Botanica 2012 : la recherche en aromathérapie scientifique s’expose... blog pranaromDans le domaine de la recherche scientifique en aromathérapie, le bât blesse parfois lorsque des études in vitro ayant prouvé l’intérêt d’une ou plusieurs huiles essentielles sur une maladie ne parviennent pas à aboutir au développement d’un médicament, faute de moyens.En effet, peu de laboratoires pharmaceutiques voient d’un bon oeil la venue sur le marché d’huiles essentielles qu’on ne peut bien entendu pas« breveter ».
Les huiles essentielles sont des produits naturels dont aucune personne ne peut s’attribuer le mérite. Toutefois, la mise en évidence d’une action cliniquement prouvée (protocoles, recherches, publications) permettrait à un laboratoire pharmaceutique de faire main basse sur l’utilisation exclusive d’une huile essentielle, fruit de sa recherche pour une activité pharmacologique précise. Toutefois, la complexicité moléculaire d’une HE ne leur facilité pas le travail. Pour nous , c’est simple, c’est justement l’équilibre naturel de sa composition moléculaire qui fait la force d’une huile essentielle. Equilibre et nature = maître mot.
Voici un lien montrant des articles sur les recherches cliniques:
http://www.passeportsante.net/fr/Therapies/Guide/Fiche.aspx?doc=aro...
Nous devons beaucoup de découvertes sur l'usage des huiles essentielles à des observations, et non des recherches: Gattefossé dans son labo avec la lavande, Le Dr Jean Valnet sur les champs de bataille...
Faut-il connaître les secrets du magicien pour mieux apprécier ses tours ou apprécier la magie
juste pour le bonheur d’être surpris? Se torturer l'esprit ou bénéficier des bienfaits? J'y songe tout cela sent encore le gros sou. Et pourquoi ne pas breveter "la tendresse"; tendressothérapie: le soin du manque d'assurance ou la mouchothérapie : l'art de se nettoyer les fosses nasales par un flux d'air venant des poumons (c'est bio!). Finalement le seul intérêt de la recherche c'est l'argent sous un pudique voile de bienfait pour l'humanité. Nos huiles essnetielles nous plaisent telles qu'elles sont depuis des millénaires. D'ailleur en parlant de tendresse je prendrais bien une bouffée de Petit grain bigaradier.
Catherine
Pour ajouter un commentaire, vous devez être membre de ‘épanews’.
Rejoindre épanews (c'est gratuit)