Une production d'énergie illimitée, combinant force antigravitationnelle et mouvement perpétuel.
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John Roy Robert Searl naquit le 2 mai 1932 dans une famille Anglaise très pauvre. A l'âge de quatre ans, il a été séparé de son frère et de sa sœur et placé dans une famille d'accueil. A partir de l'âge de quatre ans et demi, jusqu'à ses dix ans il se mis à faire deux rêves par an dont l'un était la suite de l'autre, un message en deux parties. A dix ans, il a pensé que ces rêves devaient avoir un sens et il a essayé de les interpréter.(1)
Une production d'énergie illimitée, combinant force antigravitationnelle et mouvement perpétuel.
A quatorze ans, avec un recoupement et une analyse de ses "messages" reçus, il construisit ce qu'il appela le "SEG", "Space Energy Generator", "générateur d'énergie à partir du vide", (mais on l'appel aussi le "Searl Effect Generator"). Et ce, simplement en montant des systèmes rotatifs composé d'une combinaison d'éléments en cuivre et d'aimants. Il pût démarrer ses recherches grâce au financement d'un mécène âgé, George Haines, qui croyait en lui. Ce premier appareil monté au domicile de Haines, se mit alors à accélérer lorsque Searl plaça les rouleaux sur les plaques. Quand le SEG accélérait, un champ magnétique se développait autour de lui, il perdait de sa masse, sa gravité se trouvait modifié, et il décollait et se mettait à percuter le plafond, à la grande surprise des deux témoins, qui comptaient sur la découverte d'un générateur d'énergie et non d'un engin volant.
Le SEG resta fiché dans le plafond jusqu'à ce qu'il le traverse, puis le toit, et disparaisse ensuite dans le ciel. Six modèles furent définitivement perdus de cette manière. Searl ne savait pas comment contenir et contrôler le champ produit, qui était d'une très forte puissance. Haines ne vît là-dedans que de "drôles de pétards" et qui surtout "commençaient à devenir chers", comme le dira Searl.
En 1949, Searl travaillait pour la Compagnie des Midlands comme ouvrier assembleur d'appareils électroniques. C'est là qu'il étudia, pût analyser et comprendre le mécanisme de fonctionnement des génératrices et des moteurs électriques. Il constata rapidement que le mouvement rotatif des pièces de métal engendraient une faible force électromotrice dont la polarité négative tendait à s'éloigner de l'axe de rotation, tandis que la polarité positive tendait à s'en rapprocher (comme les deux faces d'un aimant, il y a celle qui attire le métal et si vous le retournez, vous avez une face qui le repousse).
L'invention d'un modèle révolutionnaire de dynamo.
En 1950, il poursuivit ses recherches en se servant d'une dynamo rotative composée de bagues collectrices ou disc-rotor segmenté, que l'on pouvait mettre en rotation à grande vitesse parmi des électroaimants situés autour de lui, dans sa périphérie (photo ci-dessous). A l'aide d'un appareil de mesure classique, il enregistra la force électromotrice de faible intensité qu'elle générait. Ayant remarqué que ses cheveux avaient tendance à se hérisser quand il se tenait à proximité de la dynamo en mouvement, il en déduisit que des électrons libres de charge négative, produisaient un champ de force centrifuge, alors que l'électricité statique du métal engendrait un champ de force centripète. Il décida alors de construire une génératrice sur ce principe.
Le modèle de dynamo de Searl en fonctionnement, avec les segments en rotation. Les quatre diodes jaunes du boitier rouge carré (en bas), placé à proximité de la dynamo, s'allument. Montrant qu'il y a bien un champs électro-magnétique, donc production d'une force électromotrice (de faible intensité, avec un petit modèle comme celui-là), mais cela montre bien que le principe fonctionne. Comme vous pouvez le voir sur la vidéo suivante:
La dynamo, avec le système SEG en fonctionnement:
La réalisation d'un nouveau modèle de générateur, produisant de l'énergie électrique, à partir du vide.
Il acheva en 1952 sa première magnéto, d'un diamètre de un mètre. Le rotor était constitué d'un disque segmenté qui, en tournant, transmettait l'énergie à un stator périphérique formé d'électroaimants, ces derniers contribuant à produire la force électromotrice. Avec l'aide d'un ami, Searl transporta son appareil dans un champ et le mit en route au moyen d'un petit moteur (en fait un groupe électrogène, pour lui envoyer du courant électrique). Il avait besoin d'être "lancé", mais au bout de quelques minutes, produisant sa propre énergie, même quand le système de démarrage et le courant qu'il procure étaient arrêté, et bien le générateur lui, ne s'arrêtait pas et continuer de fonctionner (et bien sûr de produire du courant). Comme prévu, la génératrice produisait de l'électricité mais à un nivaux très largement supérieur à ce qui était attendu. Avec une vitesse relativement faible, la production était de l'ordre de près de 100000 volts, d'après l'électrisation des objets environnants. Très vite, le million de volts fut dépassé, produisant un crépitement et une odeur d'ozone. C'est là que Searl découvrit une chose très importante, non seulement l'appareil finissait par être autonome et à produire sa propre énergie électrique, mais en plus, une fois que la machine avait dépassé un certain seuil de potentiel, l'énergie produite à la sortie, excédait celle fournie en entrée (pour mettre en marche le système). A partir de ce moment, la production d'énergie est dès lors potentiellement illimitée!
Le rapport entre "électromagnétisme" et "antigravitation".
C'est à ce moment que lors de la poursuite de ces expérimentations, se produisit quelque chose d'inattendu. Le rotor se mit à accélérer, puis l’'appareil commença à s'élever de terre, rompant le cordon d'alimentation qui le rattachait au moteur et se mit à flotter dans l'air en tournant de plus en plus vite, et continua à grimper jusqu’à une altitude de quinze à vingt mètres à laquelle il se stabilisa quelques temps. Tout autour du générateur, l'air était devenu rose fluorescent tant la "ionisation" (de l'air dans lequel circule de l'électricité, c'est en fait un "plasma", qui est appelé "l'effet corona") qu'il produisait était importante. Dans les parages, des récepteurs radio se mirent à fonctionner spontanément à cause de l'induction électromagnétique.
Finalement, le rotor de la génératrice finit par s'emballer à une très grande vitesse et l'appareil se trouva propulser dans le ciel et l'espace et on ne le revit jamais.
Ce qui a dût se passer, c'est que, aussitôt que la génératrice a franchit un certain seuil d'énergie potentielle de l'ordre du milliard de volts, la puissance fournie par celle-ci se met à dépasser celle qui est absorbée et continue de monter vers un niveau devenant en théorie, illimité. Les mesures prises la situait à des milliards de watts. A cette puissance, la génératrice et tous ses composants paraissent alors s'affranchir de la force d'inertie (la gravité, le fait que n'importe quel corps qui tombe est attiré vers le sol). Mais en se libérant de l'attraction terrestre, elle semble aussi attirer à elle des morceaux de matière puisqu'elle avait tendance, en s'élevant, à arracher des mottes de gazon (appelé "l'effet d'écran" qui s'explique par la suppression d'une certaine quantité de gravitons, ce qui annule ainsi une partie de l'attraction Terrestre).
La génératrice devait provoquer une tension dans l'espace environnant. L'effort fourni pour abaisser cette tension se manifeste sous la forme d'un champ magnétique dont l'énergie est absorbée à nouveau par la génératrice qui, ainsi alimentée, fournit encore plus de tension à l'espace environnant, lequel réagit par un accroissement du champ magnétique qui, à son tour relance la génératrice dans une interaction sans fin, créant par cette réaction même, une sorte de mouvement perpétuel.
Le principe même utilisé dans le SEG, fait qu'une masse de métal en rotation projette les électrons sur le bord d'un accumulateur-récepteur. Il est alors possible de capter ces énergies électrostatiques à haute densité, (comme dans une machine de Wimshurst ou Testatika ou une machine de Hyde). Ou bien, la rotation peut aussi faire fonctionner un autre générateur. Et il est tout à fait possible d'augmenter la taille du générateur, en ajoutant des segments et des rouleaux de plus en plus grand. Dans le but d'avoir un générateur encore plus puissant, comme vous pouvez le voir sur cette illustration ci-dessous:
Où Searl découvre l'intérêt des "fréquences", pour le contrôle de ses disques à antigravité.
Un jour, Searl donna une interview filmée pour un journal. Il finissait à peine de dire que son appareil ne s'arrêtait pas, que celui-ci stoppa net. Searl n'en cru pas ses yeux. Il réalisa immédiatement que la clé devait se trouver dans la fréquence, la caméra vidéo s'étant au même moment, approcher sur le SEG pour faire un gros plan. L'harmonique ou la fréquence de résonance émise par la caméra vidéo résonnait sur la fréquence primaire du SEG et la neutralisait, ce qui faisait que les pôles arrivaient à l'unification et stoppaient (ce fût un véritable coup de chance, car Searl a grâce à cela, réussit à contrôler ses disques avec un circuit de télécommande mécanique ou électronique). (2)
Photos de Searl avec un de ses disques en vol. Searl construisit près de quarante disques à lévitation, de différentes taille, tous contrôlés. Qu'il démontait ensuite pour faire des économies, les pièces étant utilisées pour la génération de disques suivante. (3)
L'utilisation des champs magnétiques imprimés.
Les rouleaux (les gros cercles de cuivre) ont un pôle nord et un pôle sud primaires comme les plaques (les petits disques qui tournent autour). Le pôle nord du rouleau étant bien sûr attiré par le pôle sud de la plaque. D'habitude, ils se calent droit dessus et ne sont pas capables de se déplacer, particulièrement avec le néodyme. Mais il y a un champ secondaire imprimé, qui est inscrit sur ces aimants au moyen d'un composant à courant alternatif. En imprimant un tel champ magnétique sur le rouleau, Searl est capable de faire circuler les rouleaux autour d'un axe, même avec un angle de 90° parce que les lignes des champs sont imprimées sur les aimants.
Pour faire ces aimants, il faut un composant à courant alternatif pour influencer le champ de courant continu. Quand le champ est déformé, de multiples pôles se forment à la surface des rouleaux et des anneaux. La fréquence utilisée est différente sur les rouleaux et les anneaux, ce qui crée une non unité entre les deux faces de manière à empêcher aux aimants de réussir l'unité en allant vers une orientation nord-sud.
L'impression, qui se fait en Allemagne, est difficile à réaliser. Il faut réussir à imprimer les lignes magnétiques et parvenir à refroidir sans provoquer de cassure. On utilise pour cela des bobines, en supprimant d'abord les champs existants, puis en produisant ensuite le champ imprimé, et enfin en refroidissant le composant terminé. On contrôle ensuite à l'oscilloscope la forme de l'onde imprimée.
Les "rouleaux", en cour d'usinage et de polissage
Les "disc-rotor" segmentés, appelées aussi "bagues collectrices"
Si l'on place les rouleaux sous de la limaille de fer sur une feuille, on obtient des résultats inhabituels. Un grand modèle sur chaque pôle, quasiment aucun modèle angulaire dans un arc entre les pôles. Il y a à la fois des pôles en couches et des pôles individuels, cette uniformité des pôles à l'extérieur étant très importante, ces pôles magnétiques devenant leurs propres moteurs primaires.
Le SEG est remarquable car aucune de ses parties n'est en fait en contact avec les autres, il n'y a donc aucune friction. Les rouleaux planent sur le champ magnétique en raison du composant courant alternatif inscrit sur eux. Ils ne décolleront pas (comme c'était le cas lors des premières expériences) à cause du courant continu qui leur a été imprimé. Ils circulent autour du premier anneau à 400 km/h et deux fois et demie plus vite en allant vers l'extérieur.
L'effet Searl est scientifiquement démontré.
Au séminaire de l'Université du Middlesex à Londres, le 10 mars 1996, Searl a utilisé des instruments de mesure facilement disponibles pour prouver l'efficacité de sa découverte. Il a commencé sa démonstration avec un segment construit selon ses indications. Il a alors fait toucher une sonde venant de l'oscilloscope au centre du segment, l'autre sonde touchant l'anneau extérieur à ce segment. Le résultat a été visible sous forme de crête observée sur l'oscilloscope. Ce pic a montré qu'il existe vraiment une charge lorsqu'une combinaison d'éléments est pressée et mise en forme d'une façon bien déterminée. Searl a montré une charge de 3 volts toutes les cinq millisecondes, un de ses associés a même pût obtenir 12 à 15 volts.
Le circuit se déplace à travers les éléments en couches dans le segment qui montre un potentiel négatif, c'est à dire, une libération d'électrons qui est une preuve de charge.
Il est donc possible d'extraire de l'électricité de notre environnement, et seulement avec les éléments ambiants. Le segment émet un flux d'électrons en captant le potentiel de cette fabrique "d'espace environnant". Il y a donc là une source d'électrons qui est transmise du noyau interne du segment vers son périmètre, et continuellement libérés.
Searl continu ses travaux et ses recherches.
On pourrait penser que tout le travail de Searl s'est trouvé perdu, comme celui de tant d'autres inventeurs avant lui. Il fût pendant ses nombreuses années de travail, longtemps décrié, ridiculisé (et même à un moment donné emprisonné sous un faux prétexte). Du fait que son invention gênait énormément les fournisseurs en énergie, qui étaient eux, établis et reconnus, et avaient une évidente notoriété publique, donc beaucoup plus de moyens (les compagnies de gaz et d'électricité, pour ne pas les nommer). Et après avoir subit de nombreux ennuis, qui lui firent prendre ses distances avec la société et disparaitre durant plusieurs années, il est finalement revenu sur le devant de la scène. (4)
il est parvenu a continuer ses recherches, avec des moyens bien inférieurs à ceux qu'il lui faudrait, mais plus conséquents que ceux de ces début. Searl voue sa découverte technologique, pour le bien de l'humanité et pour un monde meilleur.
Les autres chercheurs et leurs inventions.
Il y eu bien d'autres inventeurs, qui cherchèrent à développer des générateurs "d'énergie libres" fonctionnant à partir du vide. Parmi eux, il y eu entre autres:
Viktor Schauberger.
Les procédés par lesquels la Nature produit de l'énergie ont un rendement beaucoup plus élevé que nos technologies mécaniques, comme Viktor Schauberger devait le prouver avec ses machines à implosion, d'une puissance prodigieuse. Il inventa des générateurs "à eau", qui fournissaient une puissance de sortie largement supérieure à celle qu'ils absorbaient (puissance d'entrée), différents appareils destinés aux habitations, produisant de l'énergie, du froid ou de la chaleur, et d'autres, comme celui qui transformait une eau polluée en eau de source de bonne qualité. Hélas, les prototypes en état de marche furent détruits à la fin de la Seconde Guerre Mondiale, et on ne dispose pas de tous leurs plans détaillés.
William Baumgartner.
Il a construit un générateur à implosion basé sur les travaux de Viktor Schauberger. Les premiers tests de sa turbine à eau montrèrent une production d'énergie surunitaire: plus d'énergie à la sortie qu'à l'entrée.
Leroy-Hatem.
En mai 1945, après 20 années de recherche, le chercheur et inventeur français Leroy-Hatem a découvert la dualité des énergies magnétiques, il a mis en pratique ses théories en élaborant des mécanismes qui fonctionnent selon les principes de la Galaxie magnétique, du Planétarium magnétique avec mouvement orbital, du Tracteur magnétique,...etc. Il est également à l'origine d'un système qui dénonce les erreurs de certains principes erronés (comme Newton, Bohr...).
Walter Russell.
Russell était un artiste, musicien, philosophe et auteur adulé. L'Académie des Sciences Américaine lui décerna un doctorat "honoris causa". Il avait découvert en 1927 des méthodes permettant de produire de l'hydrogène à bon marché. En 1990, Ron Kovac, chercheur en chimie, Toby Grotz, ingénieur en électricité, et Tim Binder, médecin naturopathe ont reproduit les découvertes de Walter Russell. Russell a aussi construit un appareil qu'il a nommé Générateur Optique à Dynamo-Russell, qui captait l'énergie libre. Toby Grotz a entrepris des recherches pour retrouver les plans originaux de cet appareil, et le 10 septembre 1961, cet appareil était opérationnel.
Tony Tyson.
Il fût Directeur de la recherche en cosmologie sur la matière noire et l'énergie du vide (la matière noire constituant 90% de la masse de l'Univers). il est actuellement professeur au département de Physique de l'Université de Californie.
Dans le domaine de l'astrophysique, en cartographiant le ciel avec des télescopes, on s'est aperçu qu'à peine 1% de la masse céleste nous était visible, les 99% restants demeurant invisibles. C'est ce que les physiciens appellent la matière sombre. Si l'on enlève les corps denses (que l'on peut répertorier dans un espace donné) tels que les planètes, les astéroïdes et autres corps célestes visibles, on estime qu'il reste encore 90% de la matière dite sombre qui deviendrait identifiable uniquement par son effet sur la déviation de la lumière visible émise par le premier 1%, toujours vue avec le télescope. Cette masse de distribution non uniforme joue le rôle d'une lentille gravitationnelle, créant ainsi une vision astigmate du ciel étoilé. Aujourd’hui, grâce à un support informatique fort complexe, on peut rétablir les vraies positions des astres lumineux et en estimer assez exactement la valeur de la masse sombre dite exotique. Il n'y a aucun doute aujourd'hui, plus de 200 000 galaxies ont été étudiés par différents laboratoires d'astrophysiques à travers le monde et ils en tirent tous les mêmes conclusions:
- Matière sombre classique = 9 %
- Matière lumineuse = 1%
- Matière sombre exotique = 90% ou Energie Libre.
Ken Shoulders.
Le Dr Ken Shoulders a découvert dans les années quatre-vingt, "les amas de charge" ou charge clusters, ou Electrum Validum ("charge intense"). En 1991, Shoulders a réussi a faire breveter sa découverte aux Etats-Unis en la nommant "Conversion de l'Energie en utilisant une Charge de Haute Densité". C'était la première fois qu'un brevet disait que "l'énergie de l'espace (énergie libre) peut être utilisée comme source d'énergie électrique utilisable".
Joseph Newman.
Sa machine a un rendement de 800%. Il a fait vérifier son invention par le bureau des brevets Américains, qui a conclu, après avoir envoyé une équipe d'ingénieurs bardés d'instruments de mesures, que sa machine fonctionne exactement comme il l'a annoncé (c'est cette équipe qui a calculé le rendement de 800%). Mais, "étant donné qu'il n'existe pas de principes physiques reconnus selon lesquels on peut expliquer le fonctionnement de sa machine", ce même bureau des brevets l'informa "qu'il ne pouvait donc pas délivrer de brevet". Devant l'insistance de l'inventeur qui se battait depuis 18 ans pour faire reconnaître son invention, une commission d'étude composée de physiciens compétents s'est réunie en présence de Newman, mandatée par les organismes officiels dans le but, de désavouer son invention. Mais c'est le contraire qui s'est produit. Les scientifiques étaient tellement impressionnés par les résultats de Newman ainsi que par son modèle théorique, que les délibérations dura de plusieurs heures, et beaucoup voulaient trouver des moyens pour creuser la question. Les conclusions n'étant pas celles qui avaient été espérées par les instigateurs de la réunion, ils ont désapprouvé la commission et rédigé leur propre conclusion: "sans intérêt". Newman émigra au Japon pour continuer ses travaux.
Bruce de Palma.
Mr Bruce De Palma, un physicien, a conçu une machine à énergie libre. Il s'est vu confisquer son invention par les autorités officielles parce qu'il s'en servait pour alimenter en énergie électrique toute sa maison gratuitement. Une interdiction lui a été faite. Il alla lui aussi travailler chez les Japonais. Après de nombreuses recherches, il finit par concevoir une machine appelée N-Machine, utilisant des aimants superpuissants pour obtenir de l'électricité. Des tests en 1980 ont montré que le générateur produisait plus d'énergie qu'il n'en consommait.
Thomas Bearden
Tom Bearden, ingénieur en physique nucléaire, lieutenant-colonel à la retraite de l'armée américaine, a à son actif plusieurs publications dans le domaine de l'énergie du point zéro, des potentiels scalaires, de phénomènes exotiques de l'électrodynamique. Il déposa aussi plusieurs brevets de machines "over-unity".
Floyd Sweet.
Il inventa un assemblage d'aimants et de Bobines de fils que Thomas Bearden appela Tube Triode, Vacuum Triode Amplifier, VTA ("Amplificateur du Vide"). Il produisait plus d'énergie qu'il n'en consommait.
Wingate Lambertson
Le Dr Wingate Lambertson, ancien directeur de la Science et Technology Commission du Kentucky, après plus de vingt ans de recherches, est aujourd'hui sûr que l'énergie de l'espace peut être transformée en une source de courant fonctionnelle, grâce à un procédé qu'il a appelé le World Into Neutrinos, WIN ("Monde en Neutrinos").
John Hutchinson.
Ce scientifique autodidacte, pendant l'hiver qui précéda sa tournée au Japon de 1995, a construit un appareil fonctionnant à partir de l'énergie de l'espace. Son convertisseur était basé sur le principe de résonance de Tesla. Hutchinson capta la même énergie pulsante et rythmée de Tesla en utilisant des cristaux de titanate de baryum. Plus tard, il créa le procédé "Dirt Cheap" (utilisant comme composants de vulgaires pierres).
Bertil Werjefelt.
Après s'être rendu compte que les générateurs classiques utilisant des aimants sont confrontés à un problème appelé résistance magnétique, ce conseiller en sécurité dans l'aviation, a amélioré le générateur classique en ajoutant un système tournant qui annule la résistance magnétique en la neutralisant avec les champs de force d'aimants additionnels. Il en résulte que le générateur donne plus de courant avec la même consommation d'énergie. En 1995, lors d'une conférence, il expliqua que l'enseignement scientifique classique du magnétisme était incomplet depuis le début, et que, la communauté scientifique avait déclaré de manière précipitée qu'il était impossible d'utiliser le magnétisme comme source d’énergie.
Tony Cuthbert.
Quelques inventions de Tony Cuthbert :
- boîte de vitesse et système de frein sans embrayage,
- turbine: moteur hybride mi moteur/mi turbine. Il permet de propulser un paquebot avec un moteur de la taille d'une petite voiture,
- séparateur magnétique: récupération de métaux par des aimants liquides,
- quelques mécanismes à énergie libre.
Les ferrofluides, utilisés avec un aimant, permettent:
- moyen de propulsion,
- animer un coeur artificiel ou régénérer un coeur,
- piste magnétique verticale (permettant de faire grimper un engin à la verticale),
Moteur gravitationnel:
- mécanisme qui capte l'énergie utilisable du champ gravitationnel terrestre,
- Machine qui se déplace en plein air, sans propulsion apparente par fusée ni aucune poussée extérieure (contraire à la troisième loi de Newton).
Erwin Laszlo.
Scientifique et philosophe de réputation internationale, possède plusieurs doctorats en science de l'éther et des champs de l'énergie du vide.
Moray B. King.
Ingénieur, un des pères fondateurs de la théorie de "l'énergie du point zéro". Il a écrit plusieurs livres traitant de l'énergie de l'éther.
Harold Puthoff.
Auteur de plusieurs ouvrages dont les fondements de l'électronique quantique, également Directeur de l'institut des études avancées de Austin (Texas).
Peter Linderman.
Reconnu comme un des experts mondiaux dans l'explication du phénomène de l'énergie radiante (une forme d'énergie du vide) telle que décrite par Nikola Tesla et employée par Edwin Gray dans son moteur électrique.
Thomas Francis Vallone.
Titulaire de nombreuses maîtrises et doctorats en physique appliquée. A été président du "Integrity Research Institute" de Washington DC. Chercheur passionné, il a à son actif un nombre impressionnant d'articles et de livres touchant les nouvelles technologies.
Harold Aspden.
Ancien directeur (retraité) de brevets pour IBM, a lui-même à son actif plusieurs brevets sur des machines pouvant être "sur-unitaire".
Shiuji Inomata.
Au japon, Shiuji Inomata, employé depuis trente cinq ans par le gouvernement du Japon, et travaillant aux Laboratoires Electrotechniques à Tsukuba ("La Cité de l'Espace" du Japon) a été autorisé par son gouvernement à créer une machine à énergie libre. Il fit une conférence pour les dirigeants du monde politique et industriel plus de six cents professionnels sont venus assister à son dernier séminaire. La Toshiba Corporation a débloqué deux millions de dollars pour le développement d'aimants supraconducteurs destinés à son nouveau générateur unipolaire.
R. Stirling.
Le moteur inventé par ce pasteur écossais est très fiable, silencieux et d'un haut rendement. Entre autres utilisation, un sous-marin d'attaque suédois évolue grâce à ce mode de propulsion. Couplé à une parabole réfléchissante, le moteur Stirling permet de produire de l'électricité sans combustible.
John Bedini.
Le moteur fonctionnant à l'énergie libre de John Bedini existe depuis plus de quinze ans. Il fonctionne selon les principes de l'électromagnétisme découverts par Nikola Tesla avant 1900 au cours de ses essais à Colorado Springs.
Johann Grander.
Il a développé un moteur magnétique ne nécessitant ni batterie, ni connexion au réseau électrique.
Le NEOGEN.
Le Neogen Dynamo Project est une version du RV-MULLER GENERATOR inventé par Bill Muller et Hector D. Perez. Deux sociétés russes commercialisent des génératrices d'électricité qui violent les règles de la physique actuelle.
Le LUTEC 1000.
le 8 septembre 2005 Lou Brits et John Christie de Cairns (Australie) ont mis au point un générateur électromagnétique. Ils annoncent une entrée d'énergie pour un petit générateur de 4,25 watts, et en sortie 15,4 watts, soit 362 % d'énergie en plus.
La technologie EBM.
Energy By Motion, "Energie Par le Mouvement" est peut être un espoir mais elle reste toujours au stade expérimental. Le professeur Szabo développe au sein de la société Canadienne Electro ErgLtd et de sa filiale Hongroise Gamma Manager, la technologie EBM qui est appliquée dans la commercialisation de générateurs auto-alimentés d'une énergie électromagnétique illimitée et propre. Son inscription à l'ordre du jour du parlement de l'Ontario et sa certification par une dizaine de scientifiques et universitaires plaident en faveur de l’avènement d'un véritable générateur à énergie libre.
Le brevet international des russes Vladimir Roschin et Sergei Godin de l'Académie des Sciences de Moscou, rendu public le 26 mai 2006, apporte la démonstration scientifique qu'un système sur-unitaire est réalisable. Pour faire cela, ils se sont basés sur les travaux de John Searl. Ce brevet présente un système magnétique composé d’aimants de terres rares capables de convertir diverses formes d'énergie, dés lors qu'un certain régime de fonctionnement critique est atteint, l'installation expérimentale devient énergétiquement entièrement autonome.
Note: (1) Pour Nicola Tesla, c'était un peu pareil. Ce dernier a toujours expliqué que ces inventions et ces idées, lui étaient toutes venues par le biais de "channeling" (une voix intérieure lui donnant des informations).
(2) En observant la "Table des Eléments" (où la structure atomique de chacun est illustrée), il a aussi remarqué que c'était les éléments qui étaient hexagonaux, qui convenait le mieux pour le SEG. Pour plus d'informations sur les disques de Searl, voir "Les engins à antigravité: Principes et réalisations."
(3) Searl se lança aussi, en parallèle à ses recherches sur le SEG, dans la construction d'engins à antigravitation (avec bien des déboires, de la part des autorités Britanniques, qui ne fît rien pour aider ses recherches, bien au contraire). Voir l'article "Les véhicules à antigravité sont possibles".
(4) Il sera emprisonné, sous le prétexte "d'utilisation frauduleuse d'électricité". Et pendant sa détention, les militaires Britanniques vidèrent carrément son atelier de tous ses documents, plans, schémas, prototypes...etc. Et ce fût la même chose, quelques années plus tard, où ils profiteront d'un séjour de Searl à l'étranger, pour faire de même avec ses recherches sur les disques volants. En n'emportant rien cette fois-là, mais en mettant carrément le feu à son atelier! Prévenu par sa femme et rentré au Royaume-Uni, il sera envoyé en prison de nouveau. Par la suite, il préféra vivre un certain temps dans la clandestinité, sous un faux nom (ce n'était pas si difficile, vu qu'il n'y avait pas de "carte d'identité". En effet, ça n'existait pas dans le pays, à cette époque. Il existe aujourd'hui une carte (non obligatoire), mais ils n'ont jusqu'à maintenant, jamais réussi à la faire accepter à l'ensemble de la population Anglaise).
Source:
www.searlsolution.com;
www.Magnetosynergie.com;
www.josephnewman.com;
www.depalma.pair.com;
www.cuthbert-physics.com;
www.steorn.com;
www.cheniere.org;
www.aspden.org;
www.syscoil.org;
www.quanthomme.free.fr;
www.econologie.info;
www.akoil.ru;
"Antigravity: "The dream made reality, The story of John R. R. Searl", par John A. Thomas;
"The law of the squares" par John R. R. Searl;
"Energie libre et technologie", par Jeane Manning, Editions Louise Courteau Éditrice.
Posté par rusty james à 15:21 - Mysteres et projets secrets - Permalien [#]
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