La sexualité au service de l'Amour et de la santé

Je ne vous apprendrai  rien en vous disant que la conception d’un enfant existe grâce au fait que nous avons, en tant qu'homme et femme, une activité sur le plan sexuel. C’est le moyen le plus pratique et le plus naturel pour procréer et assurer la pérennité de l’espèce humaine.


Je pense, pour ma part, que le plaisir sexuel n’est pas primordial dans un couple mais il permet à l’homme et à la femme, de réaliser une union solide tant sur le plan physique que spirituel. C’est l’union de deux corps, de deux « égo » et de deux « âmes ». On retrouve dans cet acte la trinité : âme, mental et corps physique.

Dans nos sociétés dites civilisées on a  tendance à donner beaucoup d’importance à la recherche du plaisir physique, des performances, des expériences diverses. La pornographie (affichée ou déguisée) a, selon moi, entachée la notion d'amour et influence le comportement d'un public de plus en plus jeune. 

Je pense que la sexualité, en tant qu’art sacré (acte sacré) , devrait s’exercer à l’intérieur d’un cadre solide et « sécurisé » tel que celui du mariage et non pas pour satisfaire uniquement des désirs « primaires » liés au sexe en ne recherchant, en quelque sorte, que la jouissance. Cet acte, si souvent galvaudé de nos jours est pourtant le premier acte de partage consistant à apprendre à aimer.

Cette introduction étant faite, voyons à présent, les bienfaits de la sexualité sur le plan physique et émotionnel.

D’après certaines études, la sexualité est excellente pour la santé. Cette forme d’exercice physique, est excellente pour notre bien-être physique et mental.          

Elle « fait du bien » sur les plans : hormonal, circulatoire, cutané, musculaire, nerveux, cardiaque, psychique, etc. Il améliore la circulation sanguine et renforce le cœur. Au repos, notre cœur bat à 70 - 80 pulsations/ minute, le rythme cardiaque peut s’accélérer jusqu'à 120-140 pulsations/minute, pendant la phase d'excitation.                                      

Elle contribuerait également à l'aug­mentation du taux de DHEA, l'hormone anti-âge, de la testostérone et des œstrogènes. Ces trois éléments contribuent à réduire les risques de maladies cardiaques.                              

Puisque l'acte sexuel favorise la circulation sanguine dans tout le corps, on peut admettre que la peau du visage soit plus éclatante car mieux irriguée et mieux oxygénée. D’autre part, la production d'œstrogènes, favorise l'hydrata­tion de l'épiderme.                                                                                       

L’acte sexuel semble augmenter le taux de collagène, responsable de l'élasticité de la peau. On a constaté, d’autre part que l’acné juvénile s’estompe et disparait dès lors qu’un individu connaît sa première expérience sexuelle.   

D’autre part, la plupart des sexologues constatent que les femmes qui ont  une vie sexuelle difficile souffrent plus souvent de maladies psychosomatiques, d'anxiété ou de fatigue chronique.                                                             

Il est certain qu'une activité sexuelle régulière permet de se sentir bien dans sa peau. On sait que l’activité physique, en général, déclenche au niveau de l’hypothalamus une sécrétion d’hormones qui a des effets euphorisants comme la sérotonine et la dopamine. De plus les caresses, qui peuvent s’apparenter à un massage, ont un effet rassurant qui permettent d'évacuer les tensions physiques, musculaires et psychologiques et sont un bon remède contre le stress, par exemple.                                                                                                  

La thyroïde joue un rôle décisif sur l'humeur et le tonus de la femme,  car cette glande régit la production d'hormones. Elle a besoin d'être régulée par l'hypophyse et cela intervient lorsque le cerveau reçoit un message de plaisir.



En conclusion :

En tenant compte des bienfaits que la sexualité nous procure et sans oublier qu’elle n’est que la partie visible d’un iceberg qui s’appelle l’AMOUR, avec un grand « A », prenons du plaisir pour rester en bonne santé physique et mentale.

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Commentaire de Katy le 22 Juin 2015 à 21:29

Hi également, Lovyves fait l'effet d'une bulle d'oxygène, ou une mouche du coche ?


Pour le reste, que dire ? Une chose est que le corps de la femme ne "fait" pas les enfants, mais constitue le "cocon" dans lequel il se fera avec les éléments chimiques et physiques qui sont à sa disposition.

Donc la phrase : "nous faisons les enfants" est fausse.





Sinon, les visions en matière de sexualité, de genre..sont totalement faussées et, certainement depuis des siècles. La religion y a largement contribué pas toujours par perversion, mais par incompréhension de la notion d'amour (confusion avec appartenance).

Une autre chose avec laquelle je ne suis pas d'accord est la fameuse "nature féminine ou masculine". Ces "natures" que Clarissa Pinkola définit largement et très bien dans "femmes qui courent avec les loups", sont dans chaque être et se doivent de se développer véritablement pour constituer un être entier.



C'est cette "vision" de la différence de "nature" qui serait prédominante dans un "sexe physiologique" qui aboutit à nombre de désastres à la fois en matière de couples, mariages, mais aussi construction des enfants.

Tout comme "forcer" à homogénéiser les genres, est une chimère puisque ces transformations là, ne peuvent réellement aboutir que si le groupe d'individus y est disposé (voire prêt).

De mon côté, je ne suis pas spécialement fière d'être une femme (sans avoir pour autant envie d'être un homme. De toute façon, nous sommes de la même espèce et quels que soient les artifices interprétatifs que nous en faisons, cette réalité ne change pas), car, derrière chaque travers accordés aux hommes, ou aux représentants masculins, il y a une femme qui  a oeuvré (au moins dans l'éducation) et, plusieurs, même qui perpétuent le stigmate d'une vision stéréotypée des sexes et leurs fonctions prétendues (en vertu de l'interprétation humaine) : stigmatisation sociale, mais aussi du « corps féminin » sont réalisées par les femmes.


Je vais faire deux commentaires afin de limiter l'aspect "pavé" et limiter aussi l'effet de stress sur certains lecteurs.

Commentaire de Patrick ONNIS le 16 Juin 2015 à 19:33

Et toujours pour rire !

Commentaire de Patrick ONNIS le 16 Juin 2015 à 19:32

Encore pour rire !

Commentaire de Patrick ONNIS le 16 Juin 2015 à 19:31

Juste pour rire !

Commentaire de Patrick ONNIS le 16 Juin 2015 à 19:30

Ils ne se marièrent pas et eurent beaucoup d'enfants !

Commentaire de Patrick ONNIS le 16 Juin 2015 à 19:28

Cher Dempsey, je vous retourne la question. Pourquoi ces planches anatomique, d'après vous ?

Commentaire de Patrick ONNIS le 16 Juin 2015 à 19:13

L'égalité dans la complémentarité ...

Commentaire de Patrick ONNIS le 16 Juin 2015 à 19:11
Pas mal, le vis-à-vis !
Commentaire de Patrick ONNIS le 16 Juin 2015 à 19:07

En conclusion : La sexualité est au service de l'amour et de la santé !

Commentaire de Lovyves le 16 Juin 2015 à 11:45

Tout à fait catsaison, c'est amusant.
Avec un brin de conscience, c'est encore plus drôle .. de voir le fonctionnement formaté les individus.
Les mots ont une signification, point.
Chacun peut, et, se donne le droit de donner une connotation aux mots… pour faire maux, souvent.
Chef, cheffe, patron, patronne, sont synonymes, point.
Mais, les humains, en majorité (et la majorité veut souvent faire loi) déprécient les féminins des mots.
Est-ce étonnant ?
Non, tant les humains éviteront de fonctionner avec leur conscience.

La femme est inférieure ou supérieure à l'homme, oui, c'est toujours à la mode.
Faut bien se créer des différences, des problèmes .. pour s'occuper avec les mots … afin de fabriquer des maux.
La perversité (ordinaire) est toujours d'actualité.

Quant à : " n'est pas bon que l'homme soit seul je vais lui faire un vis-à-vis".
Preuve directe que Dieu, n'est Dieu ou qu'il n'existe pas, il manque d'yeux, de jugement, il n'a pas prévu "l'affaire".
Cependant, il a, sans doute, bien fait, après réflexion; Il lui arrive de réfléchir .. il devrait le faire plus souvent (vu l'état de l'humanité).

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