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Témoignage d'une femme bien dans sa peau
Mère, la soixantaine passée, elle se dévoile et nous livre ses réflexions concernant ce qu’elle appelle la "prétendue libération de la femme".
Sans détour, elle affirme que le féminisme a tué la femme !
« J’ai eu six enfants. C’est un choix. Je les voulais et ce, malgré les réflexions que j’ai dû me prendre en pleine figure de la part d’autres femmes soi-disant libérées.. Des propos tels que : « Tu ne connais pas la pilule ? »
Je me suis souvent sentie marginale, même si avec ces 2,01 enfants par femme, le taux de fécondité de la France est parmi les plus hauts d’Europe, juste derrière l’Irlande. Même si la France se distingue du reste de l’Union européenne, où l’indicateur moyen de fécondité se situe environ à 1,6 enfant par femme.
Le fameux « encore enceinte » entendu maintes et maintes fois m’était devenu insupportable.
Ce qui m’a beaucoup aidé c’est le fait de me consacrer chaque jour du temps, rien que pour moi. C’est aussi les contacts hors-maison avec des amis(es) fidèles. C’est aussi, mes escapades avec mon mari, en amoureux, pour un week-end.
Un mari qui a compris que l’éducation des enfants c’est aussi son affaire.
Oui je suis une mère de famille et j’affirme que je suis également une femme d’aujourd’hui, une femme moderne.
Mes moments rien que pour moi m’ont amené à m’investir aussi, selon mes disponibilités, au sein d’associations. La plupart du temps, je me sentais à l’aise avec des mères au foyer, et je me demandais pourquoi.
J’ai fini par réaliser que ces femmes étaient féminines et qu’elles appartenaient à une espèce en voie d’extinction : la « femme ».
Tout comme moi, elles appartenaient à une génération où les garçons invitaient les filles à « danser », les emmenaient voir un film au cinéma. Une génération où on ne couchait pas le soir même avec un garçon ! La période de flirt étant plus ou moins longue selon les cas.
Tout comme moi, elles s’en remettent à un homme, leur mari, pour les protéger et ne rentrent jamais en compétition avec les « mâles ».
Tout comme moi, elles rejettent l’idée de sacrifice, mais elles se vouent à leur famille avec tendresse et compassion et sont véritablement aimées en retour pour cela.
Elles sont aimées non pour leur apparence, leur accomplissement, leur carrière ou leur répartie, mais pour être en totale cohérence avec l’idée qu’elles se font de la Femme, avec un grand « F ».
Tout comme moi, elles ont un mari attentionné qui a dû mériter et gagner la confiance.
Hommes et femmes ont été gravement blessés sous prétexte de « libération » et « d’égalité ».
Les femmes ont acquis du « pouvoir » et les hommes ont été ainsi émasculés.
Le féminisme a enjoint les jeunes femmes à être « fortes et indépendantes » et de considérer les hommes, le mariage et la famille avec suspicion et mépris.
Les femmes étaient autrefois différentes des hommes, comme le jour et la nuit. Elles étaient concentrées sur leur foyer. Sur l’éducation de leurs enfants.
Leur esprit était un refuge et un havre de paix pour toute la famille. Aujourd’hui, elles sont devenues esclave d’une carrière, d’une société sans genre. Elles ont été sacrifiées sur l’autel de la consommation.
Oui, le féminisme a doté la plupart des femmes d’un pénis mental !
Beaucoup d’entre elles sont très agréables à regarder mais au niveau de leur personnalité, de leur style ou de leur charme, il y aurait beaucoup à dire.
Elles ne peuvent pas être des hommes, et elles ne savent plus comment être des femmes !
Ce sont des mutantes au sein d’une société qui préfèrent construire des crèches plutôt que d’octroyer aux femmes volontaires un salaire maternelle !
Par contraste, il y a un charme lumineux chez les femmes féminines de ma génération. Elles ne se prennent pas trop au sérieux. Un homme peut se détendre en leur présence. Elles ont encore de la fraicheur et restent attirantes même à 60 ans !
Les hommes sont aujourd’hui de plus en plus efféminés et les femmes de ma génération ne peuvent pas aimer ce genre d’hommes. »
Fallait-il ne rien changer à la condition féminine de nos mères et grands-mères ? La réponse est évidente. Mais il y a une grande différence entre acquérir de nouveaux droits et détruire la notion de famille ; entre avoir le droit de vote et être recrutée pour satisfaire des quotas idéologiques ; entre contrôle des naissances et … etc.'"
Autre point de vue à découvrir : L'islam et la place de la femme
http://youtu.be/XHvwm4dCHmw
Commentaires bienvenus
Merci Karen et Colibri de participer à cet échange. La civilisation humaine a traversé bien des étapes. Nous sommes toujours là. Cependant de nombreuses sociétés se sont écroulées, parce que fragilisées de l'intérieur. Nous devons penser aux générations futures. De nos jours on a tendance a qualifier de "progrès social" certaines "avances" qui ne sont en fait, selon moi, des "dégénérescences sociales" et des "reculades".
Qu'en pensez-vous ?
"Quand l'erreur se propage et se multiplie, elle devient vérité" (auteur inconnu)
On ne fera pas prendre, quant à moi, des "vessies pour des lanternes" !
oui chacun et chacune a le droit d'exprimer son appartenance sexuelle comme il le souhaite!
Il y a tant de façons multiples d'etre
Arretons d' uniformiser que ce soit pour les hommes ou pour les femmes
Merci
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