LÀ OÙ SE PORTE NOTRE ATTENTION,
LÀ VA NOTRE ÉNERGIE !
C’est ainsi que notre réalité se crée.
Combien de fois ne nous sommes-nous pas plaint de manière consciente ou inconsciente, que ce soit dans la vie de tous les jours, dans notre foyer, au travail, dans nos relations, l’agitation sociale, économique et politique voire, par extension, dans les dérives d’un système au bord de la faillite vers où les élites mondialistes semblent vouloir nous conduire ?
Nombreux sont sur les sites [et reconnais en avoir fait partie ;-)], des lanceurs d’alertes qui révèlent les affaires des mondialistes du désastre et se donnent pour mission de réveiller les consciences. Mais il se pourrait bien que cela nous maintienne dans la dualité, dans le “parc de la pensée et de son implant roi” faisant finalement le jeu de ceux qui veulent qu’artificiellement, ce système perdure parce que aussi, nous leur offrons sur un plateau l’énergie de notre attention.
” Si nous sommes toujours en train de nous plaindre, rabaissant ainsi notre propre pouvoir que nous avons de la réalité, nous entretenons l’idée et le sentiment de ne pas pouvoir la changer. Et donc, rien ne changera jamais. “
C’est une des raisons pour laquelle ici, sur le blog, il est choisi délibérément des articles et des thèmes de réflexions sur le regard que nous portons sur nous-mêmes et la perception que nous avons du monde, abordant différents chemin qui mène à l’éveil pour recouvrer la paix et la joie d’être, la totalité de nous-mêmes, notre Soi.
Aussi, loin de la pensée dominante et de tout dogme scientifique ou religieux, chacun peut aller puiser en lui les ressources pour non seulement l’amener à rompre avec l’ancien paradigme, mais surtout, l’aider à se libérer de ses propres schémas de pensées. Ces programmes limites le champ des possibles dans notre chemin d’évolution et, pour que l’humanité évolue, c’est individuellement que nous devons nous y atteler.
La conscience humaine a un rôle essentiel à jouer
dans notre destin collectif.
Actuellement, un changement sismique est en train de survenir et crée une masse critique de personnes de plus en plus soucieuses de mieux se préparer pour y faire face même si l’environnement semble plus chaotique que jamais.
Le monde n’est rien d’autre qu’une relation avec nous-même et se plaindre ou être tenté de passer son temps à dénoncer ou critiquer ce qui ne tourne pas rond aujourd’hui, n’est qu’une fuite stérile justifiant dans la plupart des cas, à ne pas aller voir ce qui, en définitive, est dysfonctionnel en nous.
Pire, se plaindre ou porter un jugement négatif même légitime, contribuerait à entretenir une atmosphère intérieure maussade et rigide, et ces états d’âme pourraient bien devenir un état de conscience permanent fonctionnant en boucle, court-circuitant toute ouverture au changement pour se créer un nouvel état d’être.
Comme dans les deux derniers articles : “Les forces adverses de la conscience” et “L’ego, un outil de croissance“, si nous maintenons régulièrement une certaine vigilance consciente sur les pensées qui nous traversent au sujet de nos plaintes (petites ou grandes), nous comprendrons mieux les mécanismes qui conditionnent notre état d’esprit et donc, notre incapacité à nous appuyer sur nos penchants négatif pour grandir car en fait, ce sont des forces de progrès.
Les écueils de la plainte sont finalement une belle manière de nous faire prendre conscience du malaise qui nous habite. Cette souffrance qui en découle est justement là pour nous pousser à nous libérer de ce sentiment d’impuissance qui, à la longue, altère notre unité intérieure et donc notre conscience. Par cette souffrance, ce besoin de libération correspond à nos résistances psychiques alors qu’au plus profond de nous, nous sommes animés par quelque chose qui aspire à la sensation d’une grande liberté, d’une joie puissante, d’une expansion de soi portée par une extraordinaire force de vie.
Il y a aussi toute sortes de plaintes comme le jugement envers soi-même et les autres, la non estime de soi, le déni de réalité, l’intolérance, le désir de changer l’autre ou notre environnement, le complexe de supériorité ou d’infériorité, le ressentiment etc …
Il n’est pas besoin de se sentir malade à se plaindre, il y a des plaintes plus subtiles que celles exprimées consciemment mais surtout, le bla bla mental continuel qui, pour 80 % au moins est inconscient.
Et ce sont bien ces mécanismes là sur lesquels il est important de mettre de la lumière, et l’on ne peut y arriver que par une vigilante attention.
Dans bien des cas il y a presque toujours une charge émotionnelle qui sous-tend la plainte. Le risque en est une pollution cérébrale nous affectant émotionnellement et c’est là un point essentiel. C’est derrière cette charge qu’il est intéressant d’aller voir ce qui s’y cache, en général, de la souffrance, une blessure irrésolue.
Si une plainte est sans charge émotionnelle, c’est juste exprimer son ressenti et son désaccord, ce n’est pas une plainte à proprement parlé.
Se plaindre vraiment ou exprimer son ressenti de manière neutre fait une grande différence. Ce que cela implique au niveau psycho-affectif et dans la chimie cérébrale n’a pas les mêmes conséquences, aussi bien dans la relation elle-même que dans l’évolution de chacun.
Voici donc dans le domaine de la science (l’article qui suit), des découvertes qui nous éclairent et corroborent ce que les sages et les traditions anciennes ont de tout temps enseignés : accepter ce qui est, que le Soi ne peut grandir en nous et s’exprimer que si nous adoptons une attitude de respect envers la vie et donc adopter une attitude positive et de non jugement, à honorer et nourrir notre être profond pour lui permettre de s’épanouir.
La science et la spiritualité ne sont pas si éloignés que cela. Toutes deux nous démontrent que là où se porte notre attention, là se dirigent notre énergie et par conséquent, crée notre réalité.
En modifiant le focus, on arrive à modifier la structure biochimique cérébrale et c’est bien ce qui se passe pour les sages et les chercheurs sincères qui peuvent, grâce à la méditation et à une bienveillante attention, atteindre des états proche de l’extase !
La plainte n’a jamais été un raccourci menant à l’éveil.
Alors, que choisissons-nous ?
Nous plaindre, avoir raison ou être heureux ?
Bien et bon toujours,
Sam’s
“La version intelligente de la science, c’est aussi quand elle vient
confirmer la subtilité des capacités de l’esprit …”
Entendre quelqu’un ou soi-même se plaindre n’a jamais fait de bien. Certains diront que cela peut fonctionner comme une catharsis, une manière d’évacuer les émotions et expériences négatives et que tout laisser sortir de temps en temps peut sembler bénéfique, mais si on examine de près comment agissent les plaintes sur le cerveau nous aurons encore plus de raisons d’aspirer à un état d’esprit positif en stoppant ces récriminations.
“Les synapses stimulées en même temps se reconfigurent ensemble”
Le cerveau est un organe complexe qui travaille en tandem avec la conscience pour créer la personnalité de l’être humain par un perpétuel apprentissage, une recréation et une régénération constante. Il est aussi bien le produit que le créateur de la réalité et la science commence finalement à comprendre comment le cerveau crée en fait la réalité.
Auteur, informaticien et philosophe, Steven Parton, a étudié comment les émotions négatives manifestées sous forme de plaintes, tant celles exprimées soi-même que celles qu’on subit des autres, affectent le cerveau et le corps, en arrivant à plusieurs observations pertinentes qui aident à saisir pourquoi certaines personnes semblent ne pas pouvoir se défaire d’un état d’esprit négatif.
Sa théorie suggère que la négativité et le fait de se plaindre altèrent physiquement la structure et la fonction de l’esprit et du corps.
” Les synapses [point de contact entre deux neurones] stimulées en même temps se reconfigurent ensemble “ explique Parton, ce qui est une manière concise de comprendre les fondements de la plasticité neuronale (ou neuroplasticité), la science qui explique comment le cerveau se reconfigure en fonction de ce à quoi il est exposé de façon répétitive. Négativité et plaintes entrainent un résultat plus ou moins équivalent, comme le fait ressortir cette théorie.
Parton ajoute plus loin :
“Le principe est simple : il existe dans le cerveau une collection de synapses séparées par un espace vide nommé “fente synaptique”. Chaque pensée provoque l’émission d’une substance chimique par une synapse qui se transmettra à une autre synapse par l’intermédiaire de cette fente, bâtissant ainsi un pont permettant au signal électrique de passer et c’est cette charge électrique qui va transporter l’information en rapport avec votre pensée.
… Chaque fois que cette charge électrique est déclenchée, les synapses croissent en se reliant progressivement pour réduire la distance que doit parcourir la charge électrique… Le cerveau reconfigure sa propre câblerie en se modifiant physiquement, afin de faciliter et donner plus de chances à ses propres synapses de partager la liaison chimique et de se déclencher alors en même temps, facilitant en substance la manifestation de la pensée.”
Sa vision de ce processus inclut par ailleurs l’idée que les connexions électriques les plus utilisées par le cerveau se raccourciront et seront donc plus fréquemment choisies dans l’activité cérébrale. C’est de cette manière que la personnalité se transforme.
Mais en tant qu’êtres conscients, nous avons le pouvoir de modifier ce processus, en étant simplement conscient de la manière dont le jeu universel de la dualité fonctionne au stade embryonnaire des pensées. Nous avons grâce à notre conscience le pouvoir de choisir la création de pensées d’amour, en dépassant les peurs, pour faire en sorte que le cerveau et la personnalité soient influencés positivement.
Empathie et effet de masse
En dehors du seul effet personnel des plaintes, cette ligne de raisonnement scientifique s’étend à la dynamique relationnelle en expliquant comment les lamentations d’un individu retentissent sur ses interlocuteurs et les démoralisent.
Les “neurones-miroir” veillent à nous renseigner sur notre environnement et ils constituent l’élément biochimique essentiel de l’empathie. Le cerveau s’identifie à ce qu’exprime l’autre et la part empathique en nous y répond en “essayant” cette émotion comme une tentative pour se sentir proche de la scène qui se déroule à l’extérieur.
Donc, quand une personne arrive et vous déballe une cargaison de commérages et de négatif, vous pouvez être sûr d’en être affecté biochimiquement et de voir diminuer vos chances d’être heureux. S’exposer à ce genre de crise émotionnelle entraîne en fait du stress et comme le stress est destructeur, les plaintes et la négativité pourront sérieusement contribuer à une mort précoce.
Parton parle de cette perspective comme d’une “science du bonheur” et l’exemple du comportement des plaintifs est un cas approprié d’étude pour la connexion entre le pouvoir de la pensée et la qualité de contrôle qu’une personne peut exercer sur la création de sa réalité tri-dimensionnelle partagée avec les autres.
Parton résume cette vision globale de manière très précise :
“Si vous passez votre temps à vous plaindre et à rabaisser le pouvoir personnel que vous avez sur la réalité, il ne vous viendra pas à l’idée que vous avez le pouvoir de la changer. Et elle ne changera par conséquent jamais.”
Alex Pietrowskide sur http://www.wakingtimes.com/…/
Titre original : Science Explains How Complaining is Negatively Altering Your Brain
Traduit par Hélios pour http://bistrobarblog.blogspot.fr
Commentaires bienvenus
Merci Sam's: je partage <3
Oui, c'est vrai S'âme, certaines choses nous perturbent plus que d'autres car cela réveille en nous des fragilités parfois encore non soupçonnées. Se questionner alors pour avancer, continuer à se connaître mieux.
Et merci pour les liens et le site samstory !
Oui, il est bien difficile de rester neutre lors de ces situations et de gérer la chimie émotionnelle qui agit bien souvent malgré nous, tout en demeurant dans l'empathie. Il y a parfois des jours où nous ne semblons pas en être affecté et d'autres au contraire, où nous ne pouvons rien faire que de les subir.
Nous ne sommes pas toujours à même de pratiquer le lâcher prise inconditionnel.
A part le refus d'en être témoin, il y a cependant un état d'esprit à entretenir pour rester centré afin de conserver notre unité intérieure comme par exemple, la méditation et l'introspection. Ce retour sur soi nous permet de reconnaitre et rompre avec ce qui nous limite et c'est tout un travail car, si nous sommes perturbés par l'extérieur, c'est que quelque chose entre en résonances en nous et qui demande à être éclairé.
Joe Dispenza dans son livre "Rompre avec sou-même pour se créer à nouveau" nous donne des pistes d'investigation afin de changer les structures neuronales de notre cerveau.
Une autre lecture intéressante : Empathie et enchevètrement
Étrangement, depuis que j'ai rédiger cet article, je me suis retrouvé confronté à mes propres mécanismes mentaux en ce qui concerne la manière dont j'ai encore à me plaindre et à porter des jugements.
Je pensais en avoir fini avec mes tendances plaintives et réactives qui n'est finalement que la voix du soi égoïque qui a besoin d'entretenir le sentiment de séparation pour exister.
C'est comme si cet article s'adressait personnellement à moi et en général, c'est toujours comme ça que cela fonctionne : la vie et l'univers nous mettent toujours devant ce que nous devons mettre en lumière.
Le changement de cycle actuel agit en accéléré dans le sens où, ce sur quoi nous portons notre attention nous fait expérimenter de manière quasi instantanée ce que l'on doit nettoyer et comprendre pour avancer.
Malgré moi (?) la rédaction de cet article m'a amené à me connecter en conscience avec cette énergie et ce ne fut pas une partie de plaisir. Ce n'est jamais agréable d'être assailli par des schémas bloquants et d'en prendre conscience, s’apercevoir de ne pas être en totale cohérence avec soi-même.
Conséquemment, le corps n'est pas en reste et il le manifeste aujourd’hui par un début d'état grippal pour évacuer à sa manière ce qui s'y est cristallisé.
Ce que j'ai a changé, c'est ajuster ma perception que j'ai de la situation en recherchant les aspects merveilleux de la vie, la bonté et la beauté en chaque chose ... et beaucoup d'amour aussi.
La paix véritable pourra alors s'installer.
Finalement, comme nous dit Armelle Six "le monde n'est pas séparé de moi, il est complètement moi ... l'autre n'est pas un autre, l'autre est le reflet de ce que je suis".
Cet article est très intéressant, merci.
Je ne sais pas exactement quel "changement sismique est en cours" précisément actuellement mais ce n'est pas vraiment le plus important du sujet
C'est clair qu'écouter et être abreuvé sans cesse de plaintes n'aide pas à garder joie et sérénité Les explications sont très plausibles sur ce qui se passe alors dans notre cerveau et je pense en avoir conscience Mais alors comment gérer cela tout en restant dans l'empathie ?
Excellent article à méditer (et à appliquer), bien évidemment . . . . . . . . . . .
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