1er réseau francophone de l'épanouissement et du bien-être
Les riches qui exploitent les pauvres, Dieu les vomit.
BON jour à tous et chacun(e),
j'ai reçu ce texte ce matin alors je le partage en article Epanews…
Je comprends très bien qu'il s'agit de La Pure Vérité.
Qu'en pensez-vous ?
Namasté
Clarine
Quand les hommes mauvais mangent leur pain, ils mangent mon peuple !
Les riches qui ne partagent pas, pire, les riches qui exploitent les pauvres, Dieu les vomit. Le prophète Amos met en garde ceux que l’opulence aveugle, ceux qui s’engraissent par l’exploitation du faible ; Dieu juge avec sévérité cette voracité : « Ils vendent le juste pour de l'argent, le pauvre pour une paire de sandales » (*) Quand vous mangez votre bon pain, c’est la chair de mon peuple que vous mangez. Quand vous buvez votre vin délectable, c’est avec le sang du pauvre que vous vous enivrez !
L’indignation du psalmiste et du prophète ont des accents aussi forts que ceux de Karl Marx ou de Zorro.Et c’est le chant de la Vierge Marie qui annonce le renversement définitif : « Le Seigneur comble de biens les affamés, il renvoie les riches les mains vides ! » (**) C’est une leçon dont l’Église ne cesse de témoigner : les pauvres, les exploités, les faibles à la merci du caprice des puissants sont les bénis de Dieu. Bossuet osait le rappeler devant la cour de Louis XIV, devant des hommes à perruque poudrée et devant des femmes couvertes de rubans : « Les pauvres sont les vrais hôtes de l’Église, les riches n’y sont admis que par charité »…
Par ta grâce, Seigneur, fournis-nous l’antidote à l’oubli du pauvre. Apprends-nous la pauvreté, quand on sait qu’on reçoit tout de la main du Père des cieux.
* livre d'Amos, chapitre 2, verset 6
** Évangile selon Saint Luc,
chapitre 1, verset 53
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Commentaires bienvenus
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Commentaire de Lovyves le 7 août 2013 à 20:02
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Bonsoir à Tou(te)s
Eh, eh, eh bien, elle est bien bonne celle-là, excellente !
Un vrai cas d'école.
1° Je n'avais pas pensé particulièrement à Clarine, car beaucoup d'autres gens sont dans cette dynamique et fortement.
Mais, puisque Clarine se sent visée, donc cette phrase est aussi tout à fait valable pour Clarine.
Il m'arrive de m'adresser à des personnes en particulier, ici ce n'était pas la cas(pour cette phrase).
Donc, le rabaissement, la calomnie, des mensonges dans le dos (seraient ce des vérités en face !?), délations, ne sont que le fait (réel) de Clarine (je me sens).Oui, parfois j'utilise la provocation, c'est dans un certain but; lequel (but) n'est pas décrit, ici, par Clarine.
Le mot "querelle", seule Clarine l'emploie.
Et sans commenter le reste du commentaire; le commentaire de Clarine démontre son habilité à retourner ses qualités sur autrui, une fois de plus.
Mais, ceci est son affaire, c'est pas drôle, cependant comme je ris de tout, je suis d'excellente humeur, merci Clarine !
j'espère que le commentaire de Clarine restera, parce qu'il est une perle, laquelle fera date dans l'histoire d'Epanews.
Quelle richesse, ce forum !
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Commentaire de Clarine Faure le 7 août 2013 à 15:06
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Pour répondre à Lovyves et à sa phrase ci-dessous : "c'est bien loin de la pauvreté du monologue de l'exhibition de ses qualités et exploits"
et, puisque je me sens, encore (!) la cible de Lovyves, je prend le temps d'écrire cela :
Quand on a été rabaissée, calomniée et que les mensonges dans notre dos ont même provoqué le décès de notre meilleur ami, et l'injuste destruction de notre vie pendant des années de galère, on devient sensible à la calomnie et à la délation, comme à ce genre de petits"pics" permanents ressentis comme extrêmement injustes et fatigants, inutiles et vains.
Lovyves aime la provoque et il démontre sans arrêt le mal que l'on peut faire à l'autre sans s'en apercevoir, ce mal que l'on dit au 3eme degré en se croyant fin et subtile, alors que l'on est en réalité tout simplement méchant, pas ouvert à la vérité de l'autre qui nous parle pourtant en confiance.
Sur un sujet si grave, LA PAUVRETE, et toute les souffrances qu'elle engendre, je trouve déplacé d'en rire ou de fomenter non-stop de petites querelles mesquines qui sont pour moi incompréhensibles.
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Bonjour à Tou(te)s
C'est une grande richesse que de converser, voire de s'affronter verbalement avec Thérèse; c'est bien loin de la pauvreté du monologue de l'exhibition de ses qualités et exploits.En ralentissant, au maximum que je peux, ma vitesse de lecture de votre commentaire, Chère Amie, que :
j'en conclue que les pauvres sont des menteurs, voire hypocrites.
Ceci confirme ce que j'avais appris étant jeune : "Bon sang ne sait mentir"; ce qui fait que "mauvais sang" (pauvres) ment, cqfd.
Sur Epanews, combien de pauvres !?Jésus a dit !!!!!
Ouais ! Ne serait ce pas plutôt, "on a fait dire à Jésus" !?
Ou, si ceci est exact, Jésus ne pouvait dire autre chose, à l'époque; aujourd'hui pour moi (cette phrase) : une "connerie" .. une grosse, très grosse !
Nous avons besoin de richesses, d'abondance, pas de pauvreté, ni matériel, ni spirituelle.
Certains peuvent être plus riches (ceux qui apportent plus à la société) sans qu'il y ait des pauvres.Aider les pauvres, oui c'est bien; mais c'est aussi une grande perversion si ceci dure dans le temps (restos du cœur, par exemple).
Ne soyons pas les "idiots utiles" du système ultra libéral !!!j'aime les pauvres, j'aime les riches !
Les politiciens : petits chiens de garde du système ultra libéral, point.
"Je ne dis pas que tous les pauvres le sont par choix ( sauf quand même que c'est un choix de vie, avant d'être né, mais là ils ne le savent pas ) beaucoup le sont par la force des choses, lieu de naissance, origines, éducation, coup durs de la vie, perte des repères etc..."
Tout à fait, confirmation qu'il n'y a pas de karma, ni d'âme !!!Que la société prenne en "charge" tous les humains de la naissance à la mort, bien d'accord : R. M. E. !
R comme revenu
M comme minimum
E comme existence
Ce qui fera, globalement : E, E comme épanouissement .. pour Tous.Thérèse n'a pas de solutions !!!!!
Et pourtant, elle en donne !
Changement de mentalité : parler d'amour… faire, c'est encore mieux !!!!
Mais pour faire, il faut oser s'affronter, faire du corps à corps .. pour "tomber" d'accord !
Aimer, profiter de nos différences.
Et, que tout est dérisoire, tout est risible !
Seules la vie et la conscience méritent respect .. absolu.à+
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Je remercie Santorine pour sa pancarte ci-dessous qui résume bien ce qu'est une bonne relation, c'est sympa.
Etre pauvre d'argent, je connais. Dans le monde actuel, quand on a des enfants, c'est un empêchement de chaque instant. On a beau faire des projets, on ne peut pas les accomplir. On a beau connaître les compléments alimentaires qui nous feraient du bien, on ne peut pas les acheter. On a beau désirer acheter des fruits et des légumes bio, on se contente de manger des pâtes. On a beau être invité en vacances chez des amis, on ne peut pas y aller.
Ensuite, il peut y avoir des choses encore plus graves dues à la pauvreté. On peut avoir besoin de suivre des thérapies mais ce n'est pas remboursé par la sécu. Ensuite, si on ne paie pas la facture EDF, on se retrouve dans le noir et on ne peut plus s'exprimer par mails ou sur Epanews et on n'a même plus de téléphone fixe !
Si on est à découvert à la banque, on nous retire nos moyens de paiement et on ne peut plus payer rien. Par exemple, sans carte bleue, on ne peut faire le plein de la voiture, et, en certains endroits en France, comme par chez moi, c'est un casse tête pour trouver une station essence avec une guérite et quelqu'un dedans pour payer en liquide. Ainsi, on ne peut plus emmener ses enfants à l'école.
Bref, si on est pauvre, faut avoir des amis qui vous amènent à manger, qui vous valorisent et vous encouragent malgré l'extrême difficulté de votre quotidien. Aussi, faut comprendre comment on en est arrivé là, afin de ne pas perdre les pédales !
Par chez moi, dans mon lieu public, j'ai pu m'apercevoir quels sont ces "clients de la pauvreté". Beaucoup sont des hommes, rendus célibataires. Leur femme étant partie avec leurs enfants, ils se sont mis à boire puis ils ont perdu leur permis de conduire et donc leur travail et ensuite ils deviennent des piliers de bar. Blessés dans leur ego, ils sont totalement dépressifs et désespérés.
L'escalade de la pauvreté pour un individu abandonné à lui-même, ça va très vite ! Ensuite, si la personne ne se lave plus, elle pue ! Si elle ne mange plus, elle devient maigre ! Puis, rapidement, elle devient malade ! Et quand on pue, qu'on est vieux, pauvre et malade, on intéresse plus personne.
Yen a plein des gens comme cela en France, Pays des Droits de L'Homme.
Heureusement qu'il y a des gens comme moi pour se soucier de ceux-là. C'est ce que je fais instinctivement et par choix depuis des années. Quand je vois "un pauvre", je l'écoute et je lui parle comme si il n'était pas "un pauvre" mais une personne identique à moi qui est, bien malencontreusement, devenue pauvre et qui va, bien évidemment, se relever.
Bien sûr, ça jase, les gens se font les idées qu'ils veulent, et il ne faut pas se soucier du "qu'en dira-t-on".
Il faut, tout de même, quand on est une femme, faire attention aux personnes qu'on héberge, si ce sont des hommes alcooliques, par exemple. Et, en tous les cas de figure, il faut savoir se faire respecter. Parfois, il faut avoir un solide aplomb et défendre avec vigueur sa dignité. Le mieux est d'avoir des témoins de cet accueil que l'on offre, ce qui permet d'être fortifié et encouragé en notre démarche, avec une petite surveillance extérieure bien utile en cas de dérapage du dit "pauvre hébergé".
Je sais aussi, par les "reportages de société" que j'ai réalisés en France que certain(e)s jeunes étudiant(e)s, pauvres, se prostituent carrément pour payer leurs études, leur appart, leur nourriture, leurs consommations (eau, électricité, etc) et leurs clopes ! Certains prennent des drogues dures qui coûtent cher, ainsi il n'y a qu'un pas vers la prostitution. Tout cela est dramatique mais peu s'y intéresse. Il y a quand même des associations, et des personnes vaillantes, heureusement !
Ben oui, il y a plein de choses graves générées en ce monde d'argent et de pouvoir… La pauvreté matérielle, avec l'empêchement permanent qu'elle engendre, peut créer des problèmes psychiques : surmenage, dépression, colère devant l'injustice de la situation, coups et blessures, prison, hôpital psychiatrique, toute la clique qui va avec LA PAUVRETE !
La pauvreté, selon moi, peut être affective, intellectuelle, spirituelle, matérielle, et l'une est souvent accompagnée de toutes les autres.
La solution la meilleure à mon avis est de trouver une personne sincère qui nous prend la main et ne la lâche plus jusqu'à ce que nos ailes aient un peu solidement repoussé pour que l'on puisse à nouveau s'envoler dans la vie.
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Bonsoir à Tou(te)s
J'aime bien.. quand Thérèse a "du mal" !!!
Certes à titre individuel, la pauvreté n'est pas une volonté politique.Mais si Thérèse dit : " je suis sure qu'ils préfèrent ça au fond " .. Alors tout va bien dans le meilleur des mondes.
Cependant, ne pas avoir un R. M. E. rend difficile l'épanouissement de l'individu.
Quant à : "… il n'y a pas de généralité, que des cas particuliers.".
Hum ! Là, je pense que l'Amie Thérèse fait de l'humour de hautes volées !Oh, non, pas d'aides, pas de charité, chaque être humain a droit de vivre, se nourrir, se vêtir, se loger, mais ceci .. c'est une volonté politique !!!!!!!!
"La vraie pauvreté est morale, ou mental, ou autre, ce n'est pas une question d'argent."
La pauvreté financière n'est pas une fausse pauvreté .. quand Thérèse sera nue, à la rue, nous reparlerons de la "fausse pauvreté" !!!
Donc la pauvreté morale : Yes ! Elle existe, elle est même assez commune !
Nous sommes d'accord, là, c'est une affaire personnelle, pas politique !
Donc est pauvre celui qui le veut, je respecte leur choix, mais je ne plaints pas ce genre de "pauvres" !
Ne tient qu'à eux d'obtenir la richesse.
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Bonsoir à Tou(te)s
et a Trefldor et particulier,
La pauvreté, le pauvre sont une volonté politique, c'est-à-dire une volonté de la société; donc, demain matin, si nous le voulons, il n'y a plus de pauvres.
Point de karma en tout ceci, ni de Dieu, que du rationnel, terre à terre.
Et que si demain matin il n'y ait plus de pauvres, ce sera pas une illusion, si nous en avons décidé autrement.Pourquoi tant de souffrances !?
Par manque d'amour !
Manque d'amour de soi et des autres.
Et, habitudes faisant, "nourrir" la souffrance permet la plainte, et d'éviter de mettre en action les solutions aux souffrances.
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Merci Lovyves, Trefidor et Santorine. Belle journée paisible et ensoleillée à vous 3. Clarine
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Bonjour à Tou(te)s
Coucou, en ce 6 aout, je suis de retour ..
Je remarque que ce forum est riche en commentaires.
Mais que l'amour des différences n'est pas encore exploité; ce qui confère une certaine pauvreté à l'émancipation de la pensée.Savoir se détacher de sa pensée, car ma pensée est imparfaite, elle peut être soumise au questionnement, à la contestation, elle est parcellaire, elle est sectaire.
Idem pour autrui; alors ne craignons pas notre jugement et le jugement des autres au sujet de nos pensées, de nos morales, de nos valeurs.
Par contre je suis, vous êtes des êtres vivants et ayant une conscience, alors beaucoup d'admiration de respect, de bienveillance pour ce que nous sommes !
Ce que nous disons :illusions, plus nous en rions, plus ceci prend de la valeur.
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Paix et Amour, voilà ce qui nous relie toutes et tous :
(merci à Lisa pour cette image si parlante…)
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Tu as raison Pascal. Les groupes de discussion sur ce réseau devraient se faire par réelle affinité et non pas avec ces embrouilles en feuilleton. En psychiatrie, les gens oublient la diversité des symptômes et le nombre incalculable de paramètres qui font que chaque cas est un cas différent. Il y a des sujets scabreux difficiles à traiter, sachant par avance le nombre de réactions différentes qui peuvent nous emmener à un "sans fin", en un "dialogue" vain et inutile. Si j'ai lâché prise et ne me prend plus la tête, c'est face à des occasions comme celle-ci où un sujet qu'on voudrait clair se transforme en casse-tête. Des gens procéduriers et prêts à l'affrontement, on en croise chaque jour… Il faut de l'humilité et du savoir-vivre pour lâcher du lest et ne pas déraper. Je travaille tout cela en moi depuis des années et je crois être arrivée au bout de mes peines à ce sujet. Je ne vais pas me laisser embarquer en ces méandres avec cette Suzanne à qui je pardonne en pensant qu'elle doit avoir ses raisons… Je lui laisse la responsabilité de son curieux dérapage… Je la pense adulte et responsable et je me sens inspirée par des valeurs plus hautes. Je ne descend pas en ce genre de marécages nauséabonds, même si j'ai le courage de me défendre.
Je te redis mon affection Pascal et, moi non plus, je n'ai pas envie d'insister ici.
Belle soirée.
Clarine
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