durée de vie face à l’éternité, je dis qu’elle est à l’image du clin d’œil que je me fais un matin, dans mon miroir … rien de plus et certainement encore bien moins.

En fait, nous venons sur Terre non pour vivre, mais pour mourir. Souvenez-vous de l’enfant que vous étiez, regardant la flamme d’une bougie. Vos parents, en vous voyant approcher la main vers la flamme vous mettaient en garde en vous disant :

 

« Ne touche pas à la flamme, elle brûle et cela fait mal »

 

En prononçant le mot ”mal“ l’enfant retire sa main car il sait ce que ce mot signifie. N’a-t-il pas eu mal dès sa naissance (tape sur la fesse et première inspiration). C’est pour cette raison, qu’associant le mot mal à celui de ”douleur“, il retire la main. Par contre, il ignore ce que brûlé veut dire … il veut savoir … il avance la main … et il se brûle. Désormais il sait ce que ce mot signifie et il n’avancera plus sa main vers une flamme … sauf s’il est masochiste.

Par cet exemple, je peux symboliser la flamme avec l’idée que nous nous faisons de la mort … douloureuse et terrifiante. En nous appuyant dessus, nous pouvons dire qu’à l’instar de la flamme sur laquelle nous ne chercherons plus à poser la main, nous ferons tout ce que nous pouvons pour, au moins, retarder notre mort. Et, si possible, puisque nous pensons impossible de lui échapper, passer à trépas de la façon la plus paisible. Aussi je pose les questions suivantes :

 

1) Pourquoi mourrons-nous ?

2) N’existe-t-il aucun moyen d’échapper à la mort ?

3) Pourrions-nous vivre éternellement ?

 

Survolons rapidement, la vie d’un être humain sur un plan biologique.

 

Tout d’abord, sa venue au monde se passera plus ou moins facilement selon de très nombreux critères, sociaux, ethniques, géographiques, matériels, religieux … et bien d’autres encore. Pour mon exemple, nous prendrons un humain ordinaire, sans distinction notable selon les critères exposés.

Sa naissance se passe sans problème. Il est en bonne santé. Ses géniteurs paraissent sains et robustes. Ils vivent dans un pays à climat tempéré et sans réelles difficultés économiques. C’est une famille comme il en existe tant à travers le monde.

Bébé commence à grandir. S’il évite quand même les “anomalies génitrices”  type mongolisme et autres, il fait connaissance avec ses premiers ennuis physiques, plus ou moins dangereux mais considérés comme “normaux“ sur cette planète à savoir : rhumes, bronchites, avec ou sans fièvre pour les plus banales ; otites, diarrhées aux causes diverses pour les plus douloureuses, … etc. Bref, l’enfant va faire, plus ou moins rapidement, ses premières expériences avec la maladie et la douleur, au travers de l’arsenal microbien naturel sur ce monde.

Dans sa prime jeunesse, disons jusqu’à environ 12-13 ans, il se trouve sous la gouverne : directe, de sa famille et de ces proches ou : indirecte, à travers tous ceux, adultes et enfants qu’il côtoie à l’école ou ailleurs. Entre temps il aura peut-être dû faire face à quelques accidents de type fractures, plaies, bosses …) plus ou moins graves et peut-être quelques opérations chirurgicales (amygdales, appendicite …). Il peut aussi porter des lunettes, avoir quelques allergies (pollen) faire des crises d’asthme … etc.

A partir de 13-14 ans, il quitte le monde l’enfance pour passer dans celui de l’adolescence.

Selon les êtres et leurs sexes, cette phase transitoire  qui, dans nos pays, s’achève en général autour des 20 ans, s’avère pour la plus grande majorité, déterminante pour toute notre existence.

En effet, durant cet intervalle, il peut ou non, commencer à fumer et à boire, s’initier aux drogues de toutes sortes et faire connaissance de leurs effets le plus souvent négatifs. Effets dont il est généralement très difficile de sortir indemne. C’est aussi à cette époque qu’il peut avoir tendance à l’obésité et à son corolaire, la boulimie ou, à l’inverse et dans un cas extrême, vers l’anorexie, selon l’éducation nutritive reçue, elle-même très souvent liée à l’image publicitaire qu’elle véhicule.

Il découvre aussi sa sexualité et peut commencer son apprentissage sexuel, en solitaire (onanisme) ou avec le sexe opposé ou identique au sien … et des maladies qu’elle peut engendrer, vénériennes pour les plus “classiques”, pouvant aller jusqu’au sida.

En fait, c’est pendant nos 20 premières années, que s’inscrit définitivement dans notre chair, les prémices de tous nos maux physiques futurs. Maux en partie responsables du vieillissement et  du délabrement de toutes nos cellules menant notre corps vers une mort semble-t-il inéluctable.

 

Voyons maintenant et rapidement, la vie d’un être humain sur un plan psychologique.

 

Notre développement personnel se réalise en s’appuyant, selon les mêmes références, sociales, ethniques, géographiques, matérielles, religieuses … etc. responsables, en parties elles aussi comme sur le plan biologique, de notre vieillissement et de notre mort.

Pour cet exemple, prenons là encore un humain ordinaire, sans distinction notable selon les critères exposés. C’est pourtant au travers tous ceux-ci et par l’entremise de ses parents et de tous ceux qui croiseront son chemin, que cet être va grandir dans ce monde.

C’est là que son éducation va se gâter car, que va-t-il apprendre de tous ces gens rencontrées depuis sa plus tendre enfance jusqu’à ce que nous nommons l’âge de raison ?

Il me suffit d’observer comment se comportent les peuples de ce monde, pour je puisse affirmer, sans l’ombre d’un doute, que nous n’avons pas compris grand chose sur le “comment” et le “pourquoi” de notre présence sur cette terre.

 

Première erreur :

Comme je l’ai écrit au début, nous ne venons pas sur terre pour VIVRE, mais pour apprendre ce que MOURIR veut dire. Et c’est cette ”certitude“ en une mort inéluctable que nous nous transmettons, de génération en génération, depuis la nuit des temps. Et cette Mort nous terrifie tellement, que, sans en avoir réellement conscience, nous nous inoculons les uns les autres, un terrible virus … celui de la PEUR … en cette mort d’abord et, par là même, avec tout ce que nous ne comprenons pas.

 

C’est ainsi, qu’inlassablement, nous nous transmettons les peurs suivantes. En vrac :

Peur de la maladie, de la souffrance, de la vieillesse, de la décrépitude, de l’accident, de l’autre, de l’étrange comme de l’étranger, du dentiste, de la police, de la vérité, de la violence, de la guerre, de l’inconnu, de la solitude … etc. etc. et, par dessus tout, la peur de devoir affronter, seul, toutes ces peurs enfouies, très profondément, au cœur de chacun d’entre-nous. Qui n’a pas, en tant que parent, fait peur à son enfant en le menaçant … du Croquemitaine par exemple. Moi c’était avec le chiffonnier. Bien sûr, c’est juste pour le faire tenir tranquille … ce n’est pas bien méchant. En êtes-vous certain ?

 

Seconde erreur :

Non seulement nous nous transmettons nos peurs, mais nous croyons, plus ou moins consciemment, qu’agir ainsi n’a guère d’importance. Qu’il est normal d’avoir peur. Que celle-ci nous apprend la prudence et peut, dans certains cas, nous protéger d’un danger.

 

Reprenons rapidement comme exemple, quelques unes des peurs mises-en vrac.

 

La maladie : Nous savons aujourd’hui que la plus grande majorité de nos maladies sont d’ordre psychosomatique. C'est-à-dire que nous créons, nous-mêmes, le mal qui va nous frapper. Rien que dans cette dernière phrase se trouve 2 mots stigmatisant cette peur : ”mal ”et ”frapper ”.

Prenons encore notre manière de nous souhaiter mutuellement nos vœux. Notre peur d’avoir à affronter, peut-être, la maladie est telle, que nous terminons le plus souvent ces vœux par :

 

« Je te souhaite … et surtout une bonne santé ! »

 

En fait, nous sommes déjà malade rien qu’à l’idée que nous pourrions le devenir, faisant presque de la santé … une pathologie. Un comble ! Et ce sont les plus vieux qui en parlent le plus … comme s’il est ”normal” d’être malade quand on devient vieux.

 

La vieillesse : Presque tous les hommes ont, plus ou moins consciemment, peur de vieillir. Il suffit pour s’en rendre compte, de voir le nombre toujours croissant de celles et ceux prêts à payer des fortunes pour … paraître jeune. La vieillesse fait peur. Elle a très souvent le visage de la décrépitude, de la maladie, de la souffrance et porte sur elle, les stigmates de la mort. Et si demain, l’on venait à découvrir la pilule de longue vie, la peur de perdre leurs possessions pousserait les plus âgés les plus riches de ce monde, à se précipiter les premiers pour la posséder.

 De tous temps, les hommes ont tenté de la rendre moins hideuse en faisant d’elle par exemple, le symbole de la sagesse. Je ne peux pas dire combien de personnes ont pu, depuis la nuit des temps jusqu’à nos jours, arriver jusqu’à cet âge que l’ont dit sage. Mais s’il est vrai qu’avancer en âge  devrait nous rend plus sage, pourquoi notre monde se trouve-t-il aujourd’hui dans un tel état, rien que sur les plans écologiques et sociaux ?

Aussi, toujours dans cette optique de vieillesse-sagesse”, et si j’en crois nos démographes qui prévoient que d’ici le milieu de ce siècle, le nombre de ces sages”, âgés de 65 ans et plus, représenteront environ 15% de la population mondiale … nous devrions, enfin, pouvoir donner raison à ce symbole et voir ce monde … devenir sage. Vous y croyez ?

Sur un plan personnel et individuel, je pense que l’homme peut, réellement, accéder à une certaine sagesse. Mais il m’est difficile de l’envisager globalement, même partiellement, sur un plan planétaire … sinon contraint et forcé par les évènements. Un seul exemple :

Comment puis-je espérer vivre en paix si je n’ai pas pu, pas su ou simplement pas voulu, extraire haine, rancune et violence du fond de mon cœur ?

 

La vérité : Dire la vérité fait peur. C’est sans doute pour cette raison que le juge rappelle au plaideur estant en justice qu’il doit :

 

« … dire la vérité, toute la vérité, rien que la vérité … lever la main droite et dire : Je le jure ! »

 

Voici encore un domaine avec lequel nous avons bien des difficultés à être en accord. Et ce n’est pas faute de la vouloir cette vérité … si belle et si difficile à mettre en pratique. Pourquoi ?

Lorsque j’étais un môme mes parents essayèrent vraiment de m’inculquer cette valeur n’hésitant pas à me punir lorsque j’étais pris en flagrant délit de mensonge.

Pour m’inciter à la respecter, il me disait que : « Faute avouée est à moitié pardonnée ! »

 

Mais je m’aperçu très vite que, comme l’autre moitié de la faute ne pardonnait pas, rien n’empêchait la punition. Aussi, il ne me restait bien souvent que le mensonge pour tenter d’éviter le châtiment. C’est bien plus-tard que je me rendrais compte que ce sont ceux qui  punissent le mensonge qui mentent le plus. Aussi je m’interroge !

De quel droit les adultes essaient-ils de réprimer chez l’enfant ce qu’ils n’ont jamais pu supprimer en eux ?

Et puis, est-il insensé de penser que le pardon doit être donné d’une manière inconditionnelle ; et pas seulement … à moitié. C’est peut-être une des raisons qui nous fait dire qu’il existe de … pieux mensonges et que … toute vérité n’est pas bonne à dire. Quels secours pouvons-nous attendre de la part de tels serviteurs ? 

Le pieux mensonge n’existe pas. Mieux vaut, mais c’est juste mon avis, refuser de répondre à une question que d’en falsifier la réponse. 

Exemple :

Vous rendez visite à un mourant et celui-ci vous dit : «  Je sais ! Je n’en ai plus pour longtemps … »

 

Ne lui faites pas la réponse bateau, sensée lui remonter le moral … et qu’il ne croira pas, du genre : « Mais non ! Tu vas t’en tirer. Tu nous enterreras tous … etc. »

 Si vous connaissez peu cette personne ou que vous sentez sa peur,  éluder votre réponse en disant : «  Je n’en sais rien. Je ne suis pas docteur aussi, parlons d’autre chose … »

 Maintenant vous connaissez très bien cette personne et vous la savez capable d’entendre la vérité ; dites lui : « Sauf miracle … je pense que oui ! »

 Et vous serez peut-être tout surpris de voir un sourire se dessiner sur le visage du mourant. Je le sais car ce cas m’est arrivé une fois.

 

La Vérité n’a pas refuge dans le silence. Mais un vrai silence vaut mieux qu’un pieux mensonge.

 Toute vérité n’est pas bonne à dire ? Voyons cela.

 Un ami, à qui on ne demande rien, vient vous voir et dit : « Tu es mon ami aussi je dois te prévenir que j’ai vu ta femme avec … Tu devrais te méfier. »

 

Ce soi-disant ami ne vous dit pas la vérité en vous prévenant. Il ne fait qu’insuffler en votre esprit le doute, la méfiance et la douleur … et il se peut même que cela s’avère faux.

 

Maintenant un ami, que je sais susceptible, mal dans sa peau, d’un naturel jaloux et peu enclin à supporter la vérité ME demande : « Je crois bien que ma femme me trompe avec … Es-tu au courant de quelque chose ? »

 Réponse, même si je suis au courant : «  Désolé mon vieux, mais ce n’est pas à moi de répondre. C’est à ta femme qu’il faut demander »

 Maintenant, si je sais cet ami capable de supporter la réponse et que je suis au courant du fait, je dirais : « Je suis désolé, mais puisque tu le demande … c’est oui ! »

 C’est ce que personnellement, j’attends d’un véritable ami ; qu’il soit authentique.

 

Un jour, j’ai eu à faire face à ce type de situation. Un ami me révéla un fait qu’il m’avait caché 6 mois au paravent. Je lui demandais pourquoi il n’avait rien dit à l’époque. Sa réponse : «  Je ne voulais pas te faire de la peine »

 Ma réaction fut immédiate. Je lui dis : « Tu te dis mon ami et tu as eu pitié de moi ? Mais je ne suis pas un chien. J’ai d’ailleurs trop le respect des chiens pour avoir pitié d’eux. Aussi, à l’avenir lorsque je te poserai une question et si tu connais la réponse, n’ais plus pitié de moi et réponds franchement. »

 

Maintenant, voulez-vous connaître la vérité ?

 - Alors interrogez vos peurs, scrutez vos défauts, vos faiblesses, vos manquements, vos errements de toutes sortes etc.

- Regardez-les en face, sans haine mais sans complaisance à votre égard.

- Cessez de vous mentir … en les parant des plus nobles raisons.

 

De plus, nous avons la stupidité de croire que l’on peut, impunément, jouer avec de telles difformités. Je laisse à Confucius le soin d’éclairer cette dernière ligne.

 

« Le vulgaire ne rougit pas de l’absence d’amour et n’a pas l’injustice en horreur. Si aucun avantage ne lui fait signe, il ne bouge pas. S’il n’est pas intimidé, il ne s’améliore pas. Mais s’il est conduit au bien dans les petites choses, il est attentif dans les grandes. C’est une chance pour les hommes vulgaires. »

 

Il ajoute encore ceci :

 

« Si le bien ne s’accumule pas, cela ne suffit pas à faire la réputation d’un homme. Si le mal ne s’accumule pas, cela n’est pas assez puissant pour détruire un homme. Le vulgaire pense pour cette raison que le bien dans les petites choses est sans valeur ; c’est pourquoi il le néglige. Il pense : « De petites fautes ne causent pas de dommage ». Par suite il n’en perd pas l’habitude. Ainsi ses fautes s’entassent jusqu’à ce qu’elles ne puissent plus demeurer cachées et sa culpabilité devient si grande qu’elle ne peut plus être effacée. »

 

Ainsi donc, la reconquête de notre noblesse passe par une lutte de tous les instants, âpre, difficile mais POSSIBLE. Cela prendra du temps … toute votre existence. Mais la délivrance est au rendez-vous de tous ceux qui persévèrent.

 

Alors pourquoi mourrons-nous ?

 

Nous mourrons parce que nous avons peur … de VIVRE.  Et pour VIVRE, nous devons cesser d’avoir peur de … MOURIR. Sacré paradoxe n’est-ce pas !

 Le vieil homme en nous, avec toutes ses peurs, toutes ses imperfections, doit accepter de “mourir” à lui-même afin de permettre la naissance de l’Homme nouveau.

Pour cela, nous devons apprendre, ou plutôt réapprendre à positiver entièrement nos pensées afin que celles-ci puissent agir positivement, jusqu’à transformer, transmuter chacune de nos cellules, chacun de nos atomes, jusqu’à les amener à ”s’exprimer“ sur un taux vibratoire plus élevé que celui ou nous errons depuis si longtemps. 

La tâche est ardue mais non-impossible. Il suffit de commencer. Mais le voulons-nous ?

 

Conclusion :

Nous tombons malade, vieillissons et mourrons parce que nous refusons, par peur, d’expérimenter le bon côté de la Vie.

 

Comment savoir si cela va marcher ?

 

Très simple ! Si nous acceptons l’idée que toutes nos négativités sont bien les agents actifs de nos maladies, de notre vieillissement, de notre décrépitude et de la mort ; est-il insensé de croire qu’en réapprenant à utiliser les agents actifs de nos positivités nous  puissions accéder à la jeunesse éternelle ?

 

Et c’est GRATUIT !

 

Que risquez-vous d’essayer … juste de réussir. A vous de choisir !

 

Michel Ribeiro

 

Merci d'avance pour vos commentaires et excusez-moi si je n'y réponds pas, mais je préfère la parole à l'écrit vu que je ne tape qu'avec 2 doigts ... et je ne suis pas doué.

 

 

 

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Commentaire de Marie K. le 1 Juin 2011 à 17:26

Cher Michel,

J'apprécie beaucoup tes textes. Malheureusement, je suis une de ces personnes qui se perd

dans tant de lignes.... 

Je préfère de loin les livres et les articles concis et pas si longs.

Toutefois, je vais essayer de te répondre de mon mieux, et de la façon la moins confuse possible, en triant un peu dans tout cela, car je n'ai pas trop de temps:

 

Mourir: la mort en soi n'est pas quelque chose de dramatique.

C'est mourir lentement, et avec des souffrances psychiques et/ou pysiques, en se faisant traiter souvent de façon inhumaine par la gente médicale, qui est douloureux.

Je te rappelle qu'il y a moins d'un siècle dans nos contrées, mourir vers l'âge de 70 ans n'était pas une mort précoce mais une mort normale.

 

La vieillesse, c'est beau lorsqu'elle est entourée d'amour.

Et ceux qui se font lisser les rides pour paraître plus jeunes témoignent de leur détresse.

Car la vieillesse, c'est le seul âge de la Sagesse!

 

Je ne voudrais pas que l'on puisse trouver le moyen de prolonger l'âge de la population mondiale:

économiquement et écologiquement ce serait insoutenable dans les limites de notre Planète!

Mourir à 100 ans et en bonne santé, c'est bien.

Mais végéter 20 ans dans un hopital, atteint de sénilité ou de démence, je ne le souhaite à personne!

Les seules qui s'enrichissent ce sont les médecins et les hopitaux.

Nous mourons, soit parce que nous l'avons décidé (suicide), soit parce que notre énergie vitale est arrivée au terme.

Seulement voilà, les progrès scientifiques empêchent l'âme de prendre congé du corps en l'obligeant à l'habiter plus longtemps, dans des conditions difficiles.

Personnellement, en sachant que toutefois la Vie ne se contrôle pas, j'ai déjà pris les dispositions nécessaires à cet effet en profitant de vivre en Suisse....

 

Ensuite (mais oh! je suis si perdue dans tout ce long texte...)... écoute, je ne sais plus!

J'ai fait un effort pour partager quelque chose, mais là je me noie littéralement dans tous ces mots.

D'habitude je suis très forte en analyse et en syntaxe, mais là, je suis complètement dépassée par la longueur et la complexité de ton texte qui en fait est composé de plusieurs discussions à la fois.

 

Et, ce qui me décourage le plus, c'est que pour une raison que je ne peux pas accepter (taper le clavier avec 2 doigts - ce que font des milliers de personnes) tu comptes éviter de répondre à tes propres discussions.

 

Je m'arrête donc là!

 

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