Un esprit sain dans un corps sain (12ème partie)

Abordons maintenant la notion de « loi karmique ».

Le concept de karma négatif a été enseigné dans le bouddhisme et l’indouisme.
Dans le shintoïsme, cette même notion a été appelée « impureté spirituelle ». On la retrouve également dans les traditions issues du christianisme, de l’islam ou du judaïsme sous le nom de « péché ».
Cependant, le karma peut être aussi positif.

Le karma a donc deux composantes :
Le karma positif et le karma négatif. Tous deux représentent notre patrimoine spirituel ainsi que notre mémoire (base de données) qui est « stockée » au niveau de notre âme et qui constitue notre véritable moi.

Cette mémoire karmique est, en quelque sorte, une partie de nous-même. Elle nous « suit » au cours de nos réincarnations successives. Nous héritons également du karma de nos ancêtres, de nos parents et léguons ce patrimoine à nos descendants. En sachant que nous avons été nous-mêmes, à un moment donné, notre propre ancêtre.
Le Moi est donc le récepteur du karma familial de la famille et le transmetteur de ce karma aux descendants. Il est l’intermédiaire entre les ancêtres et les descendants.

La vie après la vie terrestre et la notion de réincarnation.

Nombreux sont les hommes (surtout en occident) qui rejettent l’idée d’une vie après la mort. Ils pensent que l’après-vie est un état de néant.
En réalité, comme l’indique le schéma ci-dessous, au moment de la mort physique, l’âme, le corps spirituel et le corps astral se retirent du corps physique pour regagner un niveau vibratoire (invisible) appelé : monde astral.

Dans ce monde, les âmes des humains continuent à éprouver les mêmes sentiments que sur terre (troisième dimension) ainsi que les mêmes émotions. La mort physique n’est que le début d’une nouvelle vie dans une autre dimension (la quatrième dimension).

On peut dire que la naissance sur terre représente la mort dans le plan astral et que la mort sur terre représente la naissance dans le plan astral.

Cependant, il serait plus juste de dire que la mort n’existe pas réellement. Notre âme vit alternativement sur terre (avec un véhicule physique que constitue notre corps physique) et dans le monde astral, en tant qu’esprit désincarné.

Dans de nombreuses traditions, il est question de vie éternelle.

Les recherches concernant les NDE me paraissent très intéressantes, même si les avis sont très partagés sur ce sujet.

Des milliers de personnes à travers le monde racontent la même histoire troublante. Elles ont la sensation de se détacher de leur corps, d'assister à leur propre réanimation, d'entendre les chirurgiens leur parler. Elles voient un tunnel avec au bout une lumière. Cette expérience a bouleversé leur vie, au point qu'ils ne craignent plus la mort.

Longtemps considéré comme obscur et assujetti aux railleries, le phénomène intéresse aujourd'hui de nombreux scientifiques, qui s'interrogent.

En effet, comment ces personnes ont-elles pu percevoir et mémoriser des scènes de leur réanimation alors qu'elles étaient inconscientes, dans le coma et parfois déclarées mortes cliniquement ?

Certains conduisent une étude, d'autres ont vécu eux-mêmes une expérience de mort imminente. Ils témoignent sans complexe pour lever un tabou qui se révèle être une mine d'or de connaissance pour la science et pour l'homme.
En se basant sur les récentes découvertes concernant les NDE (near death expérience), expériences de mort imminente (EMI en Français), certains scientifiques avancent la thèse selon laquelle la conscience se situe en dehors du cerveau.

A ce propos, nous vous conseillons de visionner le film de Sonia BARKALLAH intitulé : « Faux départ ».
Ce documentaire réunit cardiologues, neurologues, anesthésistes, réanimateurs, médecins, psychologues qui témoignent sans complexe sur ce sujet.

Le premier scientifique ayant ouvert cette voie est le Docteur Raymond MOODY avec son livre « La vie après la vie ».

Les premières rencontres internationales concernant ces recherches se sont déroulées à Martigues (dans les Bouches du Rhône), le 17 juin 2006. Les deuxièmes rencontres se sont tenues à Marseille, les 9 et 10 mars 2014 au Palais des Congrès.

Un des intervenants, le docteur Pim van Lommel nous dit :
« … Une conscience claire et des processus de perception complexes, au cours de EMI, remet en question la notion selon laquelle la conscience est localisée exclusivement dans le cerveau…
La notion admise jusqu’ici, mais jamais prouvée scientifiquement, selon laquelle la conscience et les souvenirs sont produits par un grand groupe de neurones et localisés dans le cerveau doit être discutée…
Comment peut-on expérimenter une conscience claire hors de son corps au moment où le cerveau ne fonctionne plus, lors d’une mort clinique par exemple, ou quand il y a un électro-encéphalogramme plat ?
… En outre, même des aveugles ont décrit des perceptions… Les études scientifiques nous amènent aux limites de nos notions médicales, sur la portée de la conscience humaine et les liens entre l’esprit et le cerveau… Nous avons un corps et une conscience mais sans le corps, nous pouvons avoir encore des expériences conscientes… Notre conscience n’est pas limitée par notre cerveau parce que celle-ci n’est pas localisée…
Platon a dit il y a plus de 2000 ans que le corps est le porteur transitoire de notre âme qui est immortelle… Le temps n’existe plus dans l’univers immatériel…
Pour moi, la science doit de se poser des questions avec un esprit ouvert et être à la recherche d’explications concernant de nouveaux mystères plutôt que de rester fidèle à d’anciens concepts… ».

Dans le prochain article, nous aborderons le célèbre cas de Pam Reynolds.

A suivre ...

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