Ce qui nous ravit en Marie, ce ne sont pas d'abord, en effet, les grâces de son visage, mais celles de son âme et de son coeur.
L'intérieur de Marie est toute splendeur, sa beauté non seulement ne provoque aucun trouble, mais en l'homme déchu, elle redresse, au contraire, ce qui est dévié, elle clarifie ce qui est fangeux, et assainit ce qui est morbide.
Sa simple présence dissipe les miasmes du péché car si du coeur procède le mal commis par l'homme, surgit du coeur aussi tout le bien qui rayonne et réchauffe et, du coeur de Marie, la Pureté d'un amour qui détruit nos égoïsmes.
Pour ajouter un commentaire, vous devez être membre de ‘épanews’.
Rejoindre épanews (c'est gratuit)