Suite de la première partie :
http://epanews.fr/profiles/blogs/de-l-poque-yin-l-poque-yang-1-re-p...
Depuis 1962, l’énergie spirituelle du feu ne cesse de s’intensifier dans tout l’univers. Si celle-ci augmentait de façon soudaine, la terre connaitrait un réchauffement très intense. Tout, dans la nature fonctionne selon le principe de la progressivité. Autrement dit, dans la nature, on peut constater qu’alternativement, il y a des périodes de réchauffement et de refroidissement. Dans tous les cas, ce que nous devons bien comprendre, c’est que nous sommes confrontés en tant qu’êtres humains à la période la plus critique de notre histoire.
Une des caractéristiques de la société actuelle est de rechercher à tout prix la prospérité matérielle et cela, bien souvent, au détriment du bien être intérieur.
Un nombre croissant d’individus prend aujourd’hui conscience que l’abondance matérielle ne conduit pas au bonheur (c'est-à-dire à un état de complète satisfaction et de plénitude). De plus en plus de personnes recherchent un certain épanouissement sur le plan psychique ou émotionnel. De nombreux stages sont organisés pour répondre à cette demande et bien des ouvrages sont consacrés à ce sujet.
Le rêve américain risque de se transformer en cauchemar américain !
Notre société dite « civilisée » repose sur une vision qui donne la primauté à l’aspect matériel des choses. La science, la politique, l’éducation, la médecine et de nombreuses disciplines fonctionnent en ayant pour base des principes matérialistes. Dans certains milieux, on parle d’une ère nouvelle, d’une nouvelle civilisation (new âge).
Approfondissons ce sujet à travers un exemple :
Dans la nature existent de nombreux cycles comme celui des saisons. Le printemps fait place à l’été qui fait place à l’automne, l’automne faisant place à l’hiver et ainsi de suite.
Ces changements s’opèrent progressivement. On passe graduellement d’une saison à une autre et toute la nature se métamorphose. Nous ne vivons pas de la même manière en hiver qu’en été. Il est rare qu’une personne normalement constituée porte un pullover à col roulé et des gants en plein été. Les paysages se transforment au gré des saisons et de nombreux changements les accompagnent.
Ainsi, nous adaptons notre mode de vie en fonction des différentes saisons.
Nous trouvons maintenant au seuil d’une nouvelle ère qui donnera la primauté aux valeurs spirituelles et morales. Nous passons donc d’une époque qui donnait la première place à la matière à une époque où l’on donnera la première place à la spiritualité.
Jusqu'à présent, la « norme » était de considérer toute chose sous un angle matérialiste. C’était une époque comparable à la « nuit » (Yin – Lune). Dans un avenir proche, nous devrons considérer les choses d’un point de vue spirituel. Ce sera une époque comparable au « jour » (Yang – Soleil).
Notre état d’esprit doit s’accorder, s’harmoniser avec la nouvelle ère. Si nous continuons à penser et à agir comme de par le passé, si nous ne nous harmonisons pas avec le nouveau plan (divin, cosmique), tous les efforts que nous ferons dans quelque domaine que ce soit resteront vains.
Changer sa façon de penser, de concevoir les choses pour être en harmonie (en symbiose) avec la nouvelle époque revient à choisir la bonne fréquence (chaine de télévision) ou le bon numéro de téléphone.
La société actuelle, qui continue à donner la primauté à l’aspect matériel (physique) des choses, va se retrouver dans une impasse dans tous les domaines.
Nous devons résolument tourner le dos à un style de vie qui va à l’encontre de la nouvelle époque.
On peut comparer l’époque Yin à une famille où le père qui représente la sévérité et l’autorité est absent. De ce fait, les enfants se comportent à leur guise, en toute liberté. Il en est de même pour les hommes d’aujourd’hui qui sont une menace pour la nature et créent des déséquilibres dans l’éco système.
On peut également comparer l’époque Yin à l’époque de la nuit où règne une lumière faible irradiée par la Lune. Il est à noter également que la Lune doit son rayonnement au fait qu’elle est éclairée par le Soleil. La Lune n’a pas de rayonnement qui lui est propre.
Dans ces conditions, on peut facilement se cacher pour commettre des méfaits. L’époque à venir est celle du Soleil qui irradie une lumière intense et éblouissante. C’est l’époque où les masques tombent. Par exemple, ce phénomène se traduit par les scandales qui éclatent et qui touchent des personnalités au-delà de tout soupçon jusqu’ici.
Durant la période lunaire, on peut constater que, dans le domaine architectural notamment, les pièces des maisons sont très cloisonnées et la décoration chargée.
De nos jours, les habitations sont plus aérées, de type loft par exemple et la décoration plus sobre. Dans un autre domaine, les prêtres traditionnels de la religion catholique étaient vêtus de noir. Dans les églises et cathédrales d’autrefois, la lumière de l’extérieur pénétrait faiblement à travers les vitraux, créant ainsi une ambiance calme et propice à la méditation. Dans le domaine de la mode, la tenue vestimentaire reflétait également cette période.
L’époque Yang qui a commencé depuis 1962 sera également celle des restrictions dans tous les domaines. Certains érudits parlent déjà d’une probable guerre de l’eau. A titre comparatif, l’époque à venir sera celle du retour du père au sein de la famille rétablissant ainsi un nouvel ordre pour que l’harmonie s’installe de nouveau en son sein.
Dorénavant, il ne sera plus possible pour les hommes d’exploiter la nature à des fins mercantiles et dans un but de domination.
Les hommes de demain devront désormais mieux utiliser les moyens de production afin de privilégier la qualité à la quantité.
Lorsqu’un être humain perd la capacité de s’harmoniser avec la nature, son cœur devient sec et insensible. En vivant en harmonie avec celle-ci, il se sent en sécurité comme un bébé dans les bras de sa mère. Son cœur est ouvert et chaleureux. La plupart des hommes vivent aujourd’hui dans un environnement pollué et urbain. Aussi, leur capacité d’émerveillement vis-à-vis du miracle de la vie s’estompe peu à peu. Ils émettent sans cesse des sentiments d’insatisfaction et de mécontentement.
Il n’est pas question, cependant, de revenir en arrière et de vivre comme nos ancêtres. La technologie et le progrès facilitent notre vie de tous les jours. La future civilisation issue de la nouvelle époque va s’épanouir sur le compost, l’humus de l’ancienne époque.
(Superposition des deux étapes du développement de la civilisation)
Il en est de même par exemple lors de la rénovation d’une ancienne maison. On fait le tri entre les matériaux pour ne garder que ceux qui peuvent être réutilisés et on recycle ceux qui sont inutilisables.
C'est mon intime conviction !
Commentaires bienvenus
Merci Katy pour la question que vous posez. Quelques éléments de réflexion :
"Bienheureux les Fêlés car ils laissent passer la lumière !" Michel Audiard
Steve Jobs, nous dit :
« Vivent les dingues. Les déviants. Les rebelles. Les agitateurs. Ceux qui cherchent midi à quatorze heures. Ceux qui voient les choses autrement... Ceux-là changent les choses. Ils font avancer la race humaine. Et alors que certains pourraient les prendre pour fous, nous les prenons pour des génies… »
Et un auteur inconnu nous parle de la véritable liberté en ces termes :
« Parce qu’ils ne sont pas obligés de servir un tyran, parce qu’ils ne sont pas emprisonnés ou esclaves, les gens se croient libres. Oui, mais intérieurement, qu’en est-il exactement ? Ils sont souvent comme ces animaux retenus à un pieu par une corde de quelques mètres : ils s’imaginent être libres parce que la corde qui les attache les laisse se mouvoir un peu ; mais s’ils veulent aller plus loin, ils découvrent que c’est impossible. Bien sûr, celui qui n’a pas d’autre ambition que de satisfaire ses appétits matériels ou ses désirs grossiers ne se sent pas limité. Mais le jour où il voudra atteindre des régions plus subtiles, plus spirituelles, il ne le pourra pas, et c’est là qu’il sera obligé de constater combien il est esclave, impuissant. La véritable liberté, c’est de n’être retenu par aucune attache, qu’elle soit physique ou, surtout, psychique ».
où finit la frontière de la réalité et où commence celle de l'imaginaire ? Où finit la frontière de l'imaginaire et commence celle de la réalité ?
En ce qui concerne les YINTELLO, ils peuvent bien sûr s'exprimer sur mes articles. Je préfère, quant à moi, les YANGTELLO ! Je vais donc continuer, à écrire des articles pour pousser à la réflexion, en espérant que les échanges "bla bla bla" ne viendront pas détourner les lecteurs du sujet traité.
Je préfère dans tous les cas, les points de vue « des hommes de terrain » plutôt que ceux des « savants ou pseudo-scientifiques ». La classe politique, dans son ensemble, n’inspire plus confiance et cela n’est pas dû aux théoriciens du complot, mais bien à ses propres agissements.
Sous couvert de protection, tout est breveté de nos jours. Mêmes les idées ! Si celles-ci n'ont pas l'aval d'un spécialiste, elles sont caduques ; si les sources ne sont pas fiables, c’est-à-dire conformes aux dogmes en vigueur, elles sont rejetées et ridiculisées. La réalité toute simple est celle-ci : les médias sont concentrés entre les mains de quelques-uns. Il n'y a pas de médias indépendants à proprement parler. C’est la raison pour laquelle, ils ne relaient qu'une partie de la réalité et en témoignent selon un point de vue en adéquation avec le système en place. L’information est triée, les conclusions convenues à l'avance et de ce fait, il n'y a pas de réels débats de sociétés. Les échanges que l'on voit à l'écran sont des échanges de façade, mêlant langue de bois et manipulation plus ou moins volontaire.
Le système économique actuel n'a pas fait et ne fait pas ses preuves. Remettre en cause cette conception prônée par d’éminents économistes inféodés au système en place, est une démarche honnête. C’est être lucide !
Evidemment, on peut toujours diaboliser, dénigrer, monter l'opinion publique de manière à éradiquer celles et ceux qui militent pour un « nouveau monde » en les traitant comme de vulgaires parasites de la société.
Une société qui ne se remet plus en question, qui n'évolue plus, est une société vouée à une mort certaine.
Les « complotistes » ne sont certainement pas des fous paranoïaques qui doutent de tout et projettent leur mépris envers les élites en place.
Ce sont aussi des gens intelligents, des « Monsieur tout le monde », des gens normaux qui et ne se reconnaissent pas toujours dans les modes de fonctionnement de cette société matérialiste, société du « JE » triomphant.
Oui, « Monsieur Tout le monde » se pose des questions, réfléchit, compare les informations. Il se pose des questions philosophiques, existentielles et provoque le débat. Ses motivations sont diverses : Il recherche la vérité, doute de certaines institutions, s’insurge du manque de transparence de l'information (fragmentée et colorée) et s'octroie un droit inaliénable : la liberté d'expression.
Après le terroriste, étiquette donnée aux gens qui subissent une violence et la retournent à l'envoyeur (à l'image des résistants, étiquetés sous Vichy de terroristes), nous avons le complotiste, l’adepte d’une secte ou le partisan du new âge. Autant de profils amalgamés permettant de montrer du doigt ceux qui ne collent pas avec le système.
En revanche « Monsieur le spécialiste » preuves à l’appui, prône lui, une confiance aveugle en ces thèses. La plupart des émissions diffusée aux heures de grande écoute, sont en réalité des outils de désinformation où des débats creux, définis à l’avance, ne servent qu’à renforcer les dogmes en place avec une grande malhonnêteté intellectuelle.
Le pouvoir doit accepter le contre-pouvoir ; l’info doit accepter la contre-info.
En diabolisant et en dénigrant les « contres », la confiance disparait et c’est alors que nait la résistance aux idées politiquement correctes.
Diaboliser le « complotiste » en le traitant de malade mental ce n’est pas faire preuve de respect envers les personnes censées qui se questionnent, et c’est dans tous les cas un moyen rapide, subtil et efficace, en surfant toujours sur la peur de l'autre, de réduire la liberté d'expression.
Si comme moi, vous faites partie de ceux qui pensent que tous les évènements actuels se déroulent en suivant un plan d’évolution bien précis, vous n’éprouvez donc aucune inquiétude, ni aucun doute, quant à l’avenir de l’humanité.
Bien au contraire, la situation actuelle, aussi sombre qu’elle apparaisse pour certains, nous offre de merveilleuses opportunités qu’il nous convient de saisir.
Cher Patrick,
Arrête (please) de partager, ce qui ne se partage pas, sauf chez les menteurs.
Un ressenti, c'est une affaire personnelle.
Chacun a un ressenti, lequel lui est propre, et il en est ainsi à tous les humains.
Je peux émettre, donner mon ressenti; c'est généralement très bien, souvent intéressant, mais ceci n'a de valeur que pour soi.
Si nous voulons communiquer, éventuellement communier, c'est avec nos pensées, nos mots, nos écrits (ici).
Tout le reste …
Gesticulations verbales, BCBG, bien sur, si non, elles ne seraient pas bien admises.
Se mentir, est un art, un art à la mode depuis des siècles, des millénaires; tellement à la mode que le mensonge est devenu vérité.
Et mentir "passe" d'autant mieux qu'il est de bon ton de le parfumer .. avec le cœur, par exemple; et, pourtant c'est probablement plus près du cul (affaire de parfum) !!
D'ailleurs, comme tu dis : "La future civilisation issue de la nouvelle époque va s’épanouir sur le compost, l’humus de l’ancienne époque.".
Oui, il va falloir se pincer le nez !!
Patrick, tu souhaites communion :
"Enlève ta chemise et viens pour le corps à corps, nous dit Socrate, un corps à corps dont l'objet est de faire ressortir du sens".
Du sens.. c'est possiblement insensé de nos jours de faire sens à ce que l'on dit.
Dans le "nouveau monde" il n'y aura, peut être place, de la place, que pour ce qui fait sens …
… Ceci n'étant pas mon ressenti, mais mon "blabla" (propos de barbares, chez les Grecs)… et je l'assume.
Le volcan, n'est, probablement, pas là où nous l'attendons.
Mes amis, si je devais imager la situation actuelle, je dirai que les êtres humains sont en train de dormir ou de danser comme des fous sur un volcan près à entrer en éruption. Certains commentaires "hors sujet" que j'accepte avec plaisir nous éloigne du fond de la réflexion. C'est réellement dommage.
Derrière les mots, il y a l'esprit des mots. Je crois qu'il est nécessaire de savoir lire entre les lignes pour percevoir le "nectar" du message délivré par cet article (en deux parties).
Il n'est pas forcément utile d'ergoter.
Les réflexions que je suis amené à vous proposer s’appuient sur ma propre expérimentation, mes propres recherches, ma propre intuition et aussi mon propre niveau de conscience. Mes propres lunettes, en quelque sorte.
De ce fait, il n’est pas facile pour moi, de transmettre ce vécu de façon académique. Une des difficultés réside dans le fait de pouvoir partager des principes qui dépassent le mode de la communication, celui-ci étant intellectuel.
La communication se fait de « tête à tête », alors que la communion se fait de « cœur à cœur » : c’est un ressenti.
J'aurai aimé recevoir vos divers ressentis, plutôt que ce déballage de "bla bla bla" qui n'apporte rien au débat.
Mesdames, Messieurs les philosophes, Bonjour !
Oui, tout à fait !
Il est plus intéressant de se gargariser de mots, que d'en rester aux définitions des mots.
Je n'ai pas posé le problème de savoir si nous avons des croyances, des certitudes et d'en faire le constat; mais que chacun de ces mots ont une définition particulière.
Oui, les mots à l'infini, ayant chacun une définition qui englobe toutes les définitions des autres mots, que c'est beau !
C'est Dieu !
C'est le paradis, tout se vaut; pourquoi ne pas se vautrer en ce délice; c'est la félicité.
Ha oui, c'est une définition intéressante Dempsey.
@Lovyves, nous avons tous des croyances, certitudes...certains en sont même blindés et il ne s'agit pas que de "croyants" dans le sens "religieux".
Interroger les mots à l'infini....et après ?
Pour la pensé, qu'est-ce que l'humain, un commentaire ne suffirait pas à répondre, et d'ailleurs, à l'heure actuelle quelqu'un a-t-il une réponse qui ne se réfère pas à une croyance, des certitudes ou contribuant à quelques intérêts personnels ?
Mais j'aurais tendance à résumer en parodiant "les langues d'Esope", mais en changeant le mot "langue" : l'humain est la meilleure et la pire des créations".
http://ceciestuntest.over-blog.com/article-15282896.html
Pour le reste, qui vivra verra. Il y aura très certainement une période de paix et de légèreté, mais rien ne se fera instantanément et un passage très désagréable pourrait très bien précéder (peut être même dès cet été).
Car pour l'heure, si pour certains le bonheur est à portée de clic, pour d'autres, c'est l'enfer...mais c'est vrai, ils sont loin et ils ont eu la mauvaise idée de choisir une mauvaise "incarnation".
"croyance"; "constat"; "certitude", 3 mots de la langue Française, bien différents, pas synonymes.
Par intérêt (idéologie), chacun peut les inter-changer; mais, en ce cas, nous ne parlons plus le Français entre nous.
Quant à la 1° pensée, la question est intéressante, mais secondaire par rapport à : qu'est ce que l'humain, d'où vient il ?
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