Un Pape a démissionné
Un autre Pape a été appelé à régner
"Araignée" ? Quel drôle de nom pour un pape…
Pourquoi pas "Libellule" ou "Papillon" ?
(d'après Prévert)
Donc… Le Nouveau Pape élu en 2013 s'appelle François.
Et, il est le premier Pape à porter ce nom.
Quel destin !
François ? Qui est il ?
Signification étymologique : François = "Libre" (en latin)
François est secret, réservé, introverti, observateur et possède une nature assez méfiante et prudente. Cela peut aisément passer pour de la froideur, de la fierté, ou un certain sentiment de supériorité, alors qu'il s'agit en réalité de pudeur et de timidité, son flegme apparent dissimulant une réelle nervosité. Patient, lent, il est pourvu d'une détermination à toute épreuve et lorsqu'un but lui tient à c œur, il peut se montrer obstiné et opiniâtre. Ennemi du superficiel, il ne donne pas son amitié à n'importe qui, mais, lorsqu'il s'engage et donne sa confiance, il perd son côté « ours » et se révèle agréable, fidèle, ses qualités morales apparaissant au grand jour. Enfant, il est souvent sage, calme, tranquille, avec parfois quelques accès de colère. François est profondément attaché à sa famille au point de devenir assez casanier. Souvent intellectuel, il peut être attiré par les études longues, et il restera des heures à lire en oubliant tout ce qui l'entoure. Les parents devront stimuler sa sociabilité, favoriser son autonomie et l'habituer à communiquer, lui qui tend plutôt à être solitaire, sinon sauvage. Il est assez responsable et les parents peuvent être tranquilles : il sera honnête et agréable avec ses frères et sœurs. (source : étude du prénom François dans GOOGLE)
En cette période charnière et de Renouveau
en ce monde très agité et secoué
que l'on soit de La Tradition ou du Nouvel Age
que l'on soit dans l'exotérisme ou l'ésotérisme
Conversons sur le Pape de Rome
dans un esprit fraternel, imaginatif et aventureux.
Voici quelques questions qui cherchent des réponses :
• Quelles réformes souhaitons-nous pour Notre Belle Planète Terre en 2014 ?
• Quel est selon vous le rôle de L'Eglise de Rome en 2014 ?
• Qu'attendez-vous du Pape François en 2014 ?
• Peut-on imaginer un Pape Idéal pour un Nouveau Monde Paradisiaque ?
• Peut-on inventer un Pape qui rassemblerait plusieurs religions ? Lesquelles ? Comment ?
• Que pensez-vous du mariage des prêtres au temps de la légalisation du mariage homosexuel?
• Etes-vous pour les femmes-prêtres ou pas ? Pourquoi ?
• Auriez-vous voulu une Papesse ? Pourquoi ?
• Quelle est La direction qui vous semble essentielle pour L’Eglise du Christ Jésus en 2014 ?
• Que pensez-vous de : "Le Vatican et La Politique" ?
• Pensez-vous que L'Eglise de Rome doit s'ouvrir davantage ? Vers qui ? Vers quoi ?
• Que pensent les bouddhistes et les hindouïstes du réseau Epanews de Jésus-Christ ?
• Du Vatican ?
• Pensez-vous que Le Pape s'intéresse suffisamment à La Grande Nature ?
Aux Peuples minoritaires menacés qui s'y trouvent ? Avez-vous des news à ce sujet ?
• Doit-on être POUR L'UNITE ? Comment ?
• Pensez-vous que c'est VOTRE rôle de vous intéresser à L'Eglise de Rome et au Pape ?
Merci à chacun(e) de vous exprimer
sur votre foi ou votre non-foi
sur votre Espérance ou votre Désespérance.
Discutons sans crainte
et MERCI !
Clarine
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Si beau, si vrai, si sincère ce Michel ! Merci à LUI !!!
Il nous confie ci-dessus une petite partie de Son Expérience de Vie, avec des mots si vrais qui sonnent à mes oreilles comme ceux du Coeur. Cet homme là au chapeau EST mon Ami. Oui, j'ai le sentiment que Le Ciel me l'envoie sur ce forum et qu'il va faire partie de ma bande joyeuse… Lui, oui.
Lovyves joue "la mouche du coche", comme à son habitude… Parfois il tombe pile, parfois à côté, et même "à l'envers"… En tout cas, Lovyves est un rabbat Joie, bien souvent aveugle à ce qui se passe de beau sur Epanews : toute cette générosité et ces rencontres merveilleuse. Et moi, moi Clarine, je vote pour Michel ETHERIQUE !
LOVE à toutes les personnes de bonne volonté. Ce n'est pas le cas de tout le monde… Désolé d'avoir à le signifier ici (car ce n'est pas très agréable pour moi).
Et c'est quoi cette "apologie du suicide" dont parle ce Lovyves ? A quoi fait-il référence pour dire une chose pareille sur ce forum (donc cette discussion) ? Qui a cette idée sur ce forum ? Pourquoi ce Lovyves parle ainsi ?
Très clairement,
Clarine
Merci beaucoup Michel L'Etherique.
Je viens de trouver un texte sur "Ecouter" et je te l'envois en privé, maintenant que nous sommes amis. J'apprécie ce que tu dis depuis que tu t'exprimes sur Epanews car je vois que, comme moi, tu es sincère.
Seules les personnes fidèles à leur coeur d'enfant peuvent connaître Jésus et La Vie. C'est mon point de vue. Peut-être que les énarques à force de se prendre pour des gens importants ont oublié la simplicité d'être, tout simplement être, c'est à dire être dans L'Amour Véritable, la bonne définition de L'Amour Vrai, et pas des faux-semblants et des prises de tête à couper les cheveux en quatre, car tout cela mène droit dans le mur : Wall Street et les querelles sans fin, ce n'est pas efficace.
Personnellement, je ne travaille qu'avec mes amis. Les histoires de "con-cul-ranse", de jalousie, de guerre des nerfs, c'est pas mon truc. Je n'ai jamais pu m'y adapter, j'y suis complètement rebelle depuis toujours, et d'habitude je fuis. Je préfère être pauvre comme Diogène et/ou beaucoup de saint(e)s de France et de partout, que riche et sourd et aveugle et sans amis véritables.
Pendant un temps, il faut choisir entre le monde ou Dieu car on ne peut être des deux.
Puis, ensuite, si on a choisi Dieu et qu'Il nous a choisi, on peut retourner dans le monde en homme nouveau ou en femme nouvelle, inspirée par L'Esprit. Tel est mon point de vue de ma fenêtre.
A plus en privé cher Michel. Epanews c'est top pour les vraies rencontres. Merci !
Clarine
En réponse à : Lovyves le 16 Mars 2013 à 17:54 qui dit :
Oui, ceci aurait été fort dommageable ! Car chaque être humain étant unique, il est donc irremplaçable. C'est aussi une partie de Nous qui s'en va lors de la mort de chaque humain. Et, de plus, je n'aurais pas eu l'occasion de rire et de pleurer sur les commentaire de Clarine.
"La quête du Divin est naturelle en chacun" (phrase Clarine) ; Ceci pourrait se dire d'une manière .. moins sectaire !
Je n'ai pas besoin de Dieu, pour être dans le même état d'esprit !
ma réponse :
Merci Lovyves mais… Je ne vois pas le "sectaire" en mes manières. Si j'étais sectaire, au lieu de prendre l'initiative d'ouvrir un tel forum en toute sincérité pour y mettre à la portée de tous ma réflexion, et même le récit de mon expérience personnelle, je me cacherais dans ma caverne aux trésors et laisserais les autres sans mon généreux partage.
Ceci serait dommage et dommageable, à notre avis. Je suis contente que tu ris et que tu pleures sur mes commentaires. Moi, concernant les tiens, quelques uns me font éclater de rire, certains me font sourire et beaucoup m'escagacent.
Pour répondre à ta dernière phrase ( !) :
« Je n'ai pas besoin de Dieu, pour être dans le même état d'esprit ! »,
je te dis une phrase du Christ :
"Celui qui n'est pas avec Moi est contre Moi".
Euh… voilà, voilà, Lovyves.
Bien fraternellement quand-même,
Clarine.
INFO (et je suis désolée par ou pour et avec le monologue…, ce n'est pas de mon fait !) :
"Le Saint Esprit veut transformer le monde par nous"
"Le Saint Esprit nous transforme vraiment et veut aussi transformer par nous le monde où nous vivons."
C’est le tweet que le pape François @Pontifex a publié après la messe qu’il a célébrée sur la place Saint-Pierre, dimanche 28 avril 2013. Le pape a conféré le sacrement de confirmation à 44 personnes du monde entier, de tous les continents, de 11 ans à 55 ans.
Lors de son homélie, le pape a médité sur « l’action de l’Esprit-Saint », qui « apporte la nouveauté de Dieu » : « il vient à nous et fait toutes choses nouvelles, il nous change ».
La nouveauté de Dieu, a-t-il souligné, « ne ressemble pas aux nouveautés mondaines, qui sont toutes provisoires, elles passent et on en recherche toujours plus. La nouveauté que Dieu donne à notre vie est définitive, et pas seulement dans l’avenir, quand nous serons avec lui, mais aussi aujourd’hui ».
En effet, « Dieu est en train de tout faire nouveau, l’Esprit Saint nous transforme vraiment et veut transformer, à travers nous aussi, le monde dans lequel nous vivons ».
Le lundi de la 7e semaine de Pâques, Commentaire du jour« Dans le monde, vous trouverez la détresse, mais ayez confiance : je suis vainqueur du monde » Les familles, les groupes, les États, la communauté internationale elle-même, ont besoin de s'ouvrir au pardon pour renouer les liens rompus, pour dépasser les situations stériles de condamnations réciproques, pour vaincre la tentation d'exclure les autres en leur refusant toute possibilité d'appel. La capacité de pardonner est à la base de tout projet d'une société à venir plus juste et plus solidaire. Les ressources sont consacrées à soutenir la course aux armements, les dépenses de guerre, ou à faire face aux conséquences des rétorsions économiques. C'est ainsi que font défaut les disponibilités financières nécessaires au développement, à la paix, à la justice. De quelles souffrances l'humanité n'est-elle pas affligée parce qu'elle ne sait pas se réconcilier, quels retards ne subit-elle pas parce qu'elle ne sait pas pardonner ! La paix est la condition du développement, mais une paix véritable n'est possible qu'à travers le pardon. La violence est exactement le contraire : elle opte pour un gain à brève échéance, mais se prépare pour l'avenir lointain une perte réelle et permanente. Le pardon pourrait sembler une faiblesse ; en réalité, aussi bien pour l'accorder que pour le recevoir, il faut une grande force spirituelle et un courage moral à toute épreuve. Loin de diminuer la personne, le pardon l'amène à une humanité plus profonde et plus riche, il la rend capable de refléter en elle un rayon de la splendeur du Créateur. |
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Bienheureux Jean-Paul II (1920-2005), pape
Message pour la Journée mondiale de la Paix 2002, §9-10 (trad. © Libreria Editrice Vaticana)
source : http://levangileauquotidien.org/main.php?language=FR&module=com...
mercredi 15 mai 2013
Le mercredi de la 7e semaine de Pâques |
Les chrétiens ne se distinguent pas des autres hommes par leur pays, ni par leur langue, ni par l'habillement. Car ils n'habitent pas de villes qui leur soient propres, ils n'emploient pas un dialecte spécial, et leur genre de vie n'a rien de singulier. Leur doctrine n'est pas sortie de l'imagination fantaisiste d'esprits excités ; ils ne se font pas, comme tant d'autres, les champions d'une doctrine humaine quelconque.
Ils habitent donc, selon les circonstances, des villes grecques ou barbares ; ils se conforment aux usages locaux pour ce qui est des vêtements, de la nourriture, des coutumes. Et cependant, ils témoignent clairement d'une manière de vivre qui sort de l'ordinaire. Ils résident chacun dans sa propre patrie, mais ils y sont comme des gens de passage. Ils s'acquittent de tous leurs devoirs de citoyens, mais ils supportent tout comme des étrangers. Toute terre étrangère leur est une patrie, et toute patrie une terre étrangère... Ils vivent dans la chair, mais pas selon la chair (cf 2Co 10,3; Rm 8,12-13). Ils passent leur vie sur la terre, mais leur cité est dans les cieux (Ph 3,20; He 11,16; 13,14). Ils obéissent aux lois établies, mais leur façon de vivre va bien au-delà de la loi.
Ils aiment tous les hommes, et pourtant tous les persécutent. Ils sont méconnus, condamnés, tués ; et c'est ainsi qu'ils viennent à la vraie vie. Pauvres, ils enrichissent un grand nombre ; manquant de tout, ils surabondent en toutes choses. On les méprise et dans ce mépris ils trouvent leur gloire ; on les calomnie et ils y trouvent leur justification. Insultés, ils bénissent ; outragés, ils honorent les autres... Pour tout dire : ce que l'âme est dans le corps, voilà ce que les chrétiens sont dans le monde."
REFLEXION
La Trinité : comble du mystère, apogée de la raison !
Père Madros de Jérusalem, (Prov 8, 22 s ; Rom 5, 1 -6 ; Jn 16, 12_15)
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Le mot “Trinité” ne figure pas dans le Nouveau Testament, ce qui n’en justifie aucunement la négation : en effet, cette vérité est déclarée magistralement par le Seigneur Jésus, dans un texte attesté par tous les manuscrits : « Baptisez toutes les nations εν ονοματι au nom (non aux noms ) du Père, du Fils et du Saint Esprit ». Dans leur dialogue avec les Musulmans, les penseurs chrétiens arabophones ont exprimé magnifiquement et simplement ce mystère. Ils parlaient de « Dieu, Sa Parole (Jn 1, 1 et 14) et « Son Esprit de la Sainteté », qui n’est autre que Dieu même. Comme dans l’Ancien Testament hébreu (Ps 51 (50),13 ; Is 63 (et le correspondant araméen), il s’agit de « l’Esprit de la Sainteté » qui n’est autre que le Dieu trois fois Saint (ruah haqodesh, ruha di qudsha ??? ????? - ???? ?? ???? , aussi Is 6).
Le vocable latin composé « Trina unitas », trine unité, est plus précis, pour une fois, que le grec « Τριας », « triade ».
Dans les temps modernes, les chrétiens n’ont jamais été aussi poursuivis et persécutés à cause de – ou plutôt sous le prétexte – qu’ils adorent trois divinités ! Ils peuvent facilement crier au Seigneur : « C’est à cause de Toi que nous sommes tués tous les jours » !
Récemment, un Rabbin de Terre Sainte, qui ne réside pas loin de Bethléem, a déclaré que « les Nazaréens d’Europe sont punis à cause de leur impureté (manifestement pour leur foi en la Trinité, leur incirconcision et leur consommation de porc, entre autres choses !). Leur châtiment c’est « la perte de leur identité grâce à l’islamisation de l’Europe » dont le Rabbin se félicite, sans cacher sa joie. Avec tout l’amour et le respect que nous avons pour « nos frères aînés dans la foi », il est grand temps, pour une meilleure coexistence et un dialogue plus fructueux, de dissiper le malentendu sur la Trinité avec le monde judéo-musulman. Tranquillisons ces sœurs et frères en répétant le premier article de notre Crédo : « Je crois en un seul Dieu ». Pour les Juifs, il doit être facile d’accepter la notion de Dieu-Père qui se trouve maintes fois dans l’Ancien Testament. Celui-ci présente tout le peuple hébreu comme Son « fils ». Jésus a eu même le courage de citer le psaume : « J’ai dit : Vous êtes des dieux et , tous, fils du Très-haut » (Ps 82 (81), 6).
Là, nous avons besoin de foi et de grâce (Romains 5, 1-6), de courage et de persévérance, à Bagdad, Alexandrie, Gaza, comme à Paris, Londres, Rome et Madrid. Nous avons besoin aussi d’intelligence et de défense raisonnable et rationnelle de notre foi comme nous le recommandent les saints apôtres Pierre (1 P 3, 15) et Paul (Romains 12, 1).
Ô Seigneur, « Trinité Sainte que j’adore », aidez-nous à comprendre que votre unicité n’est pas solitude, que votre Trinité n’est pas multiplicité, et que le mystère insaisissable de votre Nature nous vivifie constamment et encourage, malgré objections, défis et persécutions : dans la « grâce de Jésus Notre-Seigneur, l’amour du Père (dont Il est le Verbe) et la communion de l’Esprit Saint » ( 2 Cor 13, 13) !
source : etoilenotredame.org
Bonsoir .. les croyants,
…
Dieu dit :
"Ô Jésus, je vais, en vérité, te rappeler à moi; t'élever vers moi, te délivrer des incrédules.
…
"Voici le récit, la vérité :
Il n'y a de Dieu que Dieu.
Dieu est le puissant, le sage.
S'ils se détournent, qu'ils sachent que Dieu connait les corrupteurs.
…
Dis :
"Ô gens du Livre !
Venez à une parole commune entre nous et vous :
nous n'adorons que Dieu; nous lui associons rien; nul parmi nous ne se donne Seigneur, en dehors de Dieu";
Le Coran, Sourate 3
« En ce temps déjà, le centuple » « Semez dans la justice, dit le Seigneur, et récoltez l'espérance de la vie ». Il ne te renvoie pas au dernier jour, où tout vous sera donné réellement et non plus en espérance ; il parle du présent. Certes, notre joie sera grande, notre allégresse infinie, lorsque commencera la vraie vie. Mais déjà l'espérance d'une si grande joie ne peut pas être sans joie. « Réjouissez-vous dans l'espérance », dit l'apôtre Paul (Rm 12,12). Et David ne dit pas qu'il sera dans la joie, mais qu'il y a été le jour où il a espéré entrer dans la maison du Seigneur (Ps 121,1). Il ne possédait pas encore la vie, mais déjà il avait moissonné l'espérance de la vie. Et il faisait l'expérience de la vérité de l'Écriture qui dit que non seulement la récompense mais « l'espérance des justes est pleine de joie » (Pr 10,28). Cette joie est produite dans l'âme de celui qui a semé pour la justice, par la conviction qu'il a que ses péchés sont pardonnés... Commentaire du jour : |
Bonsoir à Tou(te)s
Un nouveau Pape, toujours un concept ancien :
Le pape François critique les couples qui n'ont qu'un enfant "par confort"
http://fr-ca.actualites.yahoo.com/le-pape-françois-critique-les-couples-qui-nont-154308611.html
Une femme un enfant, ce n'est pas du confort, c'est sauver la planète de souffrances et de la mort par la famine (camps d'extermination sans barbelés), voire de sa destruction !
Un enfant par femme c'est un provisoire pour que l'humain dure !
C'est, apparemment, dur à comprendre pour quelqu'un qui se prétend inspiré par Dieu !
@ Lovyves, peut-être te trompes-tu à mal juger le Pape François, "premier et dernier",
voici une info sympa pour lui selon tes critères de jugement n'est-ce pas ???
07/06/13 - Le Pape critique «l'arrogance» des évêques italiens | ||
Comme jamais, Le Pape François a osé attaquer directement la « paresse », l'esprit de « carrière » et le goût de « l'argent » de l'épiscopat italien. La cérémonie, jeudi soir dans la basilique Saint-Pierre, devait se dérouler comme un long fleuve tranquille. Les membres de l'un des plus puissants épiscopats du monde (près de 300 évêques pour 221 diocèses, soit deux fois plus qu'en France) étaient venus clôturer leur 65e assemblée générale en présence du Pape François. Ils devaient repartir sereins, la plupart dans de solides limousines, surtout très préoccupés par la situation politique italienne et l'implication de l'Église, à l'image de leur président, le cardinal Angelo Bagnasco. C'était sans compter sur la «bomba», comme l'on dit à Rome pour un discours choc et d'une franchise unique, que leur avait préparé le pape François. Texte intégralement écrit de sa main et délivré sans tenir compte des corrections suggérées par la Secrétairerie d'État, qui avait pourtant cherché à amortir le coup. La cérémonie prévue dans le cadre de l'année de la foi consistait en une «profession de foi» solennelle de tous les évêques. Sans s'embarrasser d'aucune précaution de langage, le pape François leur a tout d'abord demandé de répondre «sans superficialité» à la question posée par le Christ à Saint-Pierre: «M'aimes-tu?» C'est la «seule question vraiment essentielle», a justifié François. Un pasteur doit se la poser car «tout ministère» se fonde sur «l'intimité avec le Seigneur. Vivre avec Lui est la mesure de notre service ecclésial qui exprime notre disponibilité à l'obéissance, à l'abaissement et à la donation totale.» «Vivre avec le Seigneur est la mesure de notre service ecclésial qui exprime notre disponibilité à l'obéissance, à l'abaissement et à la donation totale» Le pape François Puis le Pape, en regardant les évêques, s'est lancé dans un réquisitoire d'une vigueur jamais entendue à l'époque moderne dans la basilique Saint-Pierre, tant les propos du Saint-Père sont toujours sous contrôle, en particulier quand il s'agit de se livrer à une autocritique de l'Église: «Nous ne sommes pas l'expression d'une structure ou d'une nécessité organisative», a clamé François, mais «le signe de la présence et de l'action du Seigneur ressuscité». Ce qui requiert «une vigilance» spirituelle sans laquelle le pasteur, donc l'évêque en premier lieu, «tiédit, est distrait, oublie et devient insensible, se laisse séduire par les perspectives de carrière, la flatterie de l'argent, les compromis avec l'esprit du monde. Ce qui le rend paresseux, le transforme en un fonctionnaire, un clergé d'État plus préoccupé par lui-même, l'organisation et les structures, que par le vrai bien du peuple de Dieu. Il court alors le risque, comme l'apôtre Pierre, de renier le Seigneur, même si, formellement, il se présente et parle en Son nom. Ils offensent la sainteté de la Mère Église hiérarchique en la rendant moins féconde.» Revenant à la question de départ «M'aimes-tu?», le Pape a alors noté: «cette question insistante du Christ» pourrait susciter «amertume, frustration et même perte de la foi». Ce ne sont pas «les sentiments que le Seigneur entend susciter par sa question», mais ceux-ci «profitent à l'Ennemi, au Diable, pour isoler dans l'amertume, les lamentations et le découragement». Au contraire «Jésus n'humilie pas», il «redonne courage». Le Pape a conclu cet examen de conscience ecclésial par deux exigences précises pour les évêques: «mettre de côté toute forme d'arrogance» et «toujours tenir leur porte ouverte en toutes circonstances» à leurs prêtres. Et par cette prière à la Vierge - alors qu'a été confirmé son voyage à Assise le 4 octobre prochain - «pour une Église priante et pénitente» qui soit «libérée de l'idolâtrie du présent» avec des pasteurs «détachés de la torpeur de la paresse, de l'esprit mesquin, du défaitisme», libérés de «la tristesse, de l'impatience, de la rigidité» mais «intègres» et revêtus de «compassion». Alors dit le Pape, «nous découvrirons la joie d'une Église servante, humble et fraternelle». |