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Commentaire de Laëtitia Ludivine le 21 mai 2012 à 9:21

Oui ann-pascale c'est ce qui est avancé dans la vidéo.

Pour ne pas regretter, ne faut-il pas être dans la pleine conscience et cela ne contient-il pas l'éternité?


Maintenant dans la matière, à chacun le soin de "comprendre la mort" surtout dans l'instant ou elle surgit dans notre vie.


"La présence est une puissante déesse." Goethe
« Certes, tout dans la nature est changement mais derrière ce principe du changement repose un principe d’éternité » J.W Goethe

Commentaire de Ann-Pascale le 21 mai 2012 à 9:03

Seul l'égo  a peur de mourir ,c'est une illusion du mental ; on peut regretter qu'en occident l'étre ne cherche pas à comprendre la nature de la mort ,et ce pour éviter toute angoisse injustifiée  .Le contraire de la mort ,comme dit dans la vidéo ,est la naissance ; penser que c'est la vie est erroné !

Commentaire de Laëtitia Ludivine le 21 mai 2012 à 8:27

Un suicide...une pensée pour ton ami et ses aimés en cet instant.

J'espère que ces mots ont pu l'inspirer.

En cet instant vie et mort font écho en moi à ces mots:

conscience pure, gratitude, responsabilité et acceptation, lâcher-prise.

Au-delà du karma, de la réincarnation, si on se pose la question, il semble que le karma soit "effacé" ou construit par tout ce que nous sommes et faisons dans l'instant présent. La conscience est la clef pour défaire nos schémas de pensée et de comportement.

La mort, elle surgit dans mes pensées et là je pense surtout à mes parents, les personnes que je chéris, je ne sais pas comment je réagirais.

"La présence est une puissante déesse." Goethe

« Certes, tout dans la nature est changement mais derrière ce principe du changement repose un principe d’éternité » J.W Goethe

Merci Nathalie du partage, de l'opportunité d'expression de qui nous sommes en cet instant.

Carpe diem avec conscience

Commentaire de Laëtitia Ludivine le 19 mai 2012 à 21:16

Réflexions sur l’impermanence et la mort

Chaque instant de notre vie a une immense valeur. Pourtant, nous laissons s’écouler le temps qui nous reste comme de l’or fin entre nos doigts. Quoi de plus triste que de se retrouver les mains vides à la fin de sa vie ? Sachons reconnaître le caractère inestimable de chaque seconde de vie. Soyons assez intelligents pour décider d’en faire le meilleur usage, pour notre bien comme pour celui des autres. Avant tout, dissipons l’illusion qui consiste à croire que nous avons “ toute la vie devant nous ”. Cette vie passe comme un rêve qui peut s’interrompre à tout moment. Consacrons-nous donc sans plus attendre à l’essentiel pour ne pas être rongés de regret à l’heure de notre mort. Il n’est jamais trop tôt pour développer nos qualités intérieures.

La nature éphémère de toute chose se présente à nous sous deux aspects : l’impermanence grossière - le changement des saisons, l’érosion des montagnes, le vieillissement du corps, les fluctuations de nos émotions - et l’impermanence subtile, qui se manifeste au niveau de la plus petite unité de temps concevable. À chaque instant infinitésimal, tout ce qui semble exister de façon durable change inéluctablement. C’est à cause de cette impermanence subtile que le bouddhisme compare le monde à un rêve, une illusion, un flux perpétuel et insaisissable.

Si la pensée de la mort doit sans cesse habiter l’esprit du pratiquant, elle ne doit pas pour autant le rendre triste ou morbide, mais au contraire l’inciter à employer chaque minute de sa vie pour accomplir la transformation intérieure à laquelle il aspire. Nous avons tendance à nous dire : “ Je vais d’abord régler mes affaires actuelles, mener à terme tous mes projets, et une fois tout cela fini, j’y verrai plus clair et pourrai me consacrer à la vie spirituelle ”. Mais en raisonnant ainsi, nous nous leurrons de la pire des manières, car non seulement notre mort surviendra infailliblement, mais le moment et les circonstances qui la provoqueront sont absolument imprévisibles. Toutes les situations de la vie ordinaire, le simple fait de marcher, manger ou dormir peuvent soudain se transformer en causes de mort. C’est ce que le pratiquant sincère doit toujours garder à l’esprit.

Au Tibet, les ermites qui allument leur feu le matin s’entraînent à penser qu’ils ne seront peut-être plus là le lendemain pour en allumer un autre. Ils considèrent même qu’ils ont de la chance si, après chaque expiration, ils peuvent inspirer de nouveau. La pensée de la mort et de l’impermanence est pour eux l’aiguillon qui les encourage chaque jour à poursuivre leur pratique spirituelle.

Matthieu Ricard

Commentaire de Laëtitia Ludivine le 21 Avril 2012 à 20:45

@ Yesod Yogesh :)))

Commentaire de Yesod Yogesh le 21 Avril 2012 à 20:44

Peut être la joie ...

Shanti

Commentaire de Laëtitia Ludivine le 21 Avril 2012 à 20:41
"@ Yesod Yogesh, oui "jouer" en pleine, pure conscience peut se décliner de tant de manières. A nous de trouver le dénominateur commun. Vam Vam"
Commentaire de Yesod Yogesh le 21 Avril 2012 à 20:25

Peut être le commentaire d'une de tes photos: "J'ai été invité à la fête de la vie et j'ai joué tant que j'ai pu", et cela pourrait se décliner de tant de manières...

Commentaire de Laëtitia Ludivine le 21 Avril 2012 à 20:23

Chère Nathetoile,

Je te remercie pour tes mots, je suis touchée.

Je souhaite juste rajouter: passons le relais tous ensemble.  Un jour enseignant, un jour élève: comprends-tu ce que je souhaite exprimer avec ces mots?

Namasté

 

Commentaire de Laëtitia Ludivine le 21 Avril 2012 à 18:16

@ nathetoile, je voulais justement te demander et toi comment vois-tu cela?

Et tu m'as répondu. Merci de répondre parce-que "nos" "vérités", toute "vérité" agrandissent notre champ de compréhension, de conscience.

Merci et belle journée

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