Les riches qui exploitent les pauvres, Dieu les vomit.

BON jour à tous et chacun(e),

j'ai reçu ce texte ce matin alors je le partage en article Epanews…

Je comprends très bien qu'il s'agit de La Pure Vérité.

Qu'en pensez-vous ?

Namasté

Clarine

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03/06/2013 - Psaume 13
Manger mon peuple
Quand les hommes mauvais mangent leur pain, ils mangent mon peuple !
Frère Philippe Verdin
Méditation
Frère Philippe Verdin
Les riches qui ne partagent pas, pire, les riches qui exploitent les pauvres, Dieu les vomit. Le prophète Amos met en garde ceux que l’opulence aveugle, ceux qui s’engraissent par l’exploitation du faible ; Dieu juge avec sévérité cette voracité : « Ils vendent le juste pour de l'argent, le pauvre pour une paire de sandales » (*) Quand vous mangez votre bon pain, c’est la chair de mon peuple que vous mangez. Quand vous buvez votre vin délectable, c’est avec le sang du pauvre que vous vous enivrez ! 
L’indignation du psalmiste et du prophète ont des accents aussi forts que ceux de Karl Marx ou de Zorro.

Et c’est le chant de la Vierge Marie qui annonce le renversement définitif : « Le Seigneur comble de biens les affamés, il renvoie les riches les mains vides  !  » (**) C’est une leçon dont l’Église ne cesse de témoigner : les pauvres, les exploités, les faibles à la merci du caprice des puissants sont les bénis de Dieu. Bossuet osait le rappeler devant la cour de Louis XIV, devant des hommes à perruque poudrée et devant des femmes couvertes de rubans : « Les pauvres sont les vrais hôtes de l’Église, les riches n’y sont admis que par charité »…
Par ta grâce, Seigneur, fournis-nous l’antidote à l’oubli du pauvre. Apprends-nous la pauvreté, quand on sait qu’on reçoit tout de la main du Père des cieux. 
* livre d'Amos, chapitre 2, verset 6
** Évangile selon Saint Luc,
chapitre 1, verset 53

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Commentaire de Clarine Faure le 4 août 2013 à 21:39

Dans les hopitaux psychiatriques, il y a extrêmement besoin de thérapeutes avec leurs techniques dites "alternatives". D'ailleurs, les soignants, quand ils ont un coup de moins biens, ils font du zen, du yoga, du massage, de la relax, de la sophro, ils ne mangent pas la chimie qu'ils prescrivent à tour de bras car… ils ne sont pas fous !

Les "patients" (ceux-là qui patientent), ils sont d'abord enfermés (c'est "le protocole", "le réglement" qui leur est imposé). Ensuite, ils ont le droit à ce que les "médecins" appellent "des permissions". Ils sortent de leur prison quelques heures, seul ou accompagné, ou entre patients. Puis certains sortent "définitivement", et retrouvent alors leur solitude ou leur famille qui leur est souvent "hostile" car "le malade mental" fait peur et il y a le phénomène bien connu du "bouc émissaire" que les psy appellent "le patient désigné"… Beaucoup rechutent donc et retournent à l'HP par période et cela pendant des années… On les voit dans les rue, il y en a de plus en plus…

Certains vont "en hopital de jour", sûrement comme celui qui appelait Pascal "papa" (voir ci-dessous). C'est là qu'ils reçoivent leurs médicaments et pratiquent des "activités manuelles"…

D'autres se retrouvent "en appartement thérapeutique" avec d'autres patients où ils sont très surveillés : on s'assure essentiellement qu'ils prennent bien leur médicaments.

Beaucoup disent que le médicament les rend malade, et c'est vrai : ils sont gros, ils ont mal au ventre, ils sont déprimés, ils se sentent "tassés", abattus, ils ont plein d'effets secondaires (comme celui de piétiner d'un pied sur l'autre ou d'avoir les yeux qui plafonnent). Oui, beaucoup pensent et disent que cela vient des neuroleptiques.

Ceux qui ne veulent pas prendre leurs cachets, on leur injecte de force en "piqure retard". C'est une injection dont l'effet perdure presqu'un mois. A la fin du mois, ils commencent à se sentir mieux, plus ouverts, plus imaginatifs, plus joyeux, c'est alors qu'ils sont tenus de retourner se faire piquer. On appelle cela "injonction thérapeutique" ou "obligation de soins". C'est un cercle vicieux dont peu réussissent à sortir…

Et à qui profite ce crime à votre avis ? Aux laboratoires pharmaceutiques bien sûr !!! Et oui, moi, voyez, j'ai bien du courage car je le dis quand même. Beaucoup de soignants le savent, le constatent tous les jours mais ils n'osent rien dire car c'est leur gagne-pain : c'est ainsi qu'ils nourrissent leurs enfants. D'autres ne se posent pas la question de l'efficacité de leur pratique, ils font ce qu'on leur a appris en Ecole de Médecine. Ils s'inquiètent de leur carrière et de leur propre intérêt. Ils trônent en supérieurs sur ceux qu'ils pensent comme inférieurs, et ils ne supportent aucune remise en question. Ceux qui osent s'indigner à l'intérieur d'un HP : on leur augmente leur traitement !

Ah la la ! C'est la cata ! Les pauvres patients en Hôpital de Secteur servent de" cobayes humains" à une neurologie encore débutante et à une chimie qui ne sait pas ce qu'elle fait et ce qu'elle engendre. C'est un fait. Je dis : honte aux "chimio-thérapeutes" en psychiatrie qui gagnent leur croûte en se faisant complice d'un tel système !

Cela dit, je sais aussi que la chimie peut être utile ponctuellement, en certains cas. Pas systématiquement et pour tout le monde ! On ne peut "mettre tout le monde dans le même sac" et mélanger les pathologies comme c'est le cas actuellement. Dépressifs et psychotiques se côtoient par exemple, ou "intellectuels trop profonds" et "débile léger"… Donc, pour ne pas avoir "de problèmes", on endort tout le monde et tout le monde se tait. Aussi, on fomente la peur, et tout le monde se tait.

En cas de crise grave, les traitements psychotropes sont indispensables 2 ou 3 mois maximum, dans les pires des cas. Attention à la dépendance ! En général, les médecins préconisent des traitements longs (2 ans), comme cela, ensuite, la personne est accro, elle ne peut plus s'en passer sans "pêter un cable", et devient un consommateur de neuroleptique à vie, ce qui est très rentable pour les labos qui ont mis au point ce système incroyable.

En réalité, quand on s'est fait ainsi "piégé", il faut au plus vite mettre en place "un protocole de seuvrage" qui parfois s'applique sur plusieurs semaines, plusieurs mois, ou plusieurs années, suivant la dépendance engendrée.

Voilà, voilà, je sais que je ne vais pas me faire que des amis parmi ceux qui me liront ici, mais je le dis quand même car, oui, je connais très bien toutes ces questions-là et j'ai connu de près des centaines de personnes concernées par cela.

Commentaire de Pascal Cadart le 4 août 2013 à 14:56

A l'association Espérance où je travaillais nous avions accueilli un débile léger, mais asocial. Toutes les semaines et même parfois plusieurs fois par semaine, il se rendait à l'hôpital psychiatrique. Il était un peu plus âgé que moi, mais il m'appelait papa. J'ai essayé de prendre le café avec lui et de lui consacrer un quart d'heure par jour. Au bout de quelques mois, il n'allait plus qu'environ une fois par mois à l'hôpital psychiatrique...  Qu'ais-je fais? Pas grand chose, un café et quelques minutes par jour.

Commentaire de Clarine Faure le 4 août 2013 à 2:06

BON Jour !

Joie du Partage, chaque fois renouvelée :

Aujourd'hui, Saint du Jour : 

Commentaire du jour (EAQ sur Internet) : 

Construire d'autres greniers

      « Insensé, cette nuit même on te redemandera ta vie, et ce que tu as amassé, qui donc l'aura ? » La conduite de cet homme est plus dérisoire que le châtiment éternel n'est rigoureux. En effet, cet homme qui va être enlevé de ce monde dans si peu de temps, quels projets agite-t-il dans son esprit ? « Je vais démolir mes greniers et j'en rebâtirai de plus grands. » Moi, je lui dirais volontiers : Tu fais bien, car les greniers de l'injustice ne méritent que d'être démolis. De tes propres mains, détruis de fond en comble ce que tu as bâti malhonnêtement. Laisse s'écrouler tes réserves de blé qui n'ont jamais soulagé personne. Fais disparaître tout bâtiment qui abrite ton avarice, enlève les toits, renverse les murs, expose au soleil le blé qui moisit, sors de leur prison les richesses qui y étaient captives... 

      « Je vais démolir mes greniers et j'en rebâtirai de plus grands. » Une fois que tu les auras remplis à leur tour, que vas-tu décider ? Les démoliras-tu pour en rebâtir d'autres une fois encore ? Y a-t-il pire folie que de se tourmenter sans fin, construire avec acharnement et vite démolir ? Si tu le veux, tu as pour greniers les maisons des pauvres. « Amasse-toi des trésors dans le ciel » : ce qui est entreposé là, « les vers ne le mangent pas, la rouille ne le ronge pas, les voleurs ne le dérobent pas » (Mt 6,20).     

Et Dieu ne vomit pas, donc, celui qui amasse des trésors dans le Ciel au lieu d'exploiter les pauvres !
:))))
Clarine
Commentaire de Clarine Faure le 3 août 2013 à 23:10

Oh merci Santorine, je viens de m'inscrire gratuitement sur Deezer et d'écouter cette si belle chanson.

Je suis en larmes et je remercie celui-là Serge Reggiani, encore un Grand Monsieur, un poète, un artiste, un humain humain comme il en existe quelques-un(e)s. C'est BEAU.

Je vous propose d'écouter Bill Deraime : "Veux-tu de ma médecine"

Celui-là est un ami de mon ami Patrick Giros, prêtre, fondateur et président de l'association "Aux Captifs la libération", décédé en l'an 2002.

Ces deux-là, à mes yeux, sont deux "grands hommes".

"Veux-tu de ma médecine" : http://www.deezer.com/fr/track/63093150

:)))

Commentaire de Clarine Faure le 3 août 2013 à 21:09

OK Suzanne et Pascal Cadart, je me suis trompée. Pascal répondait en effet au frère Philippe Verdin et non à moi. On devrait faire suivre à Philippe Verdin cette page dont il n'est sûrement pas au courant pour le moment, ce qui me semble dommage.

Je me suis trompée (OK Suzanne). Cela m'a donné l'occasion de me dévoiler encore. Je prend souvent la défense de celui qui est attaqué, je me mets à sa place, c'est comme un réflexe. Je suis ainsi depuis l'enfance et mes enfants sont pareils que moi. Cela dit, tout ce que je souhaite c'est que nos discours (et le temps que nous y passons) soit utiles à chacun. Tant que nous progressons vers la lumière de la vérité, en bonne intelligence, et que nous sommes chacun de bonne foi, c'est bien, on avance.

Le Père Joseph d'ATD 1/4 monde m'avait raconté les camps de réfugiés après guerre en France. Il y travaillait en 1945 avec L'Abbé Pierre. Puis L'Abbé Pierre est parti ailleurs, le laissant seul avec toutes ses familles d'éclopés, de gens endeuillés, traumatisés. Ils étaient dans la boue, avec beaucoup de malades et peu de points d'eau, peu de nourriture, peu d'entrain.

Je connais moi-même très intimement ce qu'un humain est capable de faire avec la force du désespoir, s'il a pu garder la flamme de son désir de Justice. J'aime tant La Justice ! J'ai vu tant d'injustices. Je souhaite témoigner encore et encore, et donner la parole aux "derniers des derniers". C'est ce que j'ai fait en prêtant ma plume aux patients et ex-patients en psychiatrie en France, 3 ans durant, de 98 à 2000. Tout est prêt mais je n'ai pas encore pu éditer, malgré que ce soit mon devoir. J'ai publié des extraits dans un petit journal associatif dont je taie le nom, pour ma sécurité.

Leurs paroles est un trésor, en particulier pour les soignants de ce milieu-là, très fermé et tabou. Or, derrière les murs et dans les murs, on les méprise. C'est parce que les gens se fient aux apparences et ne regardent pas à travers. Pourtant, tout le monde sait que derrière les nuages, les étoiles sont toujours là, et cela jour et nuit ! 

Merci Suzanne pour votre dernier commentaire ici. Celui-ci est gentil. Merci. Je ne chuterais pas, ne vous inquiétez pas pour moi, je suis devenue très solide.

L'empathie, la soit-disante "meilleure qualité professionnelle des psy", la capacité de se mettre à la place de l'autre, est un leurre. Personne ne sait où est le Bien de l'autre. Pour se mettre à la place de l'autre, faut déjà être à sa ressemblance, donc avoir vécu la même chose que lui. Bien souvent, les psychiatres universitaires, grands pontes et pontifes imbus d'eux-mêmes, ceux-là qui travaillent en milieu hospitalier, n'ont aucune idée de la personne qui est en face d'eux, car elle n'est pas du tout à leur ressemblance. Alors ils préfèrent écouter l'entourage qui, bien souvent, dit n'importe quoi, selon le contexte du moment et la conscience qu'ils en ont. L'entourage dit bien des choses inconscientes aussi, selon leurs intérêts. D'ailleurs, avec les neuroleptiques et tout le panel de chimie que les "soignants" ont à leur disposition, les psychiatres s'arrangent pour faire taire les patients réfractaires à leur toute puissance. Ils ont peur de se trouver débordés et assomment tout le monde pour avoir la paix et gagner leur croûte vaille que vaille. La plupart ont un cabinet privé en ville (qui les intéresse plus) et ne se rendent à l'hôpital de secteur que vite fait. Certains patients ne les voient qu'une ou deux fois par semaine et pas plus de 5 minutes. Ils se jettent à genoux devant eux les suppliant de diminuer leur traitement ou de les laisser sortir de là. Je l'ai vu de mes yeux ! On entend rire les infirmiers dans leur bureau pendant que d'autres répètent inlassablement "je veux mourir, je veux mourir, je veux mourir". Beaucoup font des crises d'angoisse, pleurent sans fin, seuls, enfermés dans leur chambre, personne ne les console ! Ainsi, chacun essaie de se taire et de baisser la tête pour éviter qu'on leur augmente leur traitement, qu'on les mette en chambre d'isolement ou qu'on les maltraite avec des ceintures de contention, et toute leur incroyable panoplie d'engins de torture… C'est horrible., OUI, c'est HORRIBLE.

J'ai été hospitalisée à Villejuif, Hopital Paul Guiraud, il y a 16 ans, en 1997, à mes 33 ans. Et bien je puis dire que c'était pire que dans la chanson de Serge Reggiani : "Villejuif". Je souhaite vous proposer d'écouter gratuitement cette chanson sur la toile mais cette chanson-là, je ne la trouve pas en libre écoute sur le net. C'est comme si elle était censurée…

Si quelqu'un la trouve MERCI de coller le lien ici. Voici les paroles, c'est déjà ça :

VILLEJUIF

de Serge Reggiani

Je n'vous écris pas de Brest
Ni de Prague ni de Madrid
Moi je vous écris de France
De l'hôpital de Villejuif

Ça va bientôt faire dix années
Qu'on me cache dans un coin
Qu'on vient me jeter la pâtée
Dans ma chambre chaque matin
Je ne sais pas ce que j'ai bien pu faire
Pour être mis à la fourrière
A la fourrière des humains

Qu'est-ce que je fais en pyjama
A tourner entre ces murs blancs
Appeler qui, implorer quoi
D'où je suis personne ne m'entend
Toutes mes peines sont peines perdues
Je vis mais ça ne compte plus
Puisqu'ils m'ont rayé des vivants

Je n'vous écris pas de Brest
Ni de Prague ni de Madrid
Moi je vous écris de France
De l'hôpital de Villejuif

Ils peuvent me piquer la peau
Et me sangler à mon lit
J'entends toujours mille marteaux
Résonner dans mes insomnies
Je vois toujours des foules défouler
Des mains et des portes fermer
Je ne trouve plus la sortie

J'ai pourtant dû être un enfant
Moi aussi j'ai dû courir
Après des chiens, des cerf-volants
Si je pouvais y revenir
Mais je ne sais plus où dans quelle banlieue
J'ai semé les cailloux qui me
Ramènerait à ce jardin

Je n'vous écris pas de Brest
Ni de Prague ni de Madrid
Moi je vous écris de France
De l'hôpital de Villejuif 

BONNE SOIREE

Clarine

Commentaire de Pascal Cadart le 3 août 2013 à 20:45

Le père André Marie est quelqu'un de très occupé, avoir un R.V. avec lui n'est pas facile. Pourtant, à chaque fois que je suis allé chez lui, ce n'était jamais prévu et je l'ai presque toujours rencontré...

Il m'a raconté cette petite histoire. Une femme vient le voir pour faire baptiser son enfant. Comme elle n'était pas marié, elle dit "Je dois vous dire mon Père que c'est un enfant du péché." André-Marie lui a répondu "Qu'est-ce qu'on va l'aimer ce petit péché là!"

Commentaire de Pascal Cadart le 3 août 2013 à 20:33

Je m'aperçois que le texte sur le Père André Marie n’apparait pas. Je mets donc l'adresse internet:  http://guillaumederouen.canalblog.com/archives/2009/10/06/15330835....

Sur la photo, j'aime beaucoup ce Christ rayonnant qui a abandonné sa croix et qui est en attitude d'accueil et d'ouverture.

Commentaire de Pascal Cadart le 3 août 2013 à 17:20

Cette sculpture a été réalisée par le Père André-Marie. C'est lui qui parle ici.

C’est l’Abbé Pierre qui faisait remarquer que là-bas à Madagascar, partout dès que l’on quitte la capitale, les rues qui sont sales, un bruit infernal, des cris, un air irrespirable. Brusquement on arrive chez les plus pauvres des pauvres, dans un village du Père Pédro sur le dépotoir et là il règne un silence…Tout est propre, dans les rues pavées, avec des pavés taillés à la main par les gens, il n’y a jamais un papier qui traine. Il n’y a jamais une feuille morte. Elles sont ramassées. On voit des oiseaux et des enfants qui jouent. Quand on voit les enfants sortir de l’école, ils sont silencieux et souriants, avec un cahier sous le bras. Chez le Père Pédro, ils ont chacun un ou deux crayons, alors qu’il y a des écoles à Madagascar où il y a un crayon pour 4 élèves. Quel bonheur pour ses enfants de rentrer à la maison. Oui, le bonheur ça existe, je l’ai vu.

C’est l’Abbé Pierre qui disait : « Le Père Pédro d’un enfer en a fait un paradis ». Quand on assiste à la messe chez le Père Pédro et qu’on voit des 3000 enfants de 3, 4, 5, 6, 8, 10 ans, être là, 3h entières subjugués par la Parole de Dieu, qu’ils chantent, qu’ils dansent. Ils écoutent le Père qui leur parle. Quand je vois le Père Pédro après avoir lu l'Évangile, le brandir et aller danser dans la foule en disant : « Acclamons la Parole de Dieu ! », ce n’est pas comme dans nos églises, il y a 6000 personnes qui l’acclament de toute la force et de leur voix.

Le bonheur est possible, la Bonne Nouvelle existe et c’est la même là-bas et ici, même si on ne la vit pas de la même façon.

Pour en savoir plus Père André-Marie, moine, éducateur...

Commentaire de Pascal Cadart le 3 août 2013 à 16:45

Chère Clarine,

Il est vrai que je ne t'attaque pas. Au contraire je t'aime beaucoup tel que tu es. Et ce n'est pas à toi que je réponds, mais au texte que tu as mis. "les pauvres, les exploités, les faibles à la merci du caprice des puissants sont les bénis de Dieu." Mais en même temps, c'est toi qui a mis ce texte, donc tu attends une réaction de notre part.

En tout cas merci pour les débats qu'il a permis et pour la richesse qui en est sorti. Et j'ai aussi beaucoup aimé quand tu as parlé de ta propre expérience. Tu expérience personnelle me montre plus qui tu es vraiment et ce que j'avais ressenti à ton sujet.

La difficulté, c'est que si à chaque fois que tu mets un texte, tu te sens agressé par nos réponses... Ne prends pas nos réponses pour une agression, mais pour notre droit d'exprimer ce que nous ressentons personnelle,

En regardant sur un internet je constate que le Frère Philippe Verdin, ce ne ce sont pas les pauvres qu'il côtoie. Par contre si je tape "Père Pedro", "Père André Marie", mon cœur s'ouvre, ils sont remplis d'humanité.

Merci à Suzanne pour le texte de Krisnnamurti. J'y rajouterai la parole de Jésus "La vérité vous rendra libre!" Est-ce que je me sens libre? Faites-vous à vous même votre propre réponse. 

Merci Clarine pour les débats que tu ouvres...

Commentaire de Clarine Faure le 3 août 2013 à 14:29

@ Patrick Marter

Vous écrivez ci dessous ""le Seigneur comble de biens les affamés" ça doit faire rire les dirigeants de MONSANTO". Alors là-dessus, je vous dis qu'un mot et c'est… UN GRAND BRAVO ! Pour le reste de votre commentaire, merci aussi car… Ah Oui ça c'est bien vrai ! (comme la mère Denis, personnage breton et authentique utilisé par la pub, comme Le Bouddha pour Darty, etc !

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