Il me parait important de ne pas mettre en place des limites dans tout ce que l’on entreprend dans la vie.
Lorsque je me remémore mon parcours, je prends conscience que nous avons en nous un potentiel illimité.
En entretenant un état d’esprit positif, nous sommes amenés à vivre des transformations « miraculeuses ».
Cependant, il faut bien le reconnaître, nous ne pouvons pas toujours savoir à quel moment vont se produire ces transformations. Aussi devons-nous faire preuve de patience et ne jamais baisser les bras. Cette attitude ne consiste pas à entretenir un caractère têtu, mais à faire preuve de persévérance.
La première des choses à faire est de s’abstenir de cultiver des pensées et des paroles « limitantes » telles que : « je n’y arriverais jamais, je suis trop vieux ou trop jeune, je suis une femme, c’est trop difficile, etc. ».
L’essentiel étant de faire de réels efforts en repoussant, un tant soit peu ses limites, afin de nous permettre de manifester pleinement notre potentiel.
Il ne s’agit pas non plus de rechercher à atteindre des objectifs hors de notre portée ou irréalisables.
La manifestation de l’orgueil n’est pas le but recherché. Il s’agit de repousser ses limites progressivement.
Vouloir battre le record du monde du 100 mètres alors que nous ne sommes que débutant dans la discipline n’est certainement pas un objectif atteignable immédiatement.
Nous avons tendance à nous limiter, à nous brider.
Un dicton nous dit : « on reconnaitra l’arbre à ses fruits ». Cette expression populaire nous indique qu’à chaque étape de notre vie nous avons la possibilité de « porter des fruits ».
Pour pouvoir progresser, il est nécessaire de se fixer des entraînements.
La civilisation matérialiste actuelle nous a procuré un grand nombre d’avantages qui facilitent notre vie de tous les jours. Cependant, si l’on n’y prend garde, on risque de voir notre motivation de nous entraîner s’affaiblir et on risque de sombrer dans la facilité.
Il est vrai que nous calculons très vite avec une machine à calculer, est-ce que pour autant nous devons abandonner le calcul mental ?
Si au moindre petit problème de santé nous avons recours aux médicaments, ne prenons-nous pas le risque que notre corps et son système immunitaire s’affaiblissent et deviennent paresseux ?
En conclusion de cette règle d’or N°7 :
Ne pas se limiter dans tout ce que nous entreprenons dans la vie, revient à se respecter.
A méditer :
Le jour où je me suis aimé pour de vrai.
« Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j'ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle n'étaient rien d'autre qu'un signal lorsque je vais à l'encontre de convictions. Aujourd'hui je sais que cela s'appelle "l'Authenticité".
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j'ai commencé à percevoir l'abus dans le fait de forcer une situation ou une personne, dans le seul but d'obtenir ce que je veux, sachant très bien que ni la personne ni moi-même ne sommes prêts et que ce n'est pas le moment. Aujourd'hui, je sais que cela s'appelle "le Respect".
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j'ai cessé de vouloir une vie différente et j'ai commencé à voir que tout ce qui m'arrive contribue à ma croissance personnelle. Aujourd'hui, je sais que cela s'appelle "la Maturité".
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j'ai compris qu'en toutes circonstances, j'étais à la bonne place, au bon moment. Et alors, j'ai pu me relaxer. Aujourd'hui je sais que cela s'appelle "l'Estime de soi".
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j'ai cessé d'avoir peur du temps libre et j'ai arrêté de faire de grands plans, j'ai abandonné les « méga-projets » du futur. Aujourd'hui, je fais ce qui est correct, ce que j'aime quand cela me plait et à mon rythme. Aujourd'hui, je sais que cela s'appelle "la Simplicité".
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j'ai commencé à me libérer de tout ce qui n'était pas salutaire, personnes, situations, tout ce qui baissait mon énergie. Au début, ma raison appelait cela de l'égoïsme. Aujourd'hui, je sais que cela s'appelle "l'Amour propre".
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j'ai cessé de chercher à avoir toujours raison, et je me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé. Aujourd'hui, j'ai découvert "l'Humilité".
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j'ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l'avenir. Aujourd'hui, je vis au présent, là où toute la vie se passe. Aujourd'hui, je vis une seule journée à la fois. Et cela s'appelle "la Plénitude".
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j'ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir. Mais si je la mets au service de mon coeur, elle devient une alliée très précieuse! Tout ceci, c'est "le Savoir vivre". »
(Texte connu sous la signature de Charlie Chaplin mais dont les auteurs originaux sont : Kim et Alison Mc Millen)
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