Caroline Éliacheff, psychanalyste et pédopsychiatre, décrypte des extraits de cette première représentation animée du psychisme humain. Ce film est un chef d'oeuvre d'inventivité. A voir sans réserve.
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Commentaires bienvenus
peut-être, on pourra s'en passer de juger en bon/mauvais, c'est toujours yin et yang comme expansion et concentration, ou négation et affirmation, mais au final - toujours conciliation)
et de tendre a l'unifier le fameux et a la place du ou ou en orient c est chose possible ying et yang!
Une des façons de non-violence peut être s'inventer les jeux)
C'est la dualité que nous explorons sur la Terre: chaque chose a son binôme (laide-belle, souliers de bal- souliers rouges)) on essaye de choisir en conscience pour trouver l'équilibre.
C'est une belle proposition! Et un jour, on se rendra compte que tout était toujours bon, utile) Notre mental fonctionne comme un enfant, si on lui propose un jouet plus beau, il lâche le vieux jouet - vieux souvenir négatif, par exemple. On peut lui proposer un jeu plus amusant - chercher du bon dans tous les souvenirs, ou quelqu'uns au choix) Un jour, il oubliera l'ancien jeu - chercher de veilles blessures (j'allais dire "chaussures")) Mais au début, c'est toujours un effort de sortir des habitudes! Cet effort est notre décision. Mais on aime tellement nos habitudes... gardons-les le temps qui nous convient et ensuite on peut décider de jouer à autre chose
Je pense que le souvenir est en lien avec la présence dans le moment présent ou la conscience. C'est peut-être pour cela que la tristesse peut être considérée comme surpoids, souvent on est triste parce que on est dans le passé ou le futur, il manque toujours quelque chose, par exemple, le Présent de la vie). Quand on vit le moment présent c'est la joie du Présent (cadeau de la vie)) Si on a reçu cadeau avec attention, curiosité, gratitude, je suis persuadée qu'il est indetruisable) A vérifier!)
WELCOME)
Pour moi, c'est une question de décision) j'aime être dans la tristesse comme une petite fille, je lui accorde de temps en temps un moment, je suis comme une mère bienveillante qui a de la compassion pour son enfant qui a droit d'être triste. Mais je sais que la nature de nos cellules est profondément joyeuse et quand je le décide, en adulte, je fais un appel à ma joie, ce qui n'est pas une excitation) pour l'appeler instantanément, je pense au film! J'appuie sur le bouton "joie" et tac!-ça clignote comme la tour Eiffel))
Tout à fait d'accord avec Olga (le mot s'écrit bel et bien comme vous l'avez fait), certaines émotions vues comme antinomiques, sont très proches en fait.
Je suis née avec beaucoup de tristesse. J'ai compris exactement la même chose que Katy. Cela me permet de la transformer systématiquement, dès que je détecte ma copine, en joie). Puisque chacune de nos parties a un binôme....(excusez-moi, je ne connais pas orthographe de ce mot)
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