En Australie, en voulant rentrer dans le métro, un homme a coincé sa jambe entre la rame et le quai. Les passagers vont alors tous se mobiliser pour lui venir en aide. Des images incroyables.
Un moment de solidarité incroyable. Ce mercredi matin, à la station Stirling du métro australien de Perth, un homme tente de monter dans la rame à l'arrivée du métro. Mais il trébuche et coince sa jambe dans l'interstice de cinq centimètres entre le quai et le wagon.
Un autre passager avertit alors un employé de la situation qui prévient le conducteur du métro: le trafic est immédiatement suspendu. Deux, trois, puis quatre, puis une dizaine d'employés de la station arrive sur place pour essayer de libérer le malheureux passager.
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Commentaires bienvenus
Bonjour à Tou(te)s
Excellent constat, à mon avis, Thérèse.
Une métaphore est une métaphore, sans plus, ni moins.
Exprimer par des mots les ressentis, difficile, oui, assez souvent.
Une métaphore est aussi un ensemble de mots.
Alors, si nous étions au plus simple, le moins de mots possible; sans le superlatif (le merveilleux, l'indescriptible), le qualificatif (accentuation de la qualité du nom commun), sans y ajouter un adverbe (forcement, autres) pour qu'il ne puisse y avoir qu'une seule opinion valable (en sous-entendu).
Une page, un paragraphe, une phrase, un concept !!
Le développement de la pensée se faisant ensuite à la demande.
Excellent sujet aussi les compliments et les remontrances !
Pour que je complimente quelqu'un, des écrits, il faut avoir juger avant la valeur de cette personne, de ses écrits.. Aïe, aïe !!
Pas de jugement de la personne, j'exprime ma pensée, mon ressenti : je suis en accord avec toi, ce que tu dis, tu fais, me plait beaucoup ou le contraire. "je", "je" !!
L'autre est libre de ressentir, de penser, beaucoup plaisir, de fierté; ou sujet(s) de réflexion.
.. que les paroles d'autrui soient toujours pour moi sujets de réflexion, soit pour conforter mon état d'esprit et mes actions, ou le contraire.
Pour ce qui est des paroles, des écrits, pas de circonvolutions linguistiques, tout a un sens et limite de sens; donc la bienveillance c'est d'aller, ensemble, voir jusqu'où ce qui est dit est valable, dans quelles circonstances ceci est valable, cohérent. La langue, l'usage de la langue n'est pas un ressenti, c'est rationnel (lexique).
Oui, les compliments et les remontrances sont .. l'affaire de celui qui les émet.
Mais toujours dignes d'intérêt, car autrui est mon semblable, même s'il pense, agit à l'opposé de moi.
Tout ce que je viens de dire c'est (que) ma pensée, mon ressenti; c'est écrit avec mon cœur (métaphore pour ceux qui ont besoin d'une métaphore), car, sachez, que tout le reste de mon corps y a participé. Et je ne suis pas élitiste avec les différentes parties de mon corps (histoire du rectum qui se met en grève).
Bonsoir à Tou(te)s
Ah, merveilleux ! Voici une réponse, et une réponse qui m'enlève tous mes soucis.
Car, maintenant j'ai matière à réflexions.
Nous ressentons les bonnes actions au niveau du chakra du cœur, donc nous attribuons au cœur les bonnes actions, c'est assez rationnel.
Et pour le négatif, ce serait au niveau des reins, fort possible, du moins c'est la réalité et impressions de Thérèse, donc, intéressant à prendre en compte, et possiblement, à généraliser.
est ce que les satisfactions nées du négatif s'estompent dans le temps, ceci me parait aussi probable.
Peut être pas à généraliser .. à l'ensemble des humains !?
Je ne suis pas sûr que la vengeance procure du dégoût, temps passant, pour tous les humains.
Mais j'aurais, à ce sujet, les mêmes valeurs que Thérèse.
Perso, lorsque je fais une action qui me parait bonne, ou une autre qui dans le temps s'avère pas judicieuse, je n'en attribue pas la "paternité" à X ou Y de mes cellules ou organes; je l'assume en tant qu'être entier.
Et, comme j'ai de l'estime pour toutes mes cellules, je me permettrais pas d'accuser telle ou telle cellule ou organe, de la responsabilité de mon comportement.
Si le rein ou autres parties du corps pouvaient, ou peuvent, penser, que penseraient ils d'une accusation d'être l'organe de mes mauvais penchants, alors qu'il fait tout son possible pour le bon fonctionnement de tout l'être dont il fait parti ?
A vouloir faire des classifications, des schémas du corps, là, est , possiblement, une des sources de nos maladies.
Toutes nos cellules "poussent" dans le même sens, dans un intérêt commun.
J'aime ce geste collectif d'entraide, c'est très beau!
Bonjour à Tou(te)s
Quel suspens m'a donné, là, Thérèse.
A toutes les lignes, de son commentaire, j'attendais une réponse (brève, claire, sans appel) à ma question, vue qu'elle a trouvé ma question intéressante, (mes chevilles étaient à la limite de gonfler) !!
Thérèse serait excellente dans le roman policier, à mon avis.
Ceci dit, je trouve, aussi, son commentaire sur l'ambivalence de l'humain fort intéressant.
Que nous fonctionnons selon notre domestication ou en fonction de personnes dominantes.
Oui, je suis en accord que les situations conflictuelles font "émerger" les personnalités des individus (l'image réelle et non pas l'image que l'on se donne et que l'on veut donner aux autres).
Donc, les personnes qui s'engagent (par rapport à une idée, un événement) sont autant des personnes "modèles de bonté" que des personnes "modèles de méchanceté".
Match nul (équilibré), la balle au centre !!
Ah ! Après tout ceci .. la réponse , Ouahhhh !
..
Je déchante !
A certains moments c'est l'organe cœur qui nous dicte notre conduite; et, à d'autres moments ce sont des instincts plus primitifs !?
Comparaison de deux choses de nature différente, n'est pas raison, ni cohérence.
Cependant, pourquoi pas.
Mais alors, quel organe est le support des "instincts plus primitifs" ?
Et pourquoi, donc que les "instincts plus primitifs" ne seraient pas, parfois, vecteurs de bonté ?
Et comme disait Brassens, dans une chanson, lorsqu'on est plus de quatre, on est …. !
Donc je préférerais nous discutions sans groupe comme référence, du moins pour commencer.
Quel est l'organe de la méchanceté ?
(je suis toujours socratique avec mes ami(e)s, pour les autres, je "laisse tomber".
Bonjour àTou(te)s
Tout à faire Thérèse : " l'inverse arrive aussi des groupes de personnes en colère qui sont capable d'horreur, c'est moins beau."
Peut on appeler ceci "l'horreur du coeur" (l'inverse de la bonté du cœur) ?
La bonté et la méchanceté ont elles une origine commune ?
Çà, c'est très rationnel, Thérèse.
Et surtout quand le coeur est bien musclé.
J'aime beaucoup quand le mental se tait pour laisser place au cœur !
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