Suite de la première partie :

http://epanews.fr/profiles/blogs/la-notion-de-karma-1-re-partie

2°) La loi karmique

Avec les prés supposés définis dans la première partie de l’article, on peut mieux comprendre la notion de karma négatif qui a été enseigné dans le bouddhisme et l’indouisme, par exemple.

Dans le shintoïsme cette même notion a été appelée « impureté spirituelle ». On la retrouve également dans les traditions issues du christianisme, de l’islam ou du judaïsme sous le nom de « péché ».

Que l’on parle de karma négatif, d’impureté spirituelle ou de péché, il s’agit de la même notion de KARMA avec un grand « K ». Car celui-ci peut également être positif, lorsque l’on évite de se polluer sur ces trois plans.

Le KARMA a donc deux composantes : le karma positif et le karma négatif. Tous deux sont en quelques sortes notre « patrimoine » et notre « mémoire » qui sont « stockés » au niveau de notre âme qui constitue notre véritable moi.

Cette mémoire karmique est en quelque sorte une partie de nous-même. Elle nous « suit » au cours de nos réincarnations successives.

3°) La vie après la vie terrestre

La plupart des gens (plus encore en Occident) rejette l’idée d’une vie après la mort et pensent que l’après-vie est un état de néant.

Comme l’indique le schéma ci-dessous, au moment de la mort physique, l’âme, le corps spirituel et le corps astral se retirent du corps physique pour regagner un niveau vibratoire (invisible) appelé le monde astral.

Dans ce monde, les âmes des humains continuent à éprouver les mêmes sentiments que sur terre (troisième dimension) ainsi que les mêmes émotions. La mort physique, comme semble le prouver les dernières recherchent concernant les NDE, n’est que le début d’une nouvelle vie dans une autre dimension (la quatrième dimension).

En effet,  des milliers de personnes à travers le monde racontent la même histoire troublante. Elles ont la sensation de se détacher de leur corps, d'assister à leur propre réanimation, d'entendre les chirurgiens leur parler. Elles voient un tunnel avec au bout une lumière. Cette expérience a bouleversé leur vie, au point qu'ils ne craignent plus la mort.

Longtemps considéré comme obscur et assujetti aux railleries, le phénomène intéresse aujourd'hui de nombreux scientifiques, qui s'interrogent : Comment ces personnes ont-elles pu percevoir et mémoriser des scènes de leur réanimation alors qu'elles étaient inconscientes, dans le coma et parfois déclarées morte cliniquement ? Ils sont Cardiologues, Neurologues, Anesthésistes-Réanimateurs, Médecins, Psychologues. Certains conduisent une étude, d'autres ont vécu eux-mêmes une expérience de mort imminente. Ils témoignent sans complexe pour lever un tabou qui se révèle être une mine d'or de connaissance pour la science et pour l'homme.

D’après les récentes découvertes concernant les « NDE » (near death expérience), expériences de mort imminente (EMI en Français), la conscience se situe en dehors du cerveau.

A ce propos, nous vous conseillons de visionner le film de Sonia BARKALLAH  intitulé : « Faux départ ». (voir photo ci-dessous).

Ce documentaire réunit  cardiologues, neurologues, anesthésistes, réanimateurs, médecins, psychologues qui témoignent sans complexe sur ce sujet.
Le premier scientifique ayant ouvert cette voie est le Docteur Raymond MOODY avec son livre « La vie après la vie ».
Le docteur Pim van Lommel, des Pays Bas, cardiologue et auteur de l’étude « Expérience de mort imminente après un arrêt cardiaque », a publié dans la revue médicale The Lancet. Celui-ci s’est exprimé lors des premières rencontres internationales qui se sont déroulées au Congrès de Martigues (dans les Bouches du Rhône), le 17 juin 2006. Les deuxièmes rencontres ont eu lieu à Marseille, les 9 et 10 mars 2014, au Palais des Congrès.

Voici une partie de son intervention :
"… Une conscience claire et des processus de perception complexes, au cours de EMI, remet en question la notion selon laquelle la conscience est localisée exclusivement dans le cerveau… La notion admise jusqu’ici, mais jamais prouvée scientifiquement, selon laquelle la conscience et les souvenirs sont produits par un grand groupe de neurones et localisés dans le cerveau doit être discutée…
Comment peut-on expérimenter une conscience claire hors de son corps au moment où le cerveau ne fonctionne plus, lors d’une mort clinique par exemple, ou quand il y a un électro-encéphalogramme plat ?..."

"En outre, même des aveugles ont décrit des perceptions… Les études scientifiques nous amènent aux limites de nos notions médicales, sur la portée de la conscience humaine et les liens entre l’esprit et le cerveau… Nous avons un corps et une conscience mais sans le corps, nous pouvons avoir encore des expériences conscientes… Notre conscience n’est pas limitée par notre cerveau parce que celle-ci n’est pas localisée… Platon a dit, il y a plus de 2000 ans que le corps est le porteur transitoire de notre âme qui est immortelle… Le temps n’existe plus dans l’univers immatériel… Pour moi, la science signifie le fait de se poser des questions avec un esprit ouvert. Elle doit être à la recherche d’explications concernant de nouveaux mystères plutôt que de rester fidèle à d’anciens concepts…"

A voir :

http://youtu.be/ko3sIxh-rSg

A suivre ...

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Commentaire de Katy le 26 Février 2015 à 15:24

Cela me fait penser à un personnage devenu aveugle à l 'âge de 8 ans et qui, après de gauches tentative de continuer, de se heurter à tout, a fini par percevoir une lumière qui venait de l'intérieur, à partir de ce moment, la vue ne lui a plus jamais manqué.
Jacques Lusseyran : l'aveugle clairvoyant.

Il relate cela dans "Et la lumière fut" et plus particulièrement (mais je ne l'ai pas encore lu) "le monde commence aujourd'hui" :

Citations de "la lumière fut" :

“Il fallait laisser les arbres venir jusqu’à moi. Il en fallait pas placer entre eux et moi la plus petite intention d’aller vers eux, le plus petit désir de les connaître. Il ne fallait pas être curieux, ni impatient, ni surtout fier de sa prouesse. Si je me faisais très attentif, je n’opposais plus aux paysage ma poussée personnelle, alors les arbres ou les rochers venaient se oser sur moi et y imprimer leur forme comme les doigts impriment leur forme dans la cire.”

Ou

“La joie ne vient pas du dehors. Elle est en nous quoiqu’il arrive. La lumière ne vient pas du dehors. Elle est en nous, même sans les yeux.”

Commentaire de Patrick ONNIS le 26 Février 2015 à 7:19

Chère Béa, votre partage complète admirablement cet article. J'aime bien :

"Le karma implique un choix conscient, que nous pouvons exercer dans chacune des actions que nous accomplissons tout au long de notre vie."

Semons donc les graines du véritable bonheur !

Bien à vous.

Commentaire de Patrick ONNIS le 25 Février 2015 à 17:35

Chère Karen, merci pour votre témoignage et votre lien que je m'empresse de découvrir.

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