Observons ce qui se passe lorsque des mots, qui signifient « faire du mal aux autres », ont été présentés à l’eau. D’après les recherches du docteur Masaru EMOTO (1), on peut constater qu’il n’y a aucune formation de cristaux.
Tu me dégoûtes. Je te tuerai (en japonais).
Par contre, la phrase positive : « Allons, on s’y met !» (en Japonais) crée une forme harmonieuse (photo ci-dessous).
f) Tout dans l’univers est vibration et comparable à une vague.
La vie d’un être humain peut également être représentée comme une vague, avec ses hauts et ses bas. Elle ne peut-être rectiligne. A nous de faire en sorte que les hauts soient de plus en plus hauts et les bas de moins en moins bas. Nous ne nous étendrons pas sur ce sujet, que nous développerons dans un prochain recueil.
A un moment ou à un autre de notre existence, nous sommes amenés à perdre quelque chose de précieux à nos yeux : un être cher, la santé, notre travail, etc. A ce moment-là, c’est une sorte de « traversée du désert » que nous devons affronter. Cependant, il convient de conserver le moral et un état d’esprit positif et serein. Nous vous communiquons ci-après quelques recommandations et conseils issus de la psychologie.
En tout premier lieu, l’important est de se refuser le droit de rester inerte au milieu du désert. Il est donc nécessaire de se prendre en main pour surmonter ces moments difficiles.
- Ne contenez pas votre chagrin. Tous les spécialistes s’accordent à dire que la période de deuil est cruciale. Les larmes ne sont qu’un exutoire à votre tristesse ou à votre émotion. De plus, le deuil met un certain temps avant de trouver son expression. L’essentiel est que votre douleur finisse par sortir au grand jour. La plupart du temps, après avoir exprimé sa douleur, c’est comme si on était soulagé d’un énorme fardeau.
- Acceptez votre colère. Celle-ci est un sentiment naturel. L’important est de l’exprimer de façon saine. En agissant ainsi, on favorise la guérison.
- Affrontez la réalité. Un des obstacles majeurs à la guérison est le rejet de cette réalité. Beaucoup de gens essaient de combler leur mal être par une échappatoire. Il convient donc d’affronter la situation à bras le corps plutôt que de chercher à échapper à nos problèmes.
- Sortez et exprimez-vous. Ceci a pour but de se forcer à se concentrer sur autre chose que sa douleur. En d’autres termes, nous devons prendre la décision de nous « remettre à vivre ».
Voici quelques suggestions :
Rejoindre un groupe d’entraide si vous éprouvez le besoin de parler avec des personnes qui ont traversé une épreuve identique.
Lire, en particulier des ouvrages traitant de votre épanouissement personnel.
Tenir un journal, ceci pouvant être considéré comme une sorte d’auto-thérapie et vous procurer un grand réconfort.
Se fixer des échéances. En agissant ainsi, cela vous évitera de remettre toujours les choses au lendemain.
Etre curieux. C’est une nouvelle vie qui commence pour vous et toute nouvelle aptitude vous apportera « un plus ».
Se motiver. Lors d’une période de stress particulièrement sévère, la tâche quotidienne la plus anodine peut vous paraitre au- dessus de vos forces. Considérez donc chacune de ces activités comme un petit pas en avant, une petite victoire qui mérite d’être prise en compte.
Bougez. Lorsque le corps va mieux, le moral suit.
- Tournez-vous vers les autres. En éprouvant le besoin de se rendre utile, on peut être amené à faire partager son expérience. Chemin faisant, on découvre qu’aider son prochain est un excellent moyen de s’aider soi-même.
- Donnez-vous du temps. Quand allons-nous refaire surface ? En réalité, cela dépend de chaque individu. Il est recommandé de ne pas chercher à suivre le même rythme que telle ou telle personne.
g) Le chemin le plus court pour éliminer son karma négatif (origine de tout ce que les hommes ont surnommé malheur, mauvais destin, manque de chance, etc.) est de devenir une personne qui manifeste sa gratitude et acquiert l’état d’esprit d’être reconnaissant pour tout. Il convient d’appliquer ce principe pour ce que l’on considère être une bonne chose et également pour ce que l’on pense être une mauvaise chose, car en réalité, le mal n’existe pas.
Voici une histoire qui illustre notre propos et le fait, qu’en tant qu’êtres humains, nous ne sommes pas en mesure de juger de ce qui est « bon » ou de ce qui est « mauvais » :
Dans un village, les parents d’un enfant unique souhaitent lui offrir pour ses dix-huit ans un cheval, ce dont il rêvait depuis sa plus tendre enfance. Ils organisent une grande fête avec tous les voisins pour fêter l’évènement. On peut considérer que c’est une journée « heureuse ». Quelque temps plus tard, à la suite d’une chute de son cheval, l’enfant a de nombreuses fractures aux jambes et doit rester alité. Ce phénomène peut être qualifié de « malheureux ». Cependant, la guerre éclate dans le pays et tous les enfants du village sont envoyés au front. Tous les enfants, sauf un. Aucun ne reviendra vivant. Que peut-on conclure de cette histoire ? D’un bien peut naître un mal et d’un mal peut naître un bien. En d’autres termes, comme le dit un dicton : « la joie est la graine de la souffrance et la souffrance est la graine de la joie ».
Avec le recul et en prenant de l’âge, ce constat nous semble évident. En nous remémorant l’histoire de notre vie, nous nous rendons compte que tous les évènements auxquels nous avons été confrontés sont à l’image de ce jeune garçon.
Prenons un second exemple : Un homme d’affaires doit signer un contrat très important, celui-ci devant lui rapporter une grosse somme d’argent. Pour être à l’heure à son rendez-vous et ne pas louper son avion, il organise un emploi du temps très strict. Dans le taxi qui l’emmène de son hôtel à l’aéroport, il est bloqué sur la route par un accident de la circulation. Il rate son avion et, par conséquent, la signature du contrat. Il considère que c’est un fait absolument « tragique ». De retour à son hôtel, le moral au plus bas, il allume la télévision et apprend, à sa grande stupéfaction, que l’avion qu’il devait prendre s’est écrasé et qu’il n’y a aucun survivant ! Ainsi, là encore, d’un évènement malheureux est né un évènement heureux.
Dans l’Evangile selon St Matthieu, Chapitre 7, verset 1 à 3 :
« Ne jugez pas afin de n’être pas mis en jugement car c’est d’après le jugement que vous portez que vous serez jugés et c’est avec la mesure que vous employez qu’on mesurera pour vous. Pourquoi regarder la paille qui est dans l’œil de ton frère, alors que tu ne remarques pas la poutre qui est dans ton œil… »
A suivre ...
(1) Les messages cachés de l’eau
Masaru EMOTO
Guy Trédaniel – Editeur 2008
ISBN-13 : 978-2844458667
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