Un certain nombre de croyances ont été élevé au rang de vérités scientifiques. Elles ne sont cependant que des impostures. Parmi elles se trouvent la théorie de Darwin. Je vous livre mes réflexions à ce sujet.
Cet article fait suite à l'article : http://epanews.fr/profiles/blogs/j-adore-mon-nombril
On ne peut pas classer Charles Darwin dans la catégorie des scientifiques. Il n’a pas poursuivi ses études de médecine et n’a jamais étudié à l’université. Aucun diplôme de naturaliste, de géologue ou d’anthropologue.
Ernst Haeckel, médecin zoologiste allemand a été un de ses maîtres à penser. C’était un humaniste qui a inventé le mot « écologie ». Il a soutenu, que par transformisme, l’être humain descendait d’un « pithécoïde ». Cette croyance, car il s’agit bien d’une théorie sans fondement, est loin de faire l’unanimité. Elle est même rejetée.
Avant lui, dès 580 av. JC, des penseurs tels que Phithagore, Aristote, Platon, Hippocrate, avaient émis des théories sur l’évolution de la création. Cependant pour d’autres chercheurs antiques, la vie pouvait être créée à partir d’une matière inanimée ou inorganique, sans passer par des stades d’évolution.
Au cours des temps, la science, très pragmatique, ne reconnaitra que la matière observable et rejettera « l’invisible », en se basant sur la raison, laissant de côté, toute manifestation de « l’instinct », qui a été si souvent source d’intuition et de savoir, pour les chercheurs de l’Antiquité.
Dès lors, tous les phénomènes dits « surnaturels » furent qualifiés de « croyance », de « superstition » et de « supercherie ». Corps et esprit (psychisme) furent une bonne fois pour toute séparés et de de ce fait, la science ne s’est intéressé qu’aux « effets », laissant de côté les « causes ».
Tout ce qui est observable et quantifiable est désormais le champ d’action de la science.
Pour en revenir à Darwin et à ses observations qui furent admises sans réelles preuves, on peut dire que cela à bien servi les intérêts et la vision de certains groupements (occultes) bien décidés à mettre au rebus les valeurs morales de l’église.
L’être humain sera désormais un singe évolué et domptable. Il perdra ainsi totalement son origine divine. Il va de soi, que cette déclassification et son acceptation par les populations, permettront de mettre en place des moyens de domination et de destruction. Nous en sommes encore les témoins aujourd’hui et en subissons toujours les conséquences.
La pensée darwinienne inspirera de nombreux chercheurs, des hommes politiques et des penseurs du monde entier. Par exemple, après la première guerre sino-japonaise cette théorie fut mise en avant pour révolutionner la Chine en s’appuyant sur un darwinisme social qui engendrera plus tard le communisme en transposant les lois de la jungle et de la nature à la société humaine et ouvrira la porte au dogme marxiste.
On pense, par ailleurs que Darwin se serait aussi inspiré des travaux de l’eugéniste Malthus. Une théorie qui sera reprise idéologiquement par Marx Lénine, Staline et d’autres.
De nos jours un très grand nombre de scientifiques contestent et rejettent ce dogme, totalement dépourvu de preuves réelles et avancent la théorie selon laquelle « l’évolution n’a pas été lente et constante à partir de formes simples qui donnèrent naissance à des organismes de plus en plus complexes ». Ils admettent cependant que pour certaines espèces, le gradualisme s’est opéré pour mieux s'adapter à leur environnement.
Pour illustrer cette théorie, on sait maintenant que certains êtres unicellulaires, certaines tortues, certains requins et divers poissons n’ont pas eu d’étapes intermédiaires au cours de leur 120 millions d’années d’existence. Des fossiles d’invertébrés vieux de 150 millions d’années, ont la même structure cellulaire aujourd’hui.
Pour ma part, je me rallie à la théorie selon laquelle « l'évolution n'est pas passée de l’amibe au dinosaure, puis du primate à l’homme, et ce, en quelques centaines de millions d’années ».
Stephen J. Gould, pourtant évolutionniste dit :
« L’extrême rareté des formes de transition est le secret de fabrique de la paléontologie... L’historique de la plupart des espèces fossiles comprend deux caractéristiques allant à l’encontre du gradualisme :
La fixité. La plupart des espèces ne démontrent aucun changement de direction tout au long de leur durée sur terre. Dans le registre fossile, leur apparence est à peu près la même à leur disparition; les changements morphologiques sont habituellement limités et sans direction.
L’apparition soudaine. Peu importe la zone locale, les espèces n’apparaissent pas graduellement, à la suite de la transformation constante de leurs ancêtres; elles apparaissent plutôt tout d’un coup et « complètement formées »
Il ne faut pas oublier que la théorie de l’évolution est un dogme occidental. En Chine, ou en Inde, par exemple, nombreux sont ceux qui pensent que les premiers hommes naquirent dans ces régions et qu'ensuite ils colonisèrent les autres parties de la terre, rejetant l’idée qu'ils descendent d'anthropoïdes.
Selon Yan Fu (1854-1921), un célèbre penseur chinois, « La principale légitimation de la révolution chinoise émane de l'introduction de la théorie de l'évolution».
Malgré les avancés remarquables issues de la génétique ou de la science quantique, par exemple, qui mettent à mal cette théorie, les adeptes de la pensée darwinienne s’efforce de la faire vivre à tout prix en tentant désespérément de trouver le gradualisme manquant.
Certains magazines soi-disant scientifiques ainsi que des reportages colportent des « fausses vérités ». Ainsi, le culte du matérialisme triomphant est encore fortement ancré dans les esprits du commun des mortels.
Logiquement, avec les connaissances que nous avons acquises au cours de ces dernières années, avec notre technologie et le progrès actuel, nous devrions vivre un âge d’or. Pourquoi vivons-nous un âge sombre où la loi de quelques-uns s’impose à la majorité et ou les pouvoirs sont de plus en plus concentrés entre les mains d’une minorité.
A suivre ...
Une série de vidéos très intéressantes :
Commentaires bienvenus
Merci Lovyves pour votre commentaire énigmatique qui aurait pu être plus explicite. Je dirai même :
"Chacun pour soi et plus de Dieu !" Heureusement que l'on peut encore se confesser auprès des "psy" de tous poils.
Pas de hasard, pas de Dieu .. Ca va être la "déprime" collective !
Que dis je, pire que cela !
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