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Le changement, c'est maintenant !

Le phénomène du centième singe et la nouvelle conscience.

Je pense qu’il existe dans l’inconscient collectif un malaise et une aspiration au changement.

Le rêve américain est en train de se transformer en cauchemar, le « travaillez plus pour gagner plus » n’est en fait qu’une tromperie destinée à nous faire travailler plus pour consommer plus!

Il ne fait aucun doute que le monde politique, le monde du « new âge » ou celui du marketing, par exemple, ont bien captés cette aspiration et l’utilise, à des fins politique ou mercantile.

Nous sommes cependant privilégiés car nous vivons dans un pays bien peu affectés comparativement à certains autres dans le monde.

Mais cette situation sera-t-elle éternelle. Permettez-moi d'en douter.

Nous vivons dans un monde global (mondialisme oblige) et ce qui se passe dans une autre partie du monde finit toujours par nous affecter. La colère d’un peuple sert de détonateur à un autre pour se soulever. La chute d’un empire financier entraîne des effets dans l’ensemble du monde de la finance et celui de la politique. Un mouvement de masse s’éveille et nous affectent. Toute la société humaine est de plus en plus plongée dans des énergies de peur, de compétition, de violence, mais aussi dans de désir de changer (même si on ne sait pas comment).

Nous sommes obligés de faire des efforts constants pour maintenir un équilibre fragile, à coup de tranquillisants pour les uns, de cure de bien-être pour les autres.?

Pour prendre une image simple, il nous apparait que les deux plateaux de la balance ne sont pas équilibrés.

Il faut bien reconnaître que le côté de l’ombre semble beaucoup plus lourd que le côté de la lumière. Il faudra mettre beaucoup de lumière pour que l’ombre et la lumière s’ajustent dans un espace de respect mutuel et d’amour.?

Au niveau individuel, la recherche du « vivre mieux » nous incite davantage à nous analyser. Il y a des aspects de nous-mêmes que nous apprécions et désirons garder et il y en a d’autres qui nous nuisent et ne nous sont plus utiles.

Oui, le moment est certainement favorable pour nous positionner face à nous-même en nous demandant, par exemple :

« Qu’y a-t-il dans mon présent qui est bon pour moi ? Qu’y a-t-il dans mon présent qui nuit à mon épanouissement, à mes relations avec les autres ? », etc.

La prise de conscience du fait que nous sommes responsables envers nous-même, que nous sommes responsables de nos pensées et de nos actions, est en train de gagner du terrain. Nous nous sentons, plus que par le passé, responsables des préjudices que nous causons aux autres par nos pensées, nos paroles, nos actions et nos jugements.

Il nous apparait aussi que sommes responsables, à des degrés divers, de l’état actuel de la planète et des relations entre ses habitants.

Le phénomène du centième singe et la nouvelle conscience

Les singes « macaca fuscata » vivent sur l’île de « Koshima ». Ils ont été découverts il y a plus de trente ans.

Les scientifiques présents sur place les nourrissent avec des patates douces qu’ils leur jettent dans le sable. Les singes adorent cette nourriture mais n’apprécient pas le goût du sable.

Une jeune femelle du nom de « Immo » trouva une solution pour résoudre ce problème. Elle se mit tout simplement à laver les patates avant de les consommer.

Les premiers à suivre son exemple ont été les plus jeunes singes.

Au fils des jours, le nombre des « laveurs de patates » augmenta sans cesse.

Les plus réticents étaient les vieux macaques, rivés à leurs habitudes. Ils observaient le reste de la « tribu » avec des grimaces réprobatrices.

Les années passèrent et cette nouvelle habitude s’amplifia, jusqu’au jour où une centaine d’individus adoptèrent cette manière de faire.

Lorsque le centième singe apprit à faire comme les autres, il se passa un curieux phénomène. L’ensemble de la communauté adopta ce comportement.

Il se passa également un autre phénomène qui fut constaté par les scientifiques : ce nouveau comportement fut adopté par d’autres communautés de singes sur d’autres îles ainsi que sur le continent dans la ville de « Takasaki ».

Tout ce petit monde se mit à laver les patates douces avant de les manger !

Depuis que le centième singe passa à l’acte une véritable percée idéologique fit son apparition, créant ainsi une véritable révolution culturelle.

Ainsi lorsqu’un certain nombre d’individus atteint un certain niveau de conscience, cela se transmet aux autres malgré les réticences temporaires de certains.

Le nombre d’individus peut varier, mais ce « phénomène du centième singe » nous donne l’enseignement suivant :

Lorsqu’un petit nombre apprend et intègre une nouvelle habitude issue d’une nouvelle façon de voir les choses et d’une nouvelle pensée, cela reste connu de quelques initiés. Il suffit alors qu’une seule personne de plus se rajoute aux autres pour qu’il se produise un « basculement » et que cette nouvelle conscience soit admise et intégrée par presque l’ensemble d’une communauté.

L’humanité actuelle traverse une crise sans précédent.

Il s’agit, en fait, d’une crise systémique qui va entraîner les plus grandes transformations de son histoire. De véritables mutations sont en cours et touchent de très nombreux domaines de la société. Il ne fait aucun doute qu’à un moment ou à un autre va se produire un moment critique qui entraînera le basculement de la conscience collective. Telle une épidémie, cette nouvelle conscience se répandra dans le monde entier, transcendant les barrières raciales, idéologiques, religieuses, économiques, historiques, scientifiques, religieuses, etc.

Ce nouveau plan de conscience sera contagieux au-delà de ce que nous pouvons imaginer, tellement nous sommes accrochés, pour la plupart d’entre nous, à nos croyances du passé et à certaines théories pseudo-scientifiques, mis en avant afin de faciliter le développement de la civilisation matérialiste actuelle.

Nous adopterons alors un nouveau mode de vie intégrant des notions telles que :

L’origine de l’humanité est unique.

Les humains sont tous frères et sœurs.

Nous sommes les « locataires » de la planète terre, qui nous héberge.

Etc.

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Commentaire de Patrick ONNIS le 16 Avril 2015 à 22:48: Oui, ma chère Béatrice, parfois derrière l'agneau se cache le loup ! Et comme vous le dites :

"Chacun doit être vigilant dans ces choix..."

Commentaire de Lovyves le 16 Avril 2015 à 14:09: Bonjour à Tou(te)s
Chère BéatriceV, que le "non" en fin de phrase, veuille dire : "qu'en pensez-vous ?".
Je m'en doutais, mon âge et expérience, me l'avaient soufflé à l'oreille.
Si, j'insiste sur ce détail, c'est pour Vous.
Dans le langage commun, c'est … commun ce mot interrogatif après une phrase interrogative.
Au fait pourquoi pas "oui" !??
Quel est donc son intérêt, si la phrase précédente, est déjà une interrogation, ayant pour but "qu'en pensez-vous ?" ???
Je Vous laisse à trouver .. plusieurs réponses.
Une interrogation est une manipulation (de l'esprit), souvent positive; dès qu'il y a double manipulation, c'est plus rarement positif, pour les autres, et surtout pour soi.

Commentaire de Patrick ONNIS le 16 Avril 2015 à 9:55: L'essentiel du message de cet article, me parait être :

"Une jeune femelle du nom de « Immo » trouva une solution pour résoudre ce problème. Elle se mit tout simplement à laver les patates avant de les consommer.

Les premiers à suivre son exemple ont été les plus jeunes singes.

Au fils des jours, le nombre des « laveurs de patates » augmenta sans cesse.

Les plus réticents étaient les vieux macaques, rivés à leurs habitudes. Ils observaient le reste de la « tribu » avec des grimaces réprobatrices.

Les années passèrent et cette nouvelle habitude s’amplifia, jusqu’au jour où une centaine d’individus adoptèrent cette manière de faire.

Lorsque le centième singe apprit à faire comme les autres, il se passa un curieux phénomène. L’ensemble de la communauté adopta ce comportement."

Commentaire de Lovyves le 15 Avril 2015 à 20:52: C'est ainsi que la réponse était dans la question.
Donc, question résolue .. sans les accords toltèques, ni CNV, ni philo, bien entendu.
Mais, c'est très commun ce "non" en fin de questionnement.
Donc, je suis conscient d'être un "empêcheur de tourner en rond .. ou en carré .. ou d'être un inconditionnel du changement (des paradigmes new look), peut être ?
Vous voulez le changement ??? (je m'adresse à tout le monde).
J'en doute pas;... mais en gardant nos "péchés mignons", cependant, surement.

Commentaire de Lovyves le 15 Avril 2015 à 20:30: Ah, BéatriceV que votre question aurait été belle ... sans le "non" à la fin.

Commentaire de Patrick ONNIS le 15 Avril 2015 à 9:15: En ce qui concerne le mot "prosélytisme", je m'en tiens à son étymologie : du latin ecclésiastique proselytus, venant du grec proselutos, nouveau venu dans un pays étranger.

Bienvenue à tous dans le nouveau monde ! Le changement c'est maintenant !

Commentaire de Patrick ONNIS le 15 Avril 2015 à 8:53: Cher Lovyves, merci pour ces pistes de réflexion. La notion de "locataire" veut tout simplement dire que nous ne sommes pas "propriétaire" de la terre. Ceci est expliqué de façon imagée dans la genèse de l'Ancien Testament en ces termes :

"Faisons l'homme à notre image, selon notre ressemblance, pour dominer sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, sur les animaux domestiques, sur route la terre .." (26)

Nous avons donc, en tant qu'être humain la responsabilité de la planète qui nous héberge. A nous de gérer au mieux cette création.

Commentaire de Lovyves le 14 Avril 2015 à 20:09: "L’origine de l’humanité est unique, l'origine des nations est unique, l'origine des religions est unique, l'origine des langues est unique."
Ceci me parait être plus un axiome qu'une valeur.

Les humains sont donc tous frères et sœurs.
Oui, nous le constatons, et nous pouvons en faire une valeur de fraternité.

Nous ne sommes que les « locataires » de la planète Terre, qui nous héberge :
Je ne vois pas de valeur en ceci.
Si je suis de la poussière ambulante, je ne suis pas "locataire", je suis la terre.
Si en plus j'ai de la consciente (appréhension de soi et de l'environnement), que viens faire le mot "locataire ?
En parlant de Dieu, possible, puisque l'on dit "Dieu soit loué".
Mais, là, il y a une "piste" dans le sens de Patrick : Si Dieu existe, il nous a, possiblement, donné la gestion de nous-mêmes et de la planète ?
Je continue sur cette piste (pour plaire à Patrick) :
Si Dieu n'existe pas, pour les extraterrestres, c'est possiblement, idem que Dieu.
Et si, les extraterrestres n'existent pas, alors (hasard) à nous humains de tout faire, gestion de nous-mêmes et de la planète.

Et tout cas, je sais pas s'il y a valeur en ces cas, mais il y au moins gros challenge.

Commentaire de Lovyves le 14 Avril 2015 à 19:52: Bonsoir à Tou(te)s
A Patrick, en particulier,
Je ne sais pas "faire partager", par contre je peux dire (écrire, ici) ce que je fais:
Actions diverses (contre les mutilations physiques des enfants (garçons et filles),
plus particulièrement impliqué dans : "le Paradisme"
http://www.mouvement-pour-le-paradisme.fr/
Ce qui englobe beaucoup de choses.

Quant au prosélytisme, il me dérange pas du tout, au contraire, puisqu'il est un droit (articles 18 et 19 de la D. U. D. H.).
Tout idée émise est du prosélytisme et .. de la manipulation.

Commentaire de Patrick ONNIS le 13 Avril 2015 à 22:55: Pour répondre à votre question, cher Lovyves, qui est : "Pourriez vous "m'éclairer" (me citer) sur une de ces valeurs" :

L’origine de l’humanité est unique, l'origine des nations est unique, l'origine des religions est unique, l'origine des langues est unique.

Les humains sont donc tous frères et sœurs et ne sont que les « locataires » de la planète terre, qui les héberge.

Et comme je ne suis pas ici pour faire du prosélytisme, je ne ferais aucune publicité pour le mouvement auquel j'adhère, pour la promotion de la prochaine civilisation (sauf en privé, bien évidemment).