Publié(e) le 13 Juin 2015 à 0:30 2 Commentaires 0 J'aime
Pour la fermeture immédiate du camp de la barbarie de Niederhausbergen / Etat d'urgence déclarée
11 juin 2015
Communiqué, pour diffusion immédiate
Le 11.06. 2015, de Les 3a – Les Artistes et Amis des Animaux
Contact: 06 58 24 12 73
Grève de la faim stricte et illimitée pour la fermeture du centre de primatologie de Fort Foch à Niederhausbergen de Christophe Leprêtre et de 7 autres…
Lire la suite →Publié(e) le 31 août 2014 à 0:43 1 Commentaire 1 J'aime
Giuseppe a été expulsé il y a 4 ans de l'appartement qu'il occupait rue Saint Martin dans le 4e arrondissement, sous le prétexte officiel de ne pas utiliser l'appartement en « bon père de famille ».
Une expulsion en réalité motivée parce qu'il soigne et nourrit les pigeons du quartier. Une expulsion réalisée sans égard pour sa santé fragile.
Nous vous demandons de signer cette pétition pour défendre Giuseppe de la haine et pour que la mairie de Paris…
Lire la suite →Publié(e) le 18 Février 2014 à 13:26 0 Commentaires 0 J'aime
Merci de rejoindre cette campagne: http://chn.ge/1eLGQ4C
Publié(e) le 12 novembre 2012 à 12:30 0 Commentaires 0 J'aime
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Mur de Commentaires (2 commentaires)
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C'est dramatique.
J'ai regardé la video avec attention. Ce monsieur m'est très sympathique. Mais il lutte contre quelque-chose qui le dépasse, qui nous dépasse tous. Je ne parle pas des gens du quartier qui ne voient que les conséquences d'une surpopulation de pigeons. Je parle du phénomène Vie.
Attention, ne vous méprenez pas, mes paroles sont dures, mais mon coeur saigne.
Ce monsieur en apportant à manger va sauver quelques pigeons. Ces pigeons parce qu'ils ont le ventre plein vont se reproduire. La population va augmenter rapidement jusqu'à un nouvel équilibre qui dépend du surplus de nourriture apporté artificiellement. En peu de temps rien n'aura changé, les pigeons seront toujours aussi affamés (c'est leur équilibre naturel, la faim), mais au lieu d'être mille affamés, ils seront deux mille affamés. On a multiplié la faim par deux.
C'est déjà assez malheureux, mais il y a pire : quand ce monsieur mourra, avec lui disparaîtra le surplus de nourriture. Et çà provoquera une hécatombe chez les pigeons. Leur population reviendra à ce qu'elle était à l'origine, et qui dépend de ce que ce quartier apporte naturellement comme nourriture (déchets, etc...). Dans mon exemple (les chiffres sont inventés) çà provoquera la mort de mille pigeons.
Alors on peut se poser légitimement la question : les morts d'aujourd'hui sont-ils plus importants que ceux de demain ? La souffrance d'aujourd'hui est-elle plus importante que celle de demain ? Juste parce qu'on ne sera pas là pour la voir ? Le futur est moins important que le présent ?
Une bonne action aujourd'hui peut provoquer plus de malheur demain que ce qu'elle empêche de malheur aujourd'hui. Il faut toujours se poser la question des conséquences avant de vouloir modifier les équilibres. Car ils sont plus forts que nous, et reviendront quand on ne sera plus là.
La vie est une chose étrange. Elle est apparue et s'est développée suivant des lois naturelles qui ignorent ce que souffrance et malheurs veulent dire. C'est juste une mécanique implacable, on en est issus et on ne peut que la regarder fonctionner... Et essayer de comprendre.
Voilà. En conclusion ce monsieur je pourrais lui dire : sauvez les pigeons de la faim, mais avec de la nourriture stérilisante (la mairie serait ravie qu'il le fasse et lui fournirait les graines ?) ! Ainsi ceux qui ont été sauvés ne vont pas générer une population condamnée d'avance à mourir de faim bientôt. Il n'y a simplement pas pensé, car il a l'air d'avoir l'esprit alerte et bien conservé pour une personne vivant dans des conditions aussi dures (il a moins de chance que ses pigeons).
Bon, ben, c'est tout.