Programme de vaccination en milieu scolaire

« Au Québec, l’âge légal pour le consentement aux soins est de 14 ans. Votre enfant est donc en mesure de consentir par lui-même à la vaccination offerte à l’école. Les présentes informations vous sont donc fournies afin que vous puissiez le soutenir dans sa démarche. »


En tête d’un mémo reçu en classe par ma fille. La propagande de peur qui reprend de plus belle et se poursuit, année après année. Heureusement que nous avons encore cette opportunité de les soutenir dans leur démarche. Je leur répète depuis longtemps déjà que jamais ils ne devront accepter une vaccination même au prix de leur vie. Point barre, fin de la discussion. Évidemment qu’ils ont tout le loisir de décider du sort de leur vie. Et surtout de faire des recherches, de se renseigner sur cet usurpateur et imposteur que fut Pasteur, contemporain de Béchamp dont l’œuvre a été volée par le faiseur de vaccin idôlatré.

Il y a des milliers de recherches, de cas, prouvant que la vaccination n’est qu’un leurre de plus pour « garantir » la santé. Encore une fois le jeu des vendeurs sert toujours à faire croire à un ennemi extérieur dont il faut se protéger constamment.

Les autorités médicales, les gouvernements, les compagnies pharmaceutiques prétextant le bien-être des peuples offriraient une panoplie de sécurité chimique afin de nous permettre d’avoir une vie de paix et d’harmonie. C’est à se demander pourquoi, vu leurs certitudes concernant les bienfaits de leurs produits, il est impossible de un, d’avoir une garantie signée et datée par les responsables du vaccin ainsi que des personnes qui le vante et l’administre contre toute possibilité d’effets secondaires et de deux, de n’avoir aucun droit de recours ou de poursuites judicaires dans le cas de complication, de paralysie, de coma et/ou de mort?



Il y a un nombre incalculable de gens qui croient toujours que publique rime avec « bon pour nous, le peuple ». Sottise et mauvaise foi. Comment voulez-vous sortir d’un mensonge appuyé sur des mensonges de publicité répétés depuis plus d’un centenaire, endossé par une majorité et ne pas être perçu comme un énergumène, un irresponsable de sa santé et de celle de ses propres enfants?

La pression sociale d’un groupe est manifestement un levier d’exclusion phénoménale. Être exclu du troupeau, être pointé du doigt, être renié par la famille, les amiEs, voilà une puissante peur pour maintenir l’homogéinité du groupe, maintenir le nivellement par le bas, conformer tout le monde au même standard de pensées. Point de salut en dehors de la vaccination. La santé c’est précieux, entend-on. Personne n’a jamais dit le contraire, c’est évident. Mais quand, pour préserver cette santé, des campagnes de peurs orchestrées à répétition sur des pseudo- épidémies nous invitent à nous faire inoculer des substances inconnues, sauf par de mystérieux scientifiques et chercheurs à la solde de multinationales dont l’intérêt demeure le profit, il y a loin de la coupe aux lèvres en ce qui concerne notre réel bien-être physique.



Pour être certain de ne pas perdre trop de clientEs, nos bons bergers ont pensé à rajouter un petit supplément. Dans un encadré – toujours sur la feuille qu'a reçue ma fille à son école – il est indiqué : Nouveauté cette année. Ajout d’un vaccin. Une dose de vaccin contre les infections causées par le méningocoque du sérogroupe c (écrit en lettres grasses et souligné) sera offert à tous. Le méningocoque est une bactérie qui peut causer des infections sévères telles que la méningite ou une infection du sang. Le but de cet ajout au calendrier de vaccination est de maintenir la protection individuelle et collective (immunité du groupe) conférée par le vaccin.

Wow, que demander de plus au Père Nowell pour les fêtes? Allez, vite, c’est offert à tous et il n'y en aura sûrement pas pour tout le monde. Ben c’est ça, garrochez-vous comme un Claude Dubois en détresse. C’est étonnant comment les gouvernements et autres sauveurs dépensent des milliards pour notre bien. Veulent vraiment s’assurer que personne ne soit malade différemment mais tous de la même manière. C’est vraiment trop gentil. Ils nous ont à cœur et n’en démordent pas. Ce qui prouve que notre corps ne nous appartient qu’à moitié et pas du tout dans les pays où la vaccination est obligatoire. Si nos corps nous appartenaient entièrement nous pourrions en disposer selon notre volonté lors d’un accouchement (sans la mafia médicale officielle, avec sage-femme non règlementée par le collège des médecins), l’avortement serait libre et sans lois, le corps des morts pourrait devenir la responsabilité de la famille, etc.



Mais parce que nous acceptons de nous soumettre à papa État, que nous lui donnons entièrement notre pouvoir de décider de nos vies, il en fait ce qu’il veut, ce qui lui convient pour maintenir ce même pouvoir. Gare à celles et ceux qui voudraient s’interposer aux conceptions du Bon Berger, une exclusion est si vite arrivée. Pas besoin de se révolter en mouton noir pour reprendre son pouvoir et dire non merci. La première étape consiste à sortir du triangle infernal qu’est la victime-bourreau-sauveur. Les gouvernements jouent sur deux rôles : les bourreaux, avec la peur et les sauveurs pour nous rassurer. La victime demeure toujours la même : nous. Si vous acceptez autre chose qu’être la propre créatrice de votre vie, bienvenue dans ce monde de la piqûre salvatrice.

ÉDITIONS 180 DEGRÉS/Patrice Berthiaume


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Commentaire de anyvone le 5 Mars 2014 à 19:57

merci Isabelle .

Commentaire de Isabelle Paoli le 5 Mars 2014 à 13:01

Bonjour Anyvone. Je partage ton intervention. Nous ne devons pas oublier les bénéfices énormes des laboratoires 

à encourager la vaccination . Mais nous avons tous en mémoire le désastre du vaccin '' foireux '' contre la 

grippe A , un désastre .Merci pour ton éclairage.

La vaccination contre la grippe A (H1N1) a accru le risque de narcolepsie

La vaccination contre la grippe A (H1N1) a accru le risque de narcolepsie

Une étude montre que la campagne de vaccination de 2009 contre la grippe A a provoqué des cas de narcolepsie. La cause exacte de cet effet secondaire n'est pas encore identifiée.

Yves Dauvilliers, neurologue au CHU de Montpellier et chercheur à l’Inserm, coordonne le Centre de Référence Nationale « Maladies Rares Narcolepsie »

La Recherche : Vous cosignez une étude qui révèle que la campagne de vaccination massive contre la grippe A (H1N1) lors d... [1]. Comment avez-vous procédé ?

Yves Dauvilliers : Notre étude a porté sur 59 personnes ayant déclenché une narcolepsie après cette grande campagne de vaccination française. Ils souffraient des deux symptômes caractéristiques de la pathologie : une somnolence diurne excessive, et des pertes brutales de tonus musculaire (cataplexie).

Nous avons alors comparé leur historique médical (infections, types de vaccinations reçues contre diverses maladies…), avec celui de 135 non narcoleptiques du même âge, du même sexe et de la même zone géographique.

Résultat de cette analyse : le seul critère significatif qui différenciait les deux groupes était la vaccination contre la grippe A (H1N1) : 31 des 59 narcoleptiques l’avaient reçue (52,5 %), contre seulement 17,8 % dans le groupe témoin (24/135).

Au final, nos résultats montrent qu’avoir reçu cette vaccination multiplie par 4,7 le risque de développer une narcolepsie avec cataplexie chez l’adulte, et par 6,5 pour les moins de 18 ans. Ils confirment d’autres études ayant démontré ce lien dans différents pays européens.

Le risque reste quand même très faible : 60 personnes ont été diagnostiquées, pour 5,7 millions de personnes vaccinées.

Quelles conséquences pourraient avoir ces résultats ?

Y.D. : Certains malades espèrent à juste titre que notre étude marquera une avancée pour leur indemnisation par l’Etat. En effet, ce dernier avait établit une clause avec les groupes pharmaceutiques concernés spécifiant qu’en cas d’effets secondaires, la prise en charge des risques incomberait à l’acheteur.

Or c’est bien l’Etat qui a acheté des millions de doses de vaccins aux groupes pharmaceutiques concernés pour cette grande campagne vaccinale.

Toutefois, ce n'est pas parce que ces groupes ne sont pas responsables qu’ils ne doivent pas reconnaître a posteriori cet effet secondaire, et aussi indemniser les patients.

Comment expliquer ce lien entre vaccination contre le H1N1 et narcolepsie ?

Y.D. : Nous en sommes toujours aujourd’hui au stade des hypothèses. On suspecte notamment un des produits constitutifs du vaccin Pandemrix du laboratoire GSK majoritairement utilisé durant la pandémie de l’hiver 2009-2010 : un adjuvant nommé AS03 destiné à augmenter la réponse immunitaire au vaccin.

Mais les investigations se poursuivent afin de mieux comprendre les mécanismes biologiques qui pourraient expliquer cette augmentation du risque : on pense à un mimétisme moléculaire entre certaines protéines du cerveau et celles du vaccin, et aussi à une activation du système immunitaire plus ou moins spécifique détruisant certains neurones.

Par Propos recueillis par Jean-Philippe Braly

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