BIOHACKING. Leur idée consiste en effet à transférer une capacité biologique naturelle qu'ont certains animaux à émettre de la lumière (la luciole par exemple) à des végétaux qui n'en sont pas naturellement dotés (contrairement à Panellus stipticus, le champignon bioluminescent qui illustre cet article).
Et ça marche ! Dans un fab-lab (un espace de création collaborative en libre accès) de Californie, les trois biohackers sont parvenus à rendre bioluminescents un plant d'Arabidopsis, une petite plante de la famille des Brassicacées, comme le chou ou la moutarde.
http://www.sciencesetavenir.fr/nature-environnement/20130522.OBS016...
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