Une fois de plus, les forces du mensonge utilisent leur recette favorite « Diviser pour régner » pour freiner l’évolution de la conscience humaine sur terre. Elles mettent en opposition deux vedettes révélatrices de vérité, Dieudonné et Laurent Louis. Leur salissage et leur dénigrement ont pour but de refroidir l’ardeur des fans envers leurs deux héros. L’un a raison, l’autre a tort. Il faut prendre parti.

Personocratia ne se laisse pas prendre au piège. Elle reste AU-DELÀ de la séparation du bien et du mal, AU-DELÀ de la dualité gagnant/perdant, AU-DELÀ du triangle dramatique victime/bourreau/sauveur. Elle voit le grand portrait évolutif de l’humanité et réitère sa gratitude envers ces deux hommes qui ont osé exposer publiquement la vérité sur deux énormes sujets tabous : l’un, la pédophilie en haut lieu et l’autre, l’inexistence de la Shoah. Grâce à leur action courageuse, l’humanité a fait des prises de conscience énormes. Elle a vu le château de cartes que constituent les pouvoirs socio-politiques et la pourriture des fondations sur lesquelles ils reposent. Elle peut dorénavant voir la non nécessité des autorités extérieures et imaginer leur écroulement imminent. Ça, c’est important ! …bien plus qu’une banale querelle de ménage.

Personocratia n’en perd pas son discernement pour autant. Elle sait que les assurances sont des machines à sous qui pompent l’argent de la peur. Elle sait que la politique n’est que la scène d’une pièce de théâtre qui se joue en cachette derrière les rideaux pour distraire le peuple, le bétail des dieux. Consciente de sa véritable identité d’être souverain, elle se comporte comme tel au quotidien. Par conséquent, elle n’achète pas d’assurance et se guérit de ses peurs. Elle ne cède pas non plus son pouvoir décisionnel aux politiciens. Elle vit sous la gouvernance de son âme et lui obéit exclusivement. Autorité et obéissance ne font plus qu’un, la guerre est finie, la paix se manifeste.

Personocratia se souvient de qui elle est réellement, Diesse∗ créatrice illimitée, et s’emploie à le devenir. Voilà la raison d’être de son existence.

∗ Être suprême inhérent à toute création

Personocratia : la personne qui se gouverne

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