Chronique n°521-102 du 13 août 2013
Mesurer le battement de cœur de notre mère –Terre
Après avoir suivi les deux chroniques qui ont témoigné que la terre respire, et est donc bien vivante, vous accepterez que notre Terre nourricière doit être protégée et chouchoutée de la même façon que nous le faisons pour notre mère biologique. Nous devons également redoubler d’effort de travailler à l’harmonie entre tous les terriens contrairement aux entreprises néfastes de tous les despotes encore trop nombreux. Comment le savant Lugovenko s’y est pris pour mesurer la respiration terrestre scientifiquement? Comme cette mesure est une tentative innovante pour la science occidentale, et parce que les définitions et les unités de mesure sont encore à l’étude, il a utilisé deux principaux outils.
Le premier est une paire de capteurs, l’un en cuivre placé sur un vortex positif et l’autre une ”pierre néphrite” ou silicate de magnésium (placé sur un vortex négatif, ou sombre). Un vortex est un tourbillon creux au sein d’un fluide énergétique. Chacun de ces capteurs est suspendu par un fil au-dessus d’un graphique en étoile, et chacun va dans des directions opposées – c’est à dire l’un dans le sens des aiguilles d’une montre et l’autre dans le sens contraire. À des intervalles déterminés par la rapidité des changements dans la direction et l’amplitude, Lugovenko observe et enregistre l’heure et la position des capteurs dans son registre de laboratoire.
Son deuxième outil de mesure est l’utilisation de baguettes de sourcier et d’un pendule, dont il a vérifié la précision pendant des années en comparant leurs résultats à ceux de l’instrumentation électronique. Il utilise des baguettes de sourcier en cuivre pour localiser les vortex d’énergie positif et négatif. Le savant se concentre d’abord, puis commence à marcher à travers la pièce en tenant ses baguettes dirigées devant lui. À un mètre cinquante environ de l’endroit où il a démarré son expérience, les baguettes se sont brutalement séparées de chaque côté vers leurs pôles d’attraction. Il a fait répéter la technique par d’autres personnes l’accompagnant et ils ont pu obtenir les mêmes résultats.
Les résultats de ces observations montrent les variations de respiration de la Terre. Premièrement, l’activité maximale de respiration de la Terre se produit lorsqu’il y a un minimum d’activité solaire. En clair plus il y a de lumière, plus longue et vivifiante est la respiration. La toute première inhalation de la Terre est puissante le jour le plus long de l’année 21 juin dans la zone proche de l’équateur (c’est le cas chez nous dans l’hémisphère sud) et 22 juin dans l’hémisphère nord. Deuxièmement, la respiration terrestre réagit à une forte stimulation comme lors des fêtes religieuses. Plus significatif encore, il a montré ainsi que la respiration de la Terre répond à l’intention de l’homme ; que nous l’humanité, par nos pensées et nos prières, affections radicalement la Terre. Voici là des observations scientifiques qui confirment le poids de nos eus et humeurs sur l’équilibre de Dame Nature. Nous y reviendrons et nous montrerons comment, selon la qualité de notre inspire, nous absorbons une meilleure énergie de vie, pour ensuite mieux impacter sur nos décisions et actions dans la gestion quotidienne.
Jean François MANSILLA
conseiller-Consultant en Développement Global
Analyste des énergies émergentes
Email jfmans@yahoo.fr
jeanfrancois.mansilla@facebook.com
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