Que penser de la chimiothérapie ?
Une étude a été réalisée par une équipe de chercheurs de l’état de Washington pour savoir pourquoi les cellules cancéreuses de la prostate sont difficiles à éradiquer par les méthodes conventionnelles de traitement. Leur découverte est pour le moins surprenante car elle conduit à penser qu’en réalité, la chimiothérapie ne traite ni ne guérit le cancer.
Toujours selon cette étude, non seulement la chimiothérapie, qui est la méthode standard de traitement du cancer aujourd’hui, est un fiasco, mais elle se fait au détriment du malade.
La découverte, publiée dans le journal « Nature Medicine », qui a été ignorée par la communauté scientifique, met en lumière l’un des effets de la chimiothérapie qui oblige les cellules saines à libérer une protéine qui alimente les cellules cancéreuses en les faisant prospérer et proliférer. Celle-ci induit la libération dans les cellules saines d’une protéine, qui aide à promouvoir la survie et la croissance des cellules cancéreuses. De plus, elle endommage définitivement l’ADN des cellules saines, préjudice à long terme qui persiste longtemps après la fin du traitement par chimiothérapie.
L’action combinée de la destruction de cellules saines et la promotion de cellules cancéreuses fait de la chimiothérapie un outil de création de cancer alors qu’elle a pour but de traiter les états cancéreux.
Le co-auteur de l’étude Peter Nelson du Centre de Recherche Fred Hutchinson sur le cancer à Seattle, a déclaré : « Lorsque cette protéine est secrétée, elle interagirait avec les cellules cancéreuses proches et les ferait grossir, se répandre et, le plus important, résister à une thérapie ultérieure … ».
L’équipe de chercheurs souligne, d’autre part : « Nos résultats indiquent que dans les cellules bénignes les réponses en retour… peuvent contribuer directement à une dynamique de grossissement de la tumeur … »
Cette recherche suggère qu’éviter la chimiothérapie augmente les chances de recouvrer la santé et que la technique de la chimiothérapie est totalement sans valeur et se fait au complet détriment du patient cancéreux.
En d’autres termes, les personnes atteintes d’un cancer et qui cherchent à guérir doivent éviter la chimiothérapie et rechercher une voie alternative, comme par exemple les traitements alternatifs du Dr Gerson ou des aliments et nutriments anti-cancer comme le bicarbonate de soude, le curcuma et de fortes doses de vitamine C et D.
Le Dr Raghu Kalluri, auteur d’une étude similaire publiée l’année dernière dans le journal « Cellule cancéreuse », a déclaré : « Toute manipulation dirigée contre les tumeurs peut par inadvertance augmenter le nombre de tumeurs métastatiques, c’est ce qui tue les patients au bout du compte… »
D’autre part, selon des enquêtes, il apparait que trois médecins sur quatre refuseraient pour eux-mêmes toute chimiothérapie en raison de son inefficacité sur la maladie et de ses effets dévastateurs sur la totalité de l'organisme humain.
75% des médecins interrogés refusent la chimiothérapie pour eux-mêmes !
En d’autres termes, ces médecins n’ignorent pas que la chimiothérapie et la plupart des traitements allopathiques hyper-agressifs contre le cancer sont promues par « Big Pharma » et tuent plus qu'ils ne guérissent.
On peut parler de commerce de la maladie et non de commerce destiné à apporter la santé.
Ce manque de confiance parmi les médecins leur fait dire :
"La majorité des patients atteints de cancer dans ce pays meurent à cause de la chimiothérapie, qui ne soigne ni les cancers du sein, ni ceux du côlon ou des poumons. Cela été consigné depuis plus de dix ans. Néanmoins les docteurs continuent à utiliser la chimiothérapie pour combattre ces tumeurs."
(Allen Lewin, MD, UCSF, "The Healing of Cancer", Marcus Books 1990)
"Si je devais contracter le cancer, je ne recourrais jamais à un certain modèle thérapeutique pour soigner cette maladie. Les patients du cancer qui se tiennent éloignés de ces centres ont une certaine chance de s'en sortir."
(Prof. Georges Mathé "Scientific Medecine Stymied", Médecines Nouvelles, Paris, 1989)
"De nombreux oncologues recommandent la chimiothérapie pour presque tous les types de cancer, avec une foi qui n'est même pas ébranlée par des échecs presque constants."
(Albert Braverman, MD, "Medical Oncology in the 90s", Lancet, 1991, vol. 337, p. 901)
"Après tout, et pour une majorité bouleversante de cas, il n'y a aucune preuve que la chimiothérapie prolonge les attentes de survie. Et c'est le grand mensonge de cette thérapie, qu'il y a une corrélation entre la réduction des tumeurs et le prolongement de la vie du patient."
(Philip Day, "Cancer: Why we're still dying to know the truth", Credence Publications, 2000)
"Plusieurs scientifiques à plein temps au Centre du Cancer Mac Gill ont envoyé à 118 docteurs, tous experts du cancer du poumon, un questionnaire pour déterminer le niveau de confiance qu'ils avaient dans les thérapies qu'ils appliquaient ; on leur a demandé d'imaginer qu'ils avaient eux-mêmes contracté la maladie et laquelle des six thérapies expérimentales actuelles ils choisiraient. 79 docteurs ont répondu, 64 d'entre eux ont dit qu'ils ne consentiraient pas à subir un traitement contenant du cis-platine - un des médicaments chimio thérapeutiques communs - tandis que 58 sur 79 croient que toutes les thérapies expérimentales ci-dessus ne sont pas acceptables en raison de leur inefficacité et du niveau élevé de toxicité de la chimiothérapie."
(Philip Day, "Cancer: Why we're still dying to know the truth", Credence Publications, 2000)
Le docteur Ulrich Abel, un épidémiologiste allemand de la Clinique des tumeurs de Heidelberg-Mannheim, a étudié et analysé de manière exhaustive les principales études et expérimentations cliniques effectuées sur la chimiothérapie. Il a découvert que le taux global mondial de résultats positifs résultant de la chimiothérapie était effrayant, parce que, simplement, « nulle part nous n'avons de preuve scientifique à notre disposition démontrant que la chimiothérapie est capable de prolonger d'une manière appréciable la vie des patients affectés par les types les plus communs de cancer des organes ».
Il met en lumière le fait que rarement la chimiothérapie améliore la qualité de vie.
Il la décrit comme « désolante du point de vue scientifique et maintient qu'au moins 80% des chimiothérapies administrées dans le monde sont sans valeur. Mais, même s'il n'y a pas de preuve scientifique, quelle qu'elle soit, que la chimiothérapie marche, ni les docteurs ni les patients ne sont préparés à l'abandonner ».
(Lancet, Aug. 10, 1991)
Dans le prochain article, nous aborderons le sujet concernant l'action des médicaments sur la santé.
A suivre ...
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