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L'homme qui plantait des arbres (Jean Giono)

Très beau film d'animation après le récit de Jean Giono dans lequel un berger donne une nouvelle vie à un paysage presque desert (Dit par Philippe Frédéric Back, Canada 1987).

L'Homme qui plantait des arbres est une nouvelle de langue française écrite en 1953 par l'écrivain français Jean Giono pour « faire aimer à planter des arbres », selon ses termes. Il s'agit de l'histoire, présentée comme authentique, du berger Elzéard Bouffier, personnage pourtant de fiction, qui fait revivre sa région, localisée en Haute Provence, entre 1913 et 1947, en plantant des arbres.

La nouvelle véhicule de nombreux messages : écologiques, humanistes et même politiques. L'histoire d'Elzéard Bouffier est en effet considérée dans la littérature écologiste comme une parabole de l'action positive de l'homme sur son milieu et de l'harmonie qui peut s'ensuivre.

Le récit de Giono a donné lieu à ce film d'animation du même nom, réalisé par l'illustrateur Frédéric Back et lu par Philippe Noiret, et qui a obtenu plus de 40 prix à travers le monde.

L'Homme qui plantait des arbres est aujourd'hui reconnu comme une œuvre majeure de la littérature d'enfance et de jeunesse et elle est, à ce titre, et pour son message écologique de développement durable, étudiée en classe.(Wikipédia)

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Commentaire de Romane le 1 novembre 2015 à 21:57: Merci Magdala , plaisir partagé ....

Commentaire de Magdala le 28 octobre 2015 à 13:33: @ Corto pour toi le cueilleur d'arbres

https://www.youtube.com/watch?v=yCz3AmR4tMU

Commentaire de Magdala le 28 octobre 2015 à 13:25: En complément :

http://www.franceinter.fr/emission-lattrape-livres-l-homme-qui-plan...

C’est l’histoire d’un berger au caractère inoubliable. Mais pour comprendre que ce caractère est inoubliable, nous prévient Giono, il faut être patient, l’observer sur de longues années. On saura alors que son action est dépouillée de tout égoïsme, et que l’idée qui la dirige est d’une générosité sans pareil. Il vit dans la vallée de la Durance, une vallée, inhabitée pauvre, sèche. Le berger parle peu, il plante des glands de chêne. Tous les jours il enfouit des glands sous la terre. Sur cent mille glands, 20 000 sont sortis. Sur ces 20 000, il compte encore en perdre la moitié.

Commentaire de Magdala le 28 octobre 2015 à 13:17: ahahahahha oui ... j'imagine bien Corto lol

Commentaire de Magdala le 28 octobre 2015 à 13:12: Merci Katy

Commentaire de Magdala le 28 octobre 2015 à 13:08: Pour pouvoir définir le rôle de la nature dans la nouvelleL´homme qui plantait des arbres, il faut comprendre les idées principales de l´auteur. Jean Giono refuse la civilisation en divisant le monde en deux parties: la nature et la société.soit pour luideuxsystèmesdesloisquisontenopposition.

La nature a une grande importance dans la vie duromancier qui lui attribuelescaractèreshumainsenlacomparantaveclamèreetaveclafemme.La relationidéaleentrel´hommeetlanatureestl´harmonie ; etétatdemandesurtout lerespectréciproque.Danscecas,lanaturereprésenteunesourcedelanourriture pour la vie humaine et l´homme lui rend la générosité par le soin. Toutes les catastrophesnaturellessurlaterresontlerésultatdudéséquilibreentrel´homme et la nature. L'crivainaffirmequel´hommeaungrandpouvoirdechangercetétat deschoses.

https://is.muni.cz/th/152549/pedf_b/L_homme_qui_plantait_des_arbres...

Commentaire de Katy le 28 octobre 2015 à 12:56: Ha je connaissais cette histoire, donnée par un type super sur un autre forum, durant un temps, je la distribuais sur les forums.

Merci, elle est lumineuse.

Commentaire de Magdala le 28 octobre 2015 à 12:55: Très beau film d'animation après le récit de Jean Giono dans lequel un berger donne une nouvelle vie à un paysage presque desert (Dit par Philippe Frédéric Back, Canada 1987).