Le mot latin « phallus » veut dire « l’organe sexuel masculin », c’est le synonyme de « pénis ».

la domination exercée par les hommes sur les femmes.Ce mot même nous guide vers ce qu’on appelle la « phallocratie » qui est

Je ne veux pas être phénoménologue comme « Hegel » ou « Edmond Husserl » -qui a lutté contre le subjectivisme et l’irrationalisme-, mais avec toute la modestie que j’ai, j’affirme et ce ci d’après un constat personnel, que les Tunisiens ne sont pas, malheureusement, phallocrates.

Malheureusement, parce que la Femme Tunisienne qui est de nature « Caméléon », ne cesse de gagner d’énorme succès socio-économique alors que les hommes s’emmerdent avec la vaisselle, dans les chantiers, aux cafétérias, sous les ponts, devant la TV…

On était tellement libéral sur ce point et le résultat : la femme domine l’homme au foyer, sur la route, dans le bus, au travail, etc.

Mesquin l’homme Tunisien, son honneur se trouve entre deux cuisses d’une femme alors que cette dernière joue le pharillon qui brûle un fétichisme vif pour l’attirer et puis l’écraser sans pitié ! Quelles femmes-hémolysines et quelle hémolyse d’égalité entre l’homme et la femme !!!

je me demande si « Ernest Hemingway » -le grand romancier de la lost generation et prix Nobel 1956- était vivant parmi nous en 2011! Certainement, il inventerait le terme « Picador » au féminin Wallah,

Je pousse plus loin ma caricature et l’image qui me saute toujours aux yeux, c’est de qualifier la Femme Tunisienne de « Hennebique »

Pour ceux qui ne connaissent pas ou ne lisent guère, je parle ici de « François Hennebique » (1842-1921), c’est l’ingénieur Français qui a réalisé en 1898 le premier immeuble en « Béton Armé » (pour ceux qui connaissent Paris, cet immeuble se trouve au 1.Rue Danton, VIème arrondissement).

Bon, je fabule peut-être sur le phallocentrisme, mais j’ai la pétoche car la Femme Tunisienne devient une « pétoire », c’est-à-dire elle fait plus de bruit que de mal.

Le grand malheur, c’est que l’égalité homme-femme devient « Rachitique ».

Peut-être, une autre fois, je vous parlerai d’« Hôtel Del Prado » à Mexico et de quelques fresques monumentales de grand peintre « Diego Rivero » (1886-1957). J’ai eu l’occasion de les voir en 2001 et qui entrent « implicitement » dans ce sujet de phallocentrisme.

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