Un esprit sain dans un corps sain (11ème partie)

Revenons à notre explication concernant la hiérarchie et l’interpénétration des trois corps. Ils fonctionnent, comme nous l’avons déjà dit ensemble en s’interpénétrant suivant un principe hiérarchisé : l’esprit est primordial, le psychisme en découle et le corps physique leur est subordonné.

Si on compare ce mécanisme à une rivière qui s’écoule le long d’une montagne, l’esprit est en amont de la rivière, le psychisme se situe au milieu de celle-ci et le corps physique se trouve en aval.
Si on installe une usine polluante en amont de la rivière (au niveau de l’esprit), toute la rivière va se polluer en passant par le milieu (psychisme) et jusqu’à l’aval (le corps physique) comme l’indique le schéma ci-dessus.
De plus cette pollution de la source (de l’amont) va se répercuter au niveau de notre corps physique (sous forme de maladies) ou dans notre vie matérielle (sous formes de déboires, d’échecs, de conflits, de manque d’harmonie, etc.)

Il existe des méthodes de purification spirituelle qui sont très efficaces lorsqu’elles sont combinées avec la pratique de l’altruisme.
La notion de baptême et de purification existe dans de nombreuses traditions, comme nous l’avons déjà vu.

Lorsque l’esprit est purifié, le mental est positif et rayonnant, le corps physique se trouve libéré des maladies et notre vie est remplie d’harmonie. Nous recevons également ce dont nous avons besoin au fur et à mesure de nos besoins.

D’autre part, puisqu’il y a une interconnexion entre les trois composantes de l’être humain, le fait de polluer son corps physique par l’absorption de produits chimiques et de substances toxiques revient à polluer également son corps astral et son corps spirituel.
Si, comme moi, vous êtes fumeur, je vous conseille d’opter pour une marque qui vend des produits 100% tabac, sans conservateur ni adjuvant.

L’utilisation des pesticides (insecticides, fongicides et herbicides) a commencé dans les années 1970. Quarante ans plus tard, cette pratique est devenue règle d’or et de nombreux résidus de pesticides se trouvent dans nos aliments. Selon de récentes études, ils peuvent être la cause de cancers et présenter des menaces pour la fertilité masculine et le développement du fœtus.

Chaque année, l’Autorité européenne de sécurité alimentaire (EFSA) analyse quelque 70000 aliments pour connaître leur teneur en résidus de pesticides. Selon elle, il y aurait :

338 pesticides différents dans les légumes
319 dans les fruits
93 dans les céréales
34 dans les produits animaux

Cependant, tous les fruits et légumes ne sont pas logés à la même enseigne. Parmi les mieux lotis : les oignons, les échalotes et l’ail (avec seulement 13,6% des échantillons contaminés), les épinards (24,5%), les asperges et les poireaux (24,6%) ou les légumes racines, tels que les pommes de terre ou les radis (26%).
Il faut savoir que l’essentiel des pesticides, et particulièrement des insecticides, sont utilisés à l’extérieur. Ils sont déposés sur les fruits et légumes via un pulvérisateur. C’est pourquoi les végétaux poussant à l’intérieur de la terre, tels que les pommes de terre, sont moins susceptibles d’être contaminés.
Il va de soi que tous les végétaux ne poussent pas sous terre et certains font les frais de l’omniprésence des pesticides.

C’est pourquoi, il est recommandé de manger bio et local le plus possible car pour certains des végétaux en question, le taux de pesticides est divisé par 10 s’ils proviennent de l’agriculture bio.

La peau des fruits est la zone où se concentrent le plus d’antioxydants et de vitamines. Mais on ne peut la consommer que si le fruit est bio car, dans le reste des cas, c’est aussi dans la peau que se concentrent les pesticides.

D’autre part, des études ont été faites concernant le plancton. Supposons que celui-ci est pollué à 0.02 PPM (partie pour mille). Lorsqu’il est mangé par un petit poisson, la nocivité passe alors à 5.00 PPM. Lorsque le petit poisson est mangé à son tour par un plus gros poisson, la nocivité peut atteindre de 40 à 300 PPM. Au bout de cette chaine alimentaire se trouve l’homme et la nocivité passe alors à 2500 PPM. Ainsi, le poisson devient de plus en plus toxique.

De plus, comme nous venons de le voir, on utilise toutes sortes de produits chimiques (engrais, pesticides, etc.) dans l’agriculture traditionnelle (l’agriculture intensive).

En se combinant dans notre corps et avec d’autres produits chimiques tels que les médicaments, il y a naissance de nouveaux poisons de plus en plus virulents. On constate qu’il y a de plus en plus d’allergies. Ces poisons peuvent en être la cause. Cette pollution chimique parvient jusqu’aux chromosomes.

Dans le prochain article, nous aborderons la notion de « loi karmique ».

A suivre ...

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Commentaire de Patrick ONNIS le 18 novembre 2014 à 18:59

Merci, chère Karen, d'enrichir cet article par ce commentaire. PAT

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