Le nouveau monde sans antagonisme (4ème partie)

Suite des trois premières parties :

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Etudions succinctement les principales caractéristiques des deux époques.

Désormais, en vue de la prochaine étape, il me parait important de se considérer comme « les bras et les jambes » des kamis pour la réalisation d’une civilisation paradisiaque.

Rechercher à s’élever spirituellement, rechercher son propre bien-être et s’investir dans son développement personnel, sans tenir compte du projet de la force créatrice n’a pas vraiment de sens.

L’être humain dispose maintenant de très peu de temps pour changer son comportement.

L’élévation de la conscience des êtres humains se fait donc en trois étapes :

Première étape  et première époque :

Bébé = dépendance

Le jeune enfant est totalement dépendant de ses parents. Il a la capacité d’enregistrer un grand nombre d’informations. C’est le stade de l’apprentissage au contact de ses proches. C’est une période très importante, où, bercé par l’amour de ses parents, il va acquérir les bases qui lui seront nécessaires pour son avenir. A ce stade, il va acquérir des attitudes morales sans avoir la capacité d’analyse et de synthèse.

Ainsi vivaient les premiers hommes. Ils reçurent l’amour et l’éducation des « kamis » incarnés sur terre et représentants de la force créatrice.

Deuxième étape et deuxième époque :

Adolescence = indépendance                                                                                                  

L’enfant, ayant grandi, à le désir de voler de ses propres ailes et de faire ses propres expériences. Alors débute une certaine socialisation avec des sentiments de justice et d’égalité. Durant cette période, il  a un début d’analyse, de comparaisons, de raisonnement et de synthèse. De plus, il commence à s’interroger sur son devenir.

C’est l’état actuel des hommes d’aujourd’hui qui peuvent être capables du meilleur comme du pire.

Troisième étape et troisième époque :

Adulte = interdépendance

Au cours de cette tranche d’âge, le jugement s’affine et le caractère se forme. On est capable d’analyser et de faire une synthèse. On acquiert une certaine sagesse qui découle de nos expériences.

C’est le stade de la maturité.

On prend conscience que tous les hommes sont interdépendants et qu’ils ont besoin les uns des autres. Qu’ils sont tous frères et sœurs au-delà des différences extérieures telles que la couleur de la peau ou sa religion par exemple.                                

Nous allons approfondir ce que nous entendons par interdépendance à travers un exemple très simple.

Il nous suffit de réfléchir un instant au nombre de personnes qui ont contribué à la fabrication d’une simple baguette de pain. A partir du moment où le blé a été semé et jusqu'à la vente du pain à la boulangerie, il y a des milliers de personnes qui ont participé au fait que nous puissions manger du pain. On peut dire, sans se tromper, qu’il y a une chaine de savoir-faire, de compétences, de sueur, d’amour, etc. qui s’est mise en place pour que l’on mange du pain.

Le Moi est donc égal au Tout et le Tout est égal au Moi. Sans le Tout, le Moi n’existe pas et sans le Moi, le Tout n’existe pas non plus.
Ainsi, nous dépendons tous les uns des autres. Chaque Moi participe au bonheur de Tous !

En tant que Moi, nous représentons un maillon de cette chaîne.

Ce qui est important de comprendre, c’est que chacun, à son niveau, en tant qu’individualité, participe au bonheur de toute une communauté.

En réalité, les êtres humains devraient se vénérer entre eux et se respecter les uns les autres.

Dans nos sociétés modernes ou l’individualisme et le culte du « JE » sont poussés à l’extrême, la devise largement répandue est : « Chacun pour soi et Dieu pour tous ».

Il serait pourtant préférable d’utiliser la célèbre formule des mousquetaires : « Un pour tous et tous pour un » !

Sans cette prise de conscience que nous dépendons les uns des autres et que notre bonheur ne peut se construire au détriment du malheur des autres, il sera difficile d’établir une civilisation paradisiaque.
C’est le véritable enjeu de notre siècle et des siècles à venir.

Nous devons, pour cela, développer en nous ce que l’on pourrait appeler « l’état d’esprit de rendre service ».

A SUIVRE ...

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Commentaire de Patrick ONNIS le 3 Avril 2016 à 16:20

Oui ma Chère Albatros, vous avez tout a fait raison. Chaque être humain est unique. Il n'y a pas deux Albatros ou deux Pat dans l'univers, mais nous sommes tous interdépendants et responsables les uns des autres. Il n'est sans doute pas faux de prétendre que nous sommes tous frères et soeurs de l'univers descendants de la même origine.

Commentaire de Albatros le 2 Avril 2016 à 22:30
Le moi est un être humain et relié au Tout c.-à-d. L'Univers .
Commentaire de Patrick ONNIS le 7 Mars 2016 à 19:06

Merci Liouba d'avoir pris un peu de votre temps pour lire ces 4 articles. Je vous invite à découvrir la suite qui sera publiée bientôt. Je suis persuadé que vous êtes un maillon extraordinaire. A bientôt de vous lire.

Commentaire de Liouba le 6 Mars 2016 à 20:04

J'ai lu les 4 articles et je retiens essentiellement cela : oui, nous ne sommes qu'un maillon d'une longue chaîne  et cela depuis l'existence des premiers atomes (et peu m'importe leur origine) et nous dépendons les uns des autres.

Aussi plus j'oeuvre à ma paix, ma joie, plus je participe petitement certes à soutenir le bon et le bien.

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