Faire feu de tout bois !

Il est toujours préférable de combiner plusieurs sources d’énergie plutôt que de se concentrer sur une seule.

Un grand fourneau à bois permet de faire la cuisine et de chauffer de l’eau avec un minimum d’installation.

 Monsieur et Madame canard ….

Pour le plaisir des yeux. Pigeons à collerette

Toujours pour le plaisir des yeux, sans collerette !

Jardins des « aromates » …

… Ou jardin de curé

Je vous présente « chocolate ». Lait de chèvre à domicile !

Pour le plaisir des enfants et des grands !

Tout doux !

Petit bassin pour les poissons rouges !

Sans oublier, Léon !

« En cette période d'incertitude vis-à-vis de l'avenir de l'espèce humaine, le mot "biodiversité" est de plus en plus présent dans les discours et les articles de tous ceux qui se préoccupent de la crise écologique contemporaine. Aujourd'hui, les menaces provoquées par le réchauffement climatique global dû à l'émission de gaz carbonique et à l'effet de serre qui déstabilise les climats sont de plus en plus reconnues par le grand public. Mais l'importance du problème de l'érosion de la biodiversité et l'urgence de s'en occuper sont beaucoup moins à l'ordre du jour…

Nous prenons aujourd'hui conscience du fait que notre existence et notre confort reposent sur une quantité de facteurs que la nature nous procure sans frais et que, par nos activités, nous saccageons allègrement…

Nous ne pouvons rien contre la déforestation de l'Amazonie. Mais nous pouvons agir pour préserver ce qui est sous notre contrôle direct ou indirect.
 

- Il y a d'abord nos possessions personnelles (jardins, balcons...) et c'est pourquoi l'association que je préside - Humanité & biodiversité - a lancé l'opération "Oasis Nature"...

- Nous pouvons aussi mettre la pression sur nos gouvernants pour la préservation des territoires nationaux - création d'espaces protégés (dans l'Hexagone et outre-mer) et le "ménagement" de tous les autres… »

(*) Hubert Reeves - Le Point (extraits)

L’empoisonnement progressif de notre nourriture par les dérives chimiques et productivistes de l’industrie agro-alimentaire est un fait connu depuis longtemps de tous les spécialistes honnêtes et du public averti.

Cette situation vient à nouveau d’être confirmée de façon éclatante par une étude menée par un collectif d’associations écologistes qui a fait analyser quatre repas types consommés par un enfant d’une dizaine d’années en une seule journée. Les repas consommés quotidiennement par nos enfants contiennent, d’après l’association Générations futures, 81 substances chimiques.

Le porte-parole de l’association précise : « Nos analyses montrent qu’en vingt-quatre heures, un enfant est susceptible d’être exposé, uniquement par son alimentation, à des dizaines de molécules soupçonnées d’être cancérigènes ou d’être des perturbateurs endocriniens ».

Ces mesures ont montré la présence de PCB, de pesticides, de dioxine, de métaux lourds, etc. Cette situation expliquerait, notamment, l’augmentation constante du nombre de cancers en France que l’on cherche, par facilité, à attribuer quasi-exclusivement au tabac et à l’alcool.

D’autre part, une étude scientifique aux USA vient de démontrer que les jeunes Américaines atteignent l’âge de la puberté de plus en plus tôt. Pour 15% d’entre elles, les seins se développent dès l’âge de 7 ans. Le surpoids et les pesticides pourraient expliquer cette précocité.

En France, l’âge des premières règles qui était de 15 ans et demi en 1850 a atteint 12.6 ans en 1994.  Une autre étude portant sur plus de 500 femmes en début de grossesse observées en Bretagne entre 2002 et 2006 affirme, selon l’institut de veille sanitaire, avoir décelé des traces de pesticides d’origine agricole dans les urines de ces futures parturientes. Les chercheurs ont notamment isolé des traces d’atrazine, un des pesticides les plus utilisés en agriculture, dont les effets toxiques, voire mortel sur l’embryon animal ont déjà été démontrés.

Tous ces travaux scientifiques prouvent les dangers sanitaires causés par les dérives de l’agriculture contemporaine et la nécessité d’un retour à des formes traditionnelles de paysannerie.

Nous vous conseillons la lecture du guide ci-dessous :

A suivre, donc…