1er point : La santé et l’aspect physique :
Le principe de la purification (ou principe de nettoyage des cellules).

La terre, tout comme l’univers dans lequel elle s’inscrit, ne supporte aucun dérèglement.
L’harmonie et l’interdépendance entre tout ce qui la compose est un présupposé qu’il nous faut intégrer et les éléments révélés par la science quantique sont à prendre en considération.

Le concept selon lequel « la partie égale le tout et le tout égale la partie » est une notion très importante et met en évidence l’interdépendance qui relie l’ensemble des espèces et des créatures au sein de l’univers.

Toute la création prospère dans une très grande harmonie et le hasard n’a pas vraiment sa place.
A titre d’exemple, il est à noter que l’axe de la terre est incliné à 23.5 degrés et cela depuis 4.6 milliards d’années, date de formation de la terre dans le système solaire.

On peut lire dans l’ouvrage de Grichka et Igor BOGDANOV intitulé « la fin du hasard » :

« … La gravitation (qui fait que vous êtes assis sur votre siège sans flotter) est 10 puissance 40 fois plus faible que la force électromagnétique. Un véritable gouffre ! Que pouvons-nous en tirer ? Qu’au moment du big bang, l’univers n’avait qu’une seule chance sur 10 000 milliards, de milliards, de milliards, de milliards, de tomber juste sur la bonne valeur ! Pour vous donner une vague idée, imaginez que la terre entière soit recouverte d’une couche de sable fin épaisse de 10 mètres.
Tous les grains de sable ont la même couleur sauf un : il est peint en rouge. Si vous trouvez du premier coup cet unique grain rouge perdu dans l’immensité, alors la précision de votre geste serait un peu comparable à celle de l’univers lorsqu’il tombe sur la bonne proportion entre les deux forces … »

Dans la nature, un certain nombre de mécanismes existe afin que celle-ci soit nettoyée en permanence.

Les forces de la nature qui ont été mises en place afin de jouer ce rôle sont, par exemple :

La pluie lave ce qui est sale. Le vent balaie les saletés.
Le soleil a pour rôle de désinfecter. La neige purifie, le froid tue certains microbes, etc.

Les sanctuaires et les lieux de culte sont, en général propres et régulièrement nettoyés afin que des vibrations de pureté s’en dégagent. Toute la création vit et prospère sans aucun dérèglement tant qu’on la respecte.

Lorsque celle-ci est polluée, des phénomènes de nettoyage se mettent en œuvre. C’est un principe universel.

Divers nettoyages ont été baptisés « maladies » et ont également pour but d’éliminer des éléments impurs. Ils constituent un phénomène bénéfique pour notre santé.

Si l’homme sait se soumettre à ces phénomènes de purification avec courage et reconnaissance, il connaitra, sans faute, le bonheur.

Les phénomènes de nettoyage du corps s’effectuent sous forme de rhume, de crachats ou de différentes éliminations.

Arrêter ces nettoyages providentiels avec des traitements symptomatiques, c'est-à-dire avec des médicaments ou des produits chimiques, constitue, à mes yeux, un non-sens.

C’est tout simplement «contre-nature » et c’est la cause principale de l’empoisonnement du corps humain. De plus, cela entraîne l’apparition de nouvelles maladies, des maladies chroniques et des cancers.

Ma devise à ce sujet est très simple : Qui comprend la véritable action des médicaments ne les utilisera qu’en cas d’extrême nécessité.

Nous reviendrons sur ce point dans la suite de cette série d'articles.

Bien évidemment, dans tous les cas il convient de consulter un ou plusieurs médecins pour avoir un diagnostic précis.

Je suis convaincu, pour ma part, que dans un passé très ancien, il existait des civilisations très avancées en tout point de vue.

Les hommes de ces temps reculés savaient respecter ce principe et ils bénéficiaient alors d’une très longue vie et d’un corps robuste.
En dépit de ce que l’on voudrait nous faire croire, nous sommes à l’époque où la durée de la vie est la plus courte, mais ceci est un autre sujet.

D’anciens documents que je présente dans ma conférence « Nouvelle civilisation, sommes-nous prêts ? » précisent que nos très lointains ancêtres vivaient très vieux.

Ce fait comme beaucoup d’autres sont également relatés dans la Bible.
On y trouve, par exemple, l’histoire de Mathusalem qui aurait vécu 969 ans.

Après le Grand Nettoyage (le déluge) la durée de vie n’excédait pas 120 ans.

D’ailleurs, si l’on en croit les travaux récents des chercheurs Français de l’INSERM, il serait tout à fait possible de redonner à une cellule âgée de plus de 100 ans sa jeunesse d’antan. Les recherches ne sont encore qu’embryonnaires mais dans une dizaine ou une vingtaine d’années peut-être trouverons-nous sur le marché des thérapies géniques permettant de briser cette fameuse frontière des 120 ans.

Laurent Alexandre est une personnalité atypique dont l'expertise est écoutée. Chirurgien urologue de formation, diplômé de l'ENA, HEC et Sciences-Po, cofondateur de Doctissimo.fr, il préside désormais la société de séquençage de génome DNA Vision. Ce chercheur s'intéresse "aux bouleversements qu'entraîneront pour l'humanité les progrès de la science, de la techno médecine et des biotechnologies". Il y a consacré un essai remarqué intitulé : « La Mort de la mort », dans lequel il affirme que "l'homme qui vivra 1.000 ans est déjà né".

A notre époque troublée, le matérialisme est la force dominante. Cependant, de nombreux signes témoignent d’une insatisfaction croissante à l’égard du rationalisme étroit et d’une recherche de valeurs spirituelles associées au plaisir.

Jusqu’ici, nous avons été conditionnés pour penser rationnellement et certaines vérités intemporelles sont restées à l’écart.
Les anciens avaient, quant à eux, des conceptions et des intuitions puissantes.

Ils mettaient en pratique le principe de la purification et pouvaient ainsi bénéficier d’une bonne santé sans assistance médicale.

A suivre ...