Le passé est la graine du futur. Les documents Takenouchi. (2ème partie)

L’humanité a dû faire face  à de nombreux cataclysmes et à une multitude de phénomènes catastrophiques qui sont appelés Tenpenchii, dans ces documents. Ils affirment aussi que les civilisations légendaires de Mu et de l’Atlantide ont réellement existé.

Ces civilisations ont été détruites par des catastrophes naturelles.

Il y a déjà eu plus d'une centaine de Tenpenchii, clairement rapportés dans les Documents Takenouchi.

Le déluge de la Bible et l’histoire de Noé, qui font partit de l’histoire récente de la terre, font état de ces grands bouleversements. A cette époque, la terre n’était plus habitable. Elle s’était transformée en mer de boue et l’Arche de Noé était en fait un vaisseau spatial destiné à mettre à l’abri certains habitants ainsi que certaines espèces.

Les Documents Takenouchi contiennent non seulement la véritable histoire de l'humanité, du Japon, mais aussi de la lignée des Sumera-Mikoto.

Qui sont ces Sumera-Mikoto ? Avant de répondre à cette question, il faut savoir que dans les temps anciens on vouait un culte au Kotodama, c'est-à-dire à la signification spirituelle des paroles.

Permettez-moi d’ouvrir une parenthèse pour expliquer cette conception.

L'origine du Kototama remonte à la nuit des temps.

On retrouve le principe du Kototama au sein de nombreuses traditions à travers le monde.

Cependant, l'esprit de cette pratique et les outils permettant de la faire vivre ont été cachés depuis si longtemps que les hommes en ont perdu la trace.

Dans la tradition du Shintô qui est la religion originelle du Japon et qui signifie « la Voie des Dieux » on retrouve la notion de Kototama.

Kotodama signifie "mot-âme", équivalent littéral du mot "verbe" en occident.                                                       Selon cette tradition, en des temps anciens, le Kototama était le principe universel employé par l'homme pour communiquer. En ces temps très reculés, tous les hommes parlaient la même langue.

On retrouve cette notion dans la Bible, avant l'épisode de la tour de Babel, en ces termes : "Tout le monde se servait d'une seule langue et des mêmes mots".

Le principe du Kototama a donc été perfectionné en des temps immémoriaux et nos lointains ancêtres saisissaient la réalité de l'univers entier sous la forme de rythmes sonores.

Les Documents Takenouchi parlent de 72 générations de Sumera Mikoto (Hommes-Dieux), qui utilisaient le Kototama.

A partir de la 73eme génération, une nouvelle ère apparue au cours de laquelle le Sumera Mikoto de l'époque prit comme titre celui de « Jimmu Tenno », qui signifie : "Empereur".

Ce fut le commencement de notre ère actuelle. On passa alors d'un gouvernement spirituel à un gouvernement temporel.

A cette époque, la grande majorité de l'humanité commençait à s'orienter vers l'expérimentation de la matière, et les guides spirituels de l'homme comprirent que ce processus était nécessaire pour l’évolution des hommes.

Ils comprirent également que cette évolution serait considérablement retardée si le principe du Kototama restait en vigueur.

Il fut alors décidé d'occulter ce principe, afin que l'homme puisse expérimenter totalement la matière et l'incarnation.

Le principe du Kotodama, ainsi que tous les principes universels pourront de nouveau être utilisés lorsque la civilisation actuelle sera parvenue à son apogée.

Cette occultation est représentée dans la Bible par l'épisode de la Tour de Babel, épisode au cours duquel l'homme, bien qu'ayant commencé à expérimenter la matière, ne peut se résoudre à renoncer au spirituel, et continue à chercher à s'élever vers cette dimension.

C’est donc vers l’an – 2950 av. J.C, qu’il fut décidé que l'humanité devait être "coupée" pendant un certain temps de sa source pour se consacrer entièrement au développement de la civilisation matérialiste.                                                                 

Avec la connaissance du principe du Kototama et des principes universels, il y aurait toujours eu des humains pour choisir le principe de la vie et résister au courant matérialiste. Il fallait donc occulter provisoirement le principe du Kototama. Le cacher pour un temps.

Au terme du développement de la civilisation scientifique, lorsqu'elle aurait la certitude que cette approche n'était pas suffisante, l'humanité devait pouvoir retrouver le principe du Kododama et les principes de vie.                        

Les traces du Kototama et des principes universels furent donc disséminées dans toutes les mythologies, religions et philosophie, à travers le monde.

Depuis près de trois millénaires, les fondateurs de toutes les religions, de toutes les philosophies, et les dirigeants des sociétés humaines, ont eu pour mission de voiler la vérité, en travaillant avec ardeur pour le perfectionnement de la deuxième civilisation, celle de "l'expérience sans conscience".

Le temps est arrivé où la civilisation matérialiste a progressé jusqu’à atteindre un niveau satisfaisant.

Cependant paradoxalement,  il demeure un grand vide chez les hommes civilisés d’aujourd’hui et l’humanité ne place plus toute sa confiance dans la politique, la science, la médecine et les paroles des experts.

De plus en plus d’individus émettent des doutes quant à la toute-puissance de la science et de la technologie. Dans certains cas, elles font même peur.

L'essence du Kototama est composée de 50 sons (dont deux identiques). Dans le tableau ci-dessus, la ligne du haut représente les sons de la langue originelle et la ligne du bas, les sons hébreux. Ils sont très ressemblants.

Le Kotodama a été précieusement conservé depuis des temps immémoriaux au sein de familles japonaises très anciennes.

Le Kototama est aujourd’hui enseigné par quelques enseignants ayant reçu une transmission orale de ce principe.

Le concept du Kototama, qui est resté caché pendant 3000 ans, est de nouveau accessible au monde moderne qui a atteint l'objectif fixé par les hommes-dieux d'autrefois.

Ainsi la civilisation actuelle, ayant expérimenté le temporel va pouvoir  enfin percevoir de plus en plus clairement le sens de la vraie vie, et retrouver sa véritable source.

 De nos jours, l'écriture japonaise utilise deux  syllabaires :

Le Hiragana qui est utilisé pour les mots japonais et le Katakana qui est utilisé pour les mots qui ne sont pas japonais. Pour écrire, par exemple son prénom.

Dans ces deux syllabaires, on retrouve les voyelles :

A, E, I, O, U, ou sons-mères et les consonnes ou rythmes-pères  et  les voyelles et les consonnes sont combinés.                                                                                       

D’autre part, dans la tradition japonaise, il est dit que les dieux (kami) inspirent l’esprit des hommes par des mots, et en prononçant ces mots inspirés par les dieux (kami), les concepts se concrétisent.

Comme nous l’avons vu, le Kotodama peut se traduire par   « mots-âmes », mais aussi par « esprit des mots » ou      « paroles sacrées ». Les vibrations de l’univers sont « Kotodama ».

Chacun des cinquante « sons » (syllabes) issus du Kotodama  représente un dieu (kami) ayant une puissance particulière.

On peut également parlé de pouvoir magique du Verbe.

Ainsi pour conclure cette brève explication, on peut dire que dans les temps reculés, l’écriture, loin d’être un simple système de signes, était avant tout un message émanant des divinités, un moyen de communication entre les divinités et les hommes.

Avec le  kotodama  (pouvoir magique du Verbe) il n’y avait pas de différence entre l’écriture et la prière.

A suivre ...

Lien utile :

http://youtu.be/Fs53G4hsMwk

 

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