Loi de cause à effet et karma
Définition de la notion de karma : somme totale ou résultat global des actions et des pensées d’un individu au cours de ses vies successives.
C’est en quelque sorte une « adéquation mathématique spirituelle ». A + B + C = D
D (qui est le résultat, l’effet) est donc la somme totale des causes : A + B + C
Ainsi, toute cause a un effet et tout effet a une cause.
Les bonnes pensées et les bonnes actions qui en découlent engendrent un karma positif.
Les mauvaises pensées et les mauvaises actions qui en découlent engendrent un karma négatif.
Ainsi le KARMA, comme nous l’avons déjà dit, est composé du karma positif et du karma négatif.
Le karma négatif est, en partie, la source des difficultés que nous rencontrons dans notre vie quotidienne.
Le karma positif est, quant à lui, en partie, la source des évènements heureux de notre existence.
On peut dire que l’on récolte ce que l’on sème et j’ai plaisir à dire que l’on récolte toujours ce que l’on s’aime !
Ainsi, la notion de karma nous rend entièrement responsable de nos pensées et de nos faits et gestes.
Ce ne sont donc pas les autres ou la société qui sont la cause de nos difficultés, mais notre « intériorité ».
Cette loi a été enseignée par toutes les grandes traditions.
Dans l’Evangile selon St Matthieu, Chap. 5 – 39 : «… Et moi je vous dis de ne pas tenir tête au méchant. Au contraire, à celui qui te gifle sur la joue droite, tends-lui la joue gauche… »
Dans l’Evangile selon St Matthieu, Chap. 7 – 1 : « … Ne jugez pas afin de n’être pas mis en jugement, car c’est d’après le jugement que vous portez que vous serez jugés et avec la mesure que vous employez qu’on mesurera pour vous… »
Dans l’Evangile selon St Matthieu, Chap. 18 – 18 : « … Tout ce que vous aurez lié sur la terre sera lié dans le ciel et tout ce que vous aurez délié sur la terre sera délié sur la terre et sera délié dans le ciel… »
Dans l’Evangile selon St Matthieu, Chap. 26 – 52 : « … Remets ton glaive à sa place, car tous ceux qui auront pris le glaive périront par le glaive… »
Ne dit-on pas également, dans le langage populaire : « Qui sème le vent récolte la tempête ! »
Le hasard, existe-t-il ?
Puisque tout ce qui nous arrive est la conséquence de notre karma en vertu du principe de cause à effet, on peut en déduire que le hasard n’existe pas réellement et que les termes de « mauvais destin », de « chance », de « coïncidence », etc. sont la preuve de la méconnaissance de cette notion de karma.
Le karma nous offre de très nombreuses opportunités destinées à nous améliorer, nous perfectionner et nous élever sur les trois plans (spirituel, mental et physique).
Dans le livre « Dieu et la science », Igor Bogdanov nous livre d’autres éléments sur la notion du hasard.
« … Le calcul des probabilités plaide en faveur d’un univers ordonné, minutieusement réglé, dont l’existence ne peut être engendrée par le hasard.
Certes, les mathématiciens ne nous ont pas encore raconté toute l’histoire du hasard : ils ignorent même ce que c’est. Mais ils ont pu procéder à certaines expériences … ils ont programmé des machines à produire du hasard. Les lois de probabilité indiquent que ces ordinateurs devraient calculer pendant des milliards d’années, c'est-à-dire pendant une durée quasiment infinie, avant qu’une combinaison de nombres comparables à ceux qui ont permis l’éclosion de l’univers et de la vie puisse apparaitre. Autrement dit, la probabilité mathématique pour que l’univers ait été engendré par le hasard est pratiquement nulle !
… Les constantes fondamentales de la nature et les conditions initiales qui ont permis l’apparition de la vie paraissent réglées avec une précision vertigineuse…
Pour donner une idée de la finesse inconcevable avec laquelle l’univers a été réglé, il suffit d’imaginer la prouesse que devrait accomplir un joueur de golf qui, depuis la Terre, parviendrait à loger sa balle dans un trou situé quelque part sur la planète Mars ! »
A ce jour, aucune expérimentation n’a réussi à valider ou à invalider de manière irréfutable l’hypothèse des vies successives. Néanmoins à ce jour, plusieurs éléments ont été démontrés :
L’existence de sujets capables de fournir des informations détaillées sur des individus décédés inconnus d’eux et éventuellement de manifester des caractéristiques de ces individus (talents, habilités, sensibilité…) ou de présenter sur le corps des marques suspectes reproduisant des traumatismes passés.
L’authenticité des souvenirs de certains enfants souvent liés à des morts violentes ou prématurées.
L’existence de personnes qui, sous hypnose, sont capables de revivre des épisodes attribués à la vie d’une personne décédée.
L’existence de personnes qui, en état de veille (rêve ou vision), sont capables de fournir des souvenirs vérifiables.
L’existence de médiums ou clairvoyants qui réussissent à décrire des épisodes d’existences antérieures dont certains sont vérifiables historiquement.
Les recherches concernant les NDE.
Au regard de ces faits, on peut supposer que l’avancée de la science ainsi qu’une approche réellement multidisciplinaire, fourniront des données qui corroboreront à terme la réalité de la réincarnation.
Dans le prochain article, nous nous poserons la question :
Quelles sont les causes de la pollution de notre véritable égo (âme) ?
A suivre ...
Commentaires bienvenus
Jolies formules !
Oui parfois le réconfort passe d'abord par un certain "inconfort". Mais lorsqu'on est ouvert et réceptif les idées font leur chemin.
Ma formule fétiche :
"On se lève, c'est bon ; on se couche, c'est bon ; on existe c'est bon ; rien n'est mauvais ; que je suis reconnaissant"
Réciter le plus souvent possible, cette "incantation" m'aide à manifester amour et gratitude.
A chacun sa technique, l'essentiel étant de rester en phase avec les énergies actuelles chargées d'établir un XXI ème siècle sacré et plein d'espoir pour accueillir tous les autres siècles sacrés à venir !
Bien à vous. PAT
C'est moi qui vous remercie. Avec un grand "R" ! PAT
L'essentiel, pour être plus sérieux, est comme il est dit dans le texte que :
"... la notion de karma nous rend entièrement responsable de nos pensées et de nos faits et gestes.
Ce ne sont donc pas les autres ou la société qui sont la cause de nos difficultés, mais notre « intériorité »..."
Qu'en pensez-vous, Karen ?
Vous avez tout à fait raison ma chère Karen. Karma avec un grand "K" comme Karen avec un très grand "K" !
Merci pour cette précision.
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