La femme sans le "féminisme" est l'avenir de l'homme ! (1ère partie)

Toute idéologie basée sur le mensonge doit nécessairement un jour faire face au dévoilement de ses manipulations.

Les féminismes, qui malgré leur diversité s’accordent souvent autour du mythe de la « libération » de la femme contre les « stéréotypes » et « oppressions » en tout genre, se retrouvent aujourd’hui à affronter un mouvement Internet né outre-Atlantique qui se nomme : « Women Against Feminism » (Femmes contre le féminisme).

Ce petit mouvement fait parler de lui, grâce notamment à la participation des internautes.

Le principe est simple : chacune peut envoyer une photo d’elle-même, avec une pancarte commençant par :

« Je n’ai pas besoin du féminisme car… »

La photo est ensuite publiée en ligne, sur le blog ou la page Facebook de ce mouvement. Cette dernière compte plus de neuf milles mentions « J’aime ».

Loin de puiser dans une idéologie construite, ce mouvement est plutôt de l’ordre de la réaction. 

Au final, c’est souvent en évoquant « l’égalité » et au nom du « choix » que ces filles refusent de se voir comme des « victimes » et d’être associées au féminisme contemporain.

Ces jeunes filles se rendent compte que derrière la rhétorique crapuleuse de la femme opprimée devant « s’émanciper », il y a le gouffre de la consommation, le règne libéral de l’argent et du chacun pour soi.

Et que finalement, les meilleurs boucliers pour leur féminité restent encore la structure familiale (ce lieu archaïque d’oppression et de violence…)

Les lobbies gays et féministes sont progressivement passés de la manipulation sentimentale au communautarisme agressif. Mais la vraie nature de ces lobbies se dévoile néanmoins chaque jour un peu plus.

Ci-dessous : Quelques exemples de  photos avec des commentaires

« Je n’ai pas besoin du féminisme car je suis responsable de mes actes ; je crois en l’égalité réelle ; je ne suis pas une victime ; je respecte les hommes et je n’ai pas besoin de les rabaisser pour ma valoriser ; il est passé d’un mouvement pour les droits à une organisation sexiste, corrompue et haineuse. Voilà à quoi ressemble une anti féministe. »

« Je n’ai pas besoin du féminisme car je veux quitter mon job et mettre de côté mon rêve de devenir mécanicienne pour être mère au foyer. Mon mari m’aime et me respecte. Je le sers, ainsi que nos trois enfants. »

« Je n’ai pas besoin du féminisme car être mère au foyer est mon propre choix, et mon mari qui travaille ne devrait pas être harcelé. »

A lire :

L'effroyable imposture du Féminisme

Lucie Choffey est née en 1984 près de Bourges, dans le Cher. Après des études d’ingénieur et le début de ce qui aurait pu devenir une belle carrière, elle décide de tout arrêter pour suivre, malgré les pressions et les regards désapprobateurs de son entourage, son désir propre de femme et de mère : rester à la maison et s’occuper de son fils.

Elle essaye alors de comprendre pourquoi, pendant tant d’années, elle a voulu se conformer à ce que d’autres voulaient pour elle, et en quoi le féminisme qui prétend libérer les femmes est en réalité une autre prison dans laquelle la société tout entière est en train d’être enfermée.

Modification des rapports hommes-femmes, mépris de la maternité, travail de la femme à l’extérieur du foyer devenu une obligation économique, banalisation de l’IVG (1) et occultation de ses conséquences psychologiques et sociales, les mouvements féministes ont profondément bouleversé la société, sans avoir pour autant libéré la femme qui, prise en étau entre l’image de "l’executive woman" combative et sexy que lui imposent les médias et sa propre réalité, ne sait plus quelle place est la sienne ni quelle est celle des hommes.

Une idéologie de l’égalité entre les sexes qui arrive aujourd’hui à son paroxysme avec la théorie du genre (2) qui voudrait confondre le masculin et le féminin en une seule identité – un garçon et une fille, c’est pareil – tout en déconnectant le sexe biologique d’un sexe dit social, le genre. Ainsi, l’égalité entre tous aboutit paradoxalement à une hyper-individualisation, chacun n’étant plus que le « produit » de sa propre construction.

En se penchant plus particulièrement sur les conséquences d’un processus historique qui a connu bien des divergences, Lucie Choffey brosse ici le tableau d’une révolution commencée il y a plus d’un siècle et qui n’a servi finalement que les intérêts de la société libérale-libertaire qui s’annonçait.

(1)

(2) De la théorie du genre à la femme à barbe ! Le pas a été franchi, car l’Autriche a choisi de se faire représenter au concours Eurovision de la chanson par Conchita Wurst, un  transsexuel de 25 ans au look très spécial.

C’est vrai qu’autrefois, parmi les attractions des fêtes foraines, il y avait parfois quelques bizarreries dont la « femme à barbe ». Cette fois-ci, il s’agit d’une « bizarrerie » d’un autre genre !

Une provocation qui je l’espère ne banalisera pas le phénomène.

A suivre, pour le meilleur et pour le pire !

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Commentaire de NRJ666 le 20 Mars 2015 à 8:33

Je suis une Sainte des Derniers Jours, ou ce que l'on appelle communément une "Mormone". Dans notre religion, nous avons pour principe de donner à la FAMILLE une place prépondérante dans la société  :

1/ La Famille est ordonnée de Dieu. 2/Le mariage entre l'homme et la femme est essentiel à son plan éternel. Les enfants ont le droit de naître dans les liens du mariage et d'être élevés par UN PERE et UNE MERE qui honorent leurs vœux de mariage dans la fidélité totale.3/ Le père doit présider sa famille dans l'amour et dans la droiture et de pourvoir aux besoins vitaux et à la protection de sa famille. La mère a pour première responsabilité de pourvoir d'élever ses enfants. Dans ces responsabilités sacrées, le père et la mère ont l'obligation de s'aider en qualité de partenaires égaux..."

Or, bien avant que je ne sois convertie au mormonisme, je me suis toujours sentie femme à part entière, et j'ai toujours considéré l'homme comme étant mon égal indispensable, tendant à devenir le compagnon de ma vie et être le père de mes enfants.  

Je n'ai jamais eu besoin du féminisme, bien au contraire, je plains ces femmes qui, à leur corps défendant, se comportent en victimes qu'elles ne sont pas, histoire de se démarquer de la femme dans tous les sens du terme... et qui souvent passent à côté du bonheur...  le vrai,  celui d'être une mère au foyer, avec son époux et ses enfants... mission pour laquelle l'homme et la femme sont venus sur terre !!! Quel gâchis !!!

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