... Comment l'Ormus connecte l'esprit avec la matière ?

Les éléments ORMUS sont des éléments en métal précieux, dans leur forme naturelle non métallique.
Sous cet aspect, ils sont beaucoup plus ordinaires qu'ils ne le sont dans leur forme métallique.
Les éléments ORMUS sont des minéraux nutritifs essentiels à toute forme de vie.
De nombreux témoins attestent de l'amélioration de leur état suite à la prise des éléments ORMUS dans leur forme concentrée.

Ces éléments ont aussi d'étranges propriétés. Parfois ils disparaissent, lévitent ou traversent des parois solides. Ils ressemblent aux matériaux utilisés anciennement par les alchimistes. Ils ont été associés aux "manna" bibliques, "shewbread", à l'or du Roi Salomon et aux "mfktz" égyptiens, relatés par Laurence Gardner dans son livre " Lost Secrets of the Sacred Ark ". Les textes anciens, hindous et chinois, font allusion à des matériaux similaires possédant des propriétés identiques.Beaucoup de consommateurs affirment que les éléments ORMUS accroissent les facultés psychiques et spirituelles.

Les éléments ORMUS proviennent de l'air, de l'eau et de la terre.
Leur relative abondance les rend facile à extraire et leur mise en concentration requiert des méthodes chimiques et mécaniques plutôt simples. Les matériaux d'ORMUS sont apparemment des élément chimiques traditionnels ayant adopté une structure atomique différente. Ainsi, il s'agirait d'un 4e état possible de la matière, mis à part le solide, liquide, et gaz que nous connaissons déjà. Il existe un lien important, voir majeur, entre ce"nouvel" état de la matière, connu depuis des millénaires par les alchimistes, et le phénomène d'énergie d'orgone.
Nous sommes sur le point de faire le lien entre la matière et l'éthérique…

Concernant l'eau, nous savons qu'elle contient beaucoup plus que des atomes d'hydrogène et d'oxygène.
Un gallon d'eau triple distillée pèse 8 livres, alors qu'un gallon d'eau synthétisée en laboratoire à partir d'oxygène et d'hydrogène pèse 7 livres. Lorsque nous apprenons que les éléments à l'état m sont solubles à l'air, et qu'ils ont la capacité de se cacher à l'intérieur des molécules, il devient possible d'imaginer que ces particules " nouvelles " n'aient jamais été découvertes par les scientifiques traditionnels mais qu'elles constituent une composante bien essentielle de l'eau. Ceci pourrait aussi expliquer les effets de "mémoire" et de programmabilité de l'eau.

UN PEU D'HISTOIRE...

Tout au long du siècle dernier et particulièrement depuis l’époque d’Albert Einstein, les scientifiques ont poursuivit une quête du Saint Graal de la physique moderne : "la théorie unifiée du tout". Ceci a débouché sur des découvertes inouïes et l’émergence d’un tout nouveau langage qui inclut les supercordes, les quarks et la supraconductivité, ainsi que la conscience de plans d’existence, inconnus jusqu’ici, au-delà de notre propre espace-temps familier.

Dans le domaine de la physique quantique, les scientifiques ont récemment confirmé que la matière peut en effet se trouver à deux endroits simultanément. Nous savons maintenant que, à cause de "l’enchevêtrement" quantique, des particules qui se trouvent à des millions d’années-lumière l’une de l’autre peuvent être en relation sans contact physique. L’espace-temps peut être manipulé, la téléportation devient une réalité, on annonce des matériaux échappant à la gravité pour les transports aériens, et la science virtuelle nous offre une meilleure compréhension des environnements hyperdimensionnels.

Lorsque, dans La Genèse des Rois du Graal, j’abordais les attributs de l’or monoatomique et des métaux platiniques, j’observais qu’il ne faudrait guère de temps avant qu’il ne soit question des potentialités de ces métaux nobles en vue de la conception de piles à combustible respectueuses de l’environnement. Je suggérais que celles-ci supplanteraient les combustibles fossiles pour les transports et d’autres applications pratiques. Par la même occasion, j’évoquais leur utilisation future en médecine, et particulièrement dans le traitement du cancer. Plus particulièrement, j’examinais les attributs antigravitationnels de ces poudres blanches exotiques et leurs pouvoirs supraconducteurs de nature à dévier l’espace-temps.

Ce qui est vraiment étonnant au sujet de cette énigmatique poudre blanche d’or, à spin élevé, et des métaux platinoïdes, c’est que leur découverte n’est en fait pas récente. Les anciens Mésopotamiens l’appelaient shem-an-na et les Egyptiens la désignaient par mfkzt (la traduction des hiéroglyphes omet les voyelles), tandis que les Alexandrins la vénéraient comme un don du Paradis, et plus tard des chimistes, tel Nicolas Flamel, l’appelèrent la Pierre Philosophale.

A toutes les époques de l’histoire, la "poudre de projection" sacrée était réputée posséder d’extraordinaires pouvoirs de lévitation, de transmutation et de téléportation. On disait qu’elle produisait une lumière brillante et des rayons mortels, tout en étant la clef d’une longévité physique active. Dans le monde actuel, l’Institut des Etudes Avancées (Austin, Texas, USA) a décrit cette substance comme "matière exotique", et sa supraconductivité (une de ses caractéristiques principales) a été déclarée par le Center for Advanced Studies (Université de l’Illinois, USA) comme étant "la propriété physique la plus remarquable de l’univers".

« L’histoire raconte que Moïse prit le veau d’or, le brûla au feu et le transposa en une poudre dont il nourrit les israélites. »

Cependant d’antiques documents montrent clairement que les attributs de supraconductivité et d’affranchissement gravitationnel étaient connus, si non compris, dans le monde cultuel lointain de la lévitation, de la communication divine et du pouvoir phénoménal de l’eletrikus. Dans la mythologie grecque, la quête de cette substance était au centre de la légende de la Toison d’Or, tandis qu’en termes bibliques c’était le domaine mystique de l’Arche d’Alliance, le coffre en or que Moïse ramena du Sinaï et qui fut ensuite conservé au temple de Jérusalem.

Nonobstant tout cela, la première référence historique de la poudre mfkzt est probablement la plus significative. Elle apparaît sous une forme très spécifique dans les textes des pyramides égyptiennes; des écrits sacrés qui ornent la tombe pyramidale du roi Unas, de la Vème dynastie, à Saqqara. Il y est décrit le lieu où le roi est réputé vivre éternellement avec les dieux et ce lieu est nommé le Champ de Mfkzt, un site éthérique associé à une dimension d’outre-monde nommée le Champ des Bénis. Etant donné que les processus mystérieux associés à l’or possèdent une connotation alchimique, et puisque la poudre de projection monoatomique, bien que constituée de métaux nobles, est classée en tant que "pierre", examinons les écrits du XVIIème siècle de l’alchimiste Eirenaeus Philalèthe [Ndt : orthographe française incertaine]. Ce philosophe britannique réputé, admiré par Isaac Newton, Robert Boyle, Elias Ashmole et d’autres contemporains, publia, en 1667, un ouvrage intitulé Secrets Revealed [les Secrets Révélés]. Dans ce traité, il analyse la nature de la Pierre Philosophale, supposée pouvoir transmuer un métal vulgaire en or. Mettant les choses au point, Philalèthe conclut que la Pierre était elle-même constituée d’or et que l’art du philosophe consistait à perfectionner le processus.

Notre Pierre n’est rien que de l’or affiné au plus haut degré de pureté et de subtile fixation... Notre or, n’étant plus vulgaire, est le but ultime de la Nature. Dans un autre traité intitulé A Brief Guide to the Celestial Ruby [Guide Sommaire vers le Ruby Céleste], Philalèthe déclare : On la nomme Pierre à cause de sa nature fixe ; elle résiste à l’action du feu aussi bien que n’importe quelle pierre. En l’espèce, c’est de l’or, plus pur que le plus pur, elle est fixe et incombustible comme la pierre, mais en apparence c’est une poudre très fine. Quelques temps plus tôt, au XVème siècle, l’alchimiste français Nicolas Flamel écrivit dans son Dernier Testament, daté du 22 novembre 1416, que lorsque le métal noble était parfaitement réduit et séché il devenait une "fine poudre d’or", qui est la Pierre Philosophale.

« On la nomme Pierre à cause de sa nature fixe ; elle résiste à l’action du feu aussi bien que n’importe quelle pierre. En l’espèce, c’est de l’or, plus pur que le plus pur, elle est fixe et incombustible comme la pierre, mais en apparence c’est une poudre très fine. »

Cette histoire a longtemps laissé les théologiens perplexes, car l’exposition de l’or au feu ne produit évidemment pas une poudre blanche, mais de l’or fondu. Plus loin dans le récit cependant, on explique que cette fine poudre pouvait être rassemblée avec de l’encens et transformée en gâteaux de pain blanc, que l’ancienne Bible des Septante appelle le "pain de la présence".

« C’est à Karnak que, vers 1450 av. J.-C., Thoutmès III fonda sa fraternité de Maîtres Artisans métallurgistes. Ils se réclamaient de la Grande Confrérie Blanche, un nom issu, dit-on, de leur activité en relation avec une mystérieuse poudre blanche de projection. »

Tout cela est mélangé et confondu avec des récits de feu sur la montagne et l’importance soulignée de l’Arche d’Alliance, le coffre en or au couvercle surmonté d’un chérubin, entre les ailes duquel sortaient de mortels éclairs. En rapport avec le pain de la présence, ces traits de lumière de l’Arche étaient également désignés en tant que "la présence" (apparemment la présence de Dieu), et les Grecs l’appelaient electrikus. Dans l’ancienne Babylone, la poudre blanche énigmatique à haut spin était appelée an-na qui signifiait "pierre à feu", et lorsqu’elle était formée en gâteaux coniques c’était shem-an-na, dénotant des pierres à feu coniques ou de haute valence. Selon la Bible, les Israélites désignaient la poudre de pain comme manna, qui a une consonance similaire. Dans son Antiquités des Juifs, au premier siècle, Flavius Josèphe explique que le mot manna était en fait une question : "qu’est-ce ?", et le livre de l’Exode confirme ceci : "ils l’appelèrent manna parce qu’ils ne savaient pas ce que c’était".

Ceci est entièrement compatible avec les révélations du mfkzt dans le Livre des Morts égyptien (appelé aussi papyrus d’Ani). Ce rouleau de la XVIIIème dynastie, de Thèbes, acquis par le British Museum en 1888, est très illustré et mesure plus de 23 mètres de long. Dans cet ancien ouvrage ritualiste, le pain de la présence est associé à un pharaon qui cherche ‘Tillurnination finale" et, à l’issue de chaque étape de son voyage, pose sans cesse la question : "Qu’est ce ?" D’autres textes similaires remontent au IIIme millénaire avant J.-C., et il ressort clairement des bas-reliefs du mont Serâbit au Sinaï que les rois égyptiens ingéraient la blanche manne d’or dés environ l’an 2180 avant J.-C. Cependant, les seuls à connaître le secret de sa fabrication étaient les adeptes des écoles de mystères (Maîtres Artisans), et le futur Grand Prêtre de Memphis portait le titre de Grand Artificier.

" L’illumination finale", (ou, comme les Grecs l’appelaient : la gnose), était une quête perpétuelle idéale. Car, outre le corps physique, on était censé posséder un "corps de lumière", qui, lui aussi, devait être nourri et soigné afin de se développer. Le "corps de lumière" était appelé le ka et, bien que ce fût essentiellement une forme de vie intangible, il était réputé demeurer actif dans l’Après-vie. L’aliment du ka était la lumière, qui générait l’illumination et la substance productrice de lumière était le mfkzt, la blanche poudre d’or.

Gardant à l’esprit cette information et nous souvenant que tous les aspects de pareilles découvertes ont toujours été des sources d’interrogation pour les historiens, les théologiens et même les scientifiques, nous allons maintenant nous rapprocher du temps présent.

LA POUDRE D’OR BLANCHE REDECOUVERTE

Quittant le Moyen Orient, notre histoire se poursuit en Amérique où, tout à fait par hasard, les mystères de cette science depuis longtemps oubliée ont été redécouverts très récemment. Non seulement le mfkzt a refait surface pour prendre place au premier rang de la recherche en physique quantique, mais les histoires de l’Arche d’Alliance, les récits mettant en scène éclairs de lumière, lévitation et autres attributs divins des textes anciens, sont soudainement devenus des réalités scientifiques modernes.

L’histoire de cette première découverte a été relatée en 1996 dans des articles de NEXUS par l’agriculteur David Hudson de Phoenix, Arizona. Il expliquait que sa terre souffrait d’un taux élevé de sodium qui durcissait la surface et la rendait étanche à l’eau. Pour corriger cela, (en 1976), il injecta de l’acide sulfurique dans le sol afin de rompre cette croûte et de lui donner une consistance malléable. Mais en analysant les composants qui n’avaient pas été dissous par l’acide, il découvrit qu’un des matériaux avait des propriétés inhabituelles. Chauffé par le soleil de l’Arizona, ce composant s’enflammait en un grand éclat de lumière blanche et disparaissait complètement. Cependant, à l’analyse spectroscopique, cette substance se révéla être "du pur rien" !

Après des essais infructueux à l’université de Cornell, un échantillon fut envoyé aux laboratoires Harwell, dans l’Oxfordshire en Angleterre, pour une analyse d’activation neutronique, mais même cela ne permit pas une indentification valable. Finalement, moyennant l’assistance de l’Académie des Sciences Soviétique, on parvint à la conclusion que cette mystérieuse matière blanche brillante était entièrement composée de métaux platinoïdes sous une forme jusque-là inconnue de la science.

Au fil de la poursuite de ces recherches, le matériau fut régulièrement chauffé et refroidi, ce qui eut pour effet une fluctuation de son poids gravitationnel. On observa également qu’à une certaine température, la perle blanche se désagrégeait pour devenir une poudre monoatomique (un seul atome) et qu’à ce stade son poids diminuait de façon spectaculaire à 56% du poids d’origine. Une montée en température jusqu’à 1160°C transformait cette substance précieuse en un verre merveilleusement clair, tandis que son poids retrouvait les 100% d’origine. Cela semblait impossible, mais l’expérience fut répétée nombre de fois !

Complètement perplexes, les scientifiques poursuivirent leurs investigations. En chauffant et en refroidissant de façon répétée, sous des gaz inertes, ils découvrirent que la phase de refroidissement portait l’échantillon à un poids incroyable égal à 400 fois sa valeur d’origine; mais en le chauffant à nouveau, le poids diminuait à moins que rien, une valeur largement négative. Lorsqu’ils retirèrent l’échantillon du plateau, ils s’aperçurent que celui-ci était plus lourd que lorsque le matériau s’y trouvait et que la substance possédait la propriété de transférer son apesanteur à l’objet qui le contenait. En d’autres termes, même le plateau était en lévitation ! Ceci correspondait exactement à l’ancien texte alchimique alexandrin qui, 2000 ans plus tôt, disait de la Pierre en or du Paradis que : "la matière surpasse en poids sa quantité d’or d’origine, mais une fois transformée en poudre, elle ne fait pas le poids en balance avec une plume".

Il fut établi aussi que la substance était un supraconducteur naturel à champ magnétique nul, repoussant également les pôles magnétiques nord et sud, tout en ayant le pouvoir de lévitation et d’emmagasiner n’importe quelle quantité de lumière et d’énergie.

Parvenu à ce stade, David Hudson rencontra le Dr Hal Puthoff, Directeur de l’Institut des Etudes Avancées à Austin, Texas. Dans sa recherche sur l’énergie et la gravité au point zéro en tant que force fluctuante de point zéro, Puthoff avait établi que, lorsque la matière commence à réagir en deux dimensions (comme le faisaient les échantillons d’Hudson), elle devait théoriquement perdre environ 4 neuvièmes de son poids gravitationnel. Cela représente environ 44%, précisément le chiffre résultant des expériences sur la poudre blanche.

Hudson fut donc en mesure de confirmer, par la pratique, la théorie de Puthoff, selon laquelle lorsque la poudre monoatomique passe à un état de supraconductivité, elle n’accuse que 56 % de son poids d’origine ; et aussi que lorsqu’elle est chauffée elle peut parvenir à un état gravitationnel inférieur à zéro, si bien qu’à ce point le plateau pèse moins que lorsqu’il est vide... Finalement moyennant l’assistance de l’Académie des Sciences Soviétique, on parvint à la conclusion que cette mystérieuse matière blanche brillante était entièrement composée de métaux du groupe platinique sous une forme jusque-là inconnue de la science

En chauffant et en refroidissant de façon répétée, sous des gazinertes, ils découvrirent que la phase de refroidissement portait l’échantillon à un poids incroyable égal à 400 fois savaleur d’origine ; mais en le chauffant à nouveau, le poids diminuait à moins que rien, une valeur largement négative. Lorsqu’ils retirèrent l’échantillon du plateau, ilss’aperçurent que celui-ci était plus lourd que lorsque lematériau s’y trouvait et que la substance possédait lapropriété de transférer son apesanteur à l’objet qui le contenait.···

Comme la gravité détermine l’espace-temps, Puthoff conclut que la poudre était une "matière exotique", capable d’infléchir l’espace-temps.

Cependant la poudre mfkzt devait alors (selon la théorie) entrer en résonance dans une autre dimension, dans quel cas elle devait devenir complètement invisible. Hudson confirma une fois de plus que c’était exactement le cas : l’échantillon disparaissait en effet à la vue tandis que son poids s’annulait.

Ce dont il était question, ce n’était pas simplement la disparition visuelle de la substance, mais qu’elle était littéralement transportée dans un plan alternatif parallèle, une cinquième dimension de l’espace-temps. La démonstration en fut faite lorsqu’on tenta de là remuer et de la ramasser avec une spatule, de telle sorte que, lorsqu’elle réapparaîtrait à la vue, sa position soit différente. Mais cela ne se produisit pas, toute la substance réapparut exactement dans la même position et la même forme qu’au départ. Rien n’avait été dérangé pendant la période d’invisibilité, parce qu’il n’y avait plus rien eu de présent dans le plateau. Bref, la substance n’avait pas été invisible, elle avait en fait modifié son état physique et était passée dans une autre dimension.

Le Dr Puthoff expliqua que c’était analogue à la différence entre un avion furtif, qui ne peut être détecté par les radars, et un aéronef qui serait carrément passé dans une autre dimension.

Ceci donc, est la dimension supraconductrice de l’Orbite de la Lumière ou, comme il est écrit sur les tombes égyptiennes, Du Champ de Mfkzt.

Au début des années 1990, des articles concernant les atomes furtifs et la supraconductivité commencèrent à être publiés très régulièrement dans la presse scientifique. L’Institut Niels Bohr à l’université de Copenhagen, ainsi que les Argonne National Laboratories à Chicago et le National Laboratory Oak Ridge, au Tennissee, dépendants du Département US de l’Energie, confirmèrent tous que les éléments découverts par Hudson existaient certainement en l’état monoatomique. Ceux-ci incluaient l’or et le groupe des métaux platiniques : l’iridium, le rhodium, le palladium, le platine, l’osmium et le ruthénium.

En déposant ses brevets, Hudson fit classer les substances en tant qu’Eléments Monoatomiques à Réarrangement Orbital (EMRO) [Ndt : ORME en anglais], et la terminologie scientifique décrivant le phénomène monoatomique est : "haut-spin déformé assymétriquement". Ces substances sont supraconductrices parce que les atomes à haut-spin peuvent transmettre l’énergie de l’un à l’autre sans aucune perte.

GAUCHIR L’ESPACE-TEMPS AVEC DE LA MATIERE EXOTIQUE

La manipulation de l’espace-temps acquit un intérêt particulier, qui produisit une annonce étonnante dans le journal Classical and Quantum Gravity [Gravité Classique et Quantique] en mai 1994. Son auteur, le scientifique mathématicien mexicain Miguel Alcubierre, déclara : " Nous savons maintenant qu’il est possible de modifier l’espace-temps de manière à permettre à un vaisseau spatial de voyager à une vitesse arbitrairement élevée simplement par une expansion locale de l’espace-temps en arrière du vaisseau et une contraction opposée en avant ; un mouvement plus rapide que la vitesse de la lumière, évocateur de la propulsion gauchie de la science fiction".
Ceci fut suivi quelques mois plus tard d’un article dans le American Scientist (Hypersurfing sur l’Espace-Temps" vol. 82, pgs. 422-3, octobre 1994). Dans cette étude, Michael Szpir montra que le concept d’Alcubierre ne violait pas la théorie d’Einstein, selon laquelle aucun objet ne peut se déplacer plus vite que la lumière. Il expliquait que, lorsqu’il était en mode gauchi, le vaisseau ne voyageait en fait pas du tout. L’accélération théorique serait énorme, mais l’accélération réelle serait nulle.

Comme la gravité détermine l’espace-temps, Puthoff conclut que la poudre était une "matière exotique", capable d’infléchir l’espace-temps.Hudson confirma une fois de plus que c’était exactement le cas : l’échantillon disparaissait en effet à la vue tandis que son poids s’annulait.

Nous avions ici un mode de voyage à la vitesse de la lumière qui ne demandait qu’un temps minimal et un carburant minimal... mais seulement que la quantité idoine d’espace-temps se soit ostensiblement déplacée depuis l’avant du vaisseau pour se resituer en arrière, grâce, respectivement, à une contraction et une expansion.
Mais quel dispositif cela nécessitait-il ? L’article d’Alcubierre expliquait qu’une "matière exotique serait requise pour générer une distorsion de l’espace-temps".

Subséquemment, l’éditeur scientifique de la BBC News britannique, le Dr David Whitehouse, rapporta : L’idée repose sur le concept que, pour les physiciens, l’espace n’est pas vide... L’espace possède une forme qui peut être déformée par la matière... Le vaisseau spatial reposerait simplement dans une bulle gauchie entre deux distorsions de l’espace-temps. Quelle était donc cette "matière exotique" à laquelle Alcubierre faisait allusion ? C’est de la matière dont l’attraction gravitationnelle est inférieure à zéro. Szpir la décrivit comme "une matière douée de la curieuse propriété d’une densité énergétique négative, contrairement à la matière normale (dont sont faits les gens, les planètes et les étoiles), dont l’énergie est positive." Le dispositif exotique nécessaire est un supraconducteur actif; et Hal Puthoff avait déjà expliqué que, à cet égard, le mfkzt de Phoenix était une matière exotique ayant la propriété de dévier l’espace-temps.

LA SCIENCE MODERNE RENCONTRE L’ANCIENNE ALCHIMIE

Revenons au début, nous pouvons jeter un autre regard aux ORMES et à leur ingestion régulière par les pharaons égyptiens et les rois babyloniens, pour voir exactement comment ces éléments monoatomiques étaient utilisés pour alimenter leurs corps de lumière, avec des résultats étonnants.

Dans un article du numéro de mai 1995 du Scientific American, les effets du métal ruthénium, du groupe platine, étaient abordés en relation avec l’ADN humain. On y observait que lorsqu’un unique atome de ruthénium était placé à chaque extrémité d’un brin d’ADN court, ce brin devenait 10000 fois plus conducteur. Il devenait en fait un supraconducteur. Depuis quelques temps les chimistes se doutaient que le double hélicoïde pourrait créer, dans l’axe de la molécule, un chemin hautement conducteur, et nous en avions ici la confirmation.

Pareillement, la Platinum Metals Review a régulièrement publié des articles concernant l’utilisation du platine, de l’iridium et du ruthénium dans le traitement des cancers (qui sont provoqués par une division anormale incontrôlée des cellules du corps). Lorsque l’état d’un ADN est modifié (ce qui est le cas dans un cancer), l’application d’un composé de platine entrera en résonance avec la cellule déformée, provoquant la détente de l’ADN et sa rectification. Un tel traitement n’implique aucune chirurgie ; il ne détruit pas les tissus environnants par des radiations et n’agresse pas le système immunitaire, comme le font la radiothérapie et la chimiothérapie.

La profession médicale s’intéressa au haut-spin lorsque la division de recherche biomédicale de la compagnie pharmaceutique Bristol-Myers Squibb annonça que les atomes de ruthénium interféraient avec l’ADN, corrigeant la malformation de cellules cancéreuses. (L’or et les métaux monoatomiques du groupe platine sont en fait des "atomes furtifs", et il est à présent établi que les cellules du corps communiquent entre elles par l’intermédiaire des atomes furtifs à travers un système d’ondes lumineuses). Ce que la nouvelle science découvre, c’est que le ruthénium monoatomique entre en résonance avec l’ADN, démonte l’hélicoïde court et le reconstruit correctement ; exactement comme on démonte et reconstruit un bâtiment en mauvais état.

On sait que l’iridium et le rhodium ont tous deux des qualités anti-vieillissement, tandis que les composés de ruthénium et de platine interagissent avec l’ADN dans le corps cellulaire. On sait également que, dans leur état monoatomique à haut-spin, l’or et le platine peuvent activer le système glandulaire endocrinien au point de porter la conscience, la perception et les aptitudes à des niveaux extraordinaires. A cet égard, on estime que la poudre d’or à haut-spin a un net effet sur la glande pinéale, augmentant la production de mélatonine. Pareillement, la poudre d’iridium monoatomique a un effet similaire sur la production de sérotonine de la glande pituitaire, et réactiverait "l’ADN-rebut" ainsi que les zones du cerveau imparfaitement exploitées, ou pas du tout.

Il est particulièrement important que, nonobstant toute la recherche actuelle coûteuse et étendue dans ce domaine, les secrets des pierres à feu de haut spin étaient connus de nos ancêtres il y a des milliers d’années. Ils connaissaient l’existence des supraconducteurs propres au corps humain: éléments de la conscience individuelle qu’ils appelaient le "corps de lumière" (le ka). Ils savaient que le corps physique et le corps de lumière devaient être nourris pour augmenter la production hormonale, et l’ultime aliment pour ce dernier était appelé shem-an-na par les Babyloniens, mfkzt par les Egyptiens et manna par les Israélites.

La poudre magique de projection était fabriquée par les prêtres Maîtres Artisans des temples (les Gardiens de la Maison de l’Or) dans le, but précis de déifier les rois... et elle fait sa réapparition aujourd’hui en tant que nouvelle substance primordiale dans des domaines allant du traitement du cancer à l’avion furtif. Elle pourra même fournir la "matière exotique" essentielle au voyage spatial vers des dimensions d’espace-temps inaccessibles jusqu’ici.

Dans Lost Secrets of the Sacred Ark, l’histoire du mfkzt monoatomique est retracée en détail depuis les temps les plus reculés jusqu’à ce jour, avec des références spécifiques à l’importance de l’Arche d’Alliance biblique. De nombreux mystères sont attribués à ce coffre énigmatique, le moindre d’entre eux n’étant pas le mode de sa création au mont Horeb.

Le livre de l’Exode explique que, lorsque Moïse détruisit le veau d’or des Israélites, Dieu donna des instructions précises interdisant la fabrication d’images représentant n’importe quelle créature vivante sur Terre ou au Ciel. Mais immédiatement après, Dieu donna apparemment l’ordre à l’artisan Bezaleel de fabriquer l’Arche d’Alliance, précisant (en contradiction complète avec l’interdiction précédente) que deux chérubins en or devaient en surmonter le couvercle. Si ce n’étaient pas des anges, comme on le pense en général, qu’étaient donc ces chérubins ésotériques ? D’où tenaient-ils le pouvoir de produire cet "arc lumineux de la présence", qui fit plus tard tant de ravages sur les champs de batailles ?

Selon notre compréhension actuelle des éléments à haut-spin, il apparaît que l’Arche biblique (ainsi que des dispositifs similaires en Egypte et à Babylone) était directement impliquée dans la fabrication scientifique de la pierre à feu monoatomique (le shem-an-na), tout en offrant à la substance son propre moyen de confinement, d’où les pouvoirs de lévitation et de supraconductivité de l’Arche. Depuis l’époque de Moïse, on peut retracer l’histoire de l’Arche jusqu’au temple de Jérusalem. Là, ainsi qu’il est écrit dans les Septante, le roi Salomon utilisa son pouvoir "pour fournir du pain à la maison du roi de Tyr", qui réciproquement offrit des navires, des chevaux et des chars pour la Maison Royale de Judah.

Par la suite (et nonobstant les écrits contradictoires), l’Arche peut être suivie pendant encore 2000 ans jusqu’au rôle étonnant qu’elle joua dans l’histoire des Chevaliers du Temple en Europe. La dernière référence historique nous vient du XIVème siècle, et ce sera la mention de sa dernière demeure qui n’aura jamais été comprise avant l’ère actuelle de la physique quantique et de la recherche sur les propriétés supraconductrices des éléments monoatomiques à haut-spin.
Barry Carter fait des recherches sur les éléments ORMUS depuis 1989 et il donne des conférences dans le monde entier. Lors de ses conférences et de ses ateliers, Barry détaille tous ces concepts et bien plus encore. Il nous montrera aussi comment extraire les éléments ORMUS à partir de sources naturelles.

Si vous souhaitez être informé de ses prochains séminaires et conférences en France et en Europe, contactez-nous : barbara.bharmony@gmail.com

SOURCE : http://www.b-harmony.com/calendrier/barry_carter.htm

Pour obtenir de l'Ormus en Europe :
www.exotic-elixirs.co.uk/index_fr.html

ET AUSSI L'ORMUS OPAL DE FRANCE

ormus-etiquette-opal-fond-espace_modifie-2.jpg

ORMUS SANS SEL

Rincé soigneusement plus de 10 fois.

Contrairement aux Ormus classiques très salés et au goût de marée, l'Opal Ormus à un merveilleux goût de lait, il ne contient plus, ni sel, ni soude, ne reste que le lait de magnésium, de calcium et les éléments M en suspension.

 

 

bouteille-eau-diamant-arc-en-ciel-reduit.jpg

 

 

 réalisé à partir d'eau diamant de couleurs  

 

opale2.jpg opales1.jpg

 

d'élixir d'opales

campo del cielo

et de météorites

ormus-bouteille-violette-reduit.jpg

 Opal Ormus

1 litre 60 euros  (3 mois en entretien)  

2 litres 100 euros

3 litre 140 euros

Frais d'expédition 10 euros

comment passer commande?

Approvisionnement régulier:

  2eme litre 50 euros

3eme et plus 40 euros

Notre objectif est de s'équiper pour accroitre la production et continuer a baisser les prix.

Dosage d'entretien

1 cuillère à café, 2 fois par jour

Possibilité d'augmenter les doses progressivement

pour un effet plus rapide.

Suivez votre ressenti.

   Puis revenez au dosage d'entretien.

Le premier litre se consomme donc en moyenne en 2 mois.

Cet ORMUS est issu d'un élixir d'opales réalisé à partir d'eau diamant. Il est extrait des sels les plus concentrés en minéraux de la planète donc en élément M. Le sel de l'Himalaya enfoui sous terre depuis 250 millions d'années a capté 84 minéraux. Le sel de la Mer Morte contient dix fois plus de substances minérales que l'eau des autres mers.

 Les éléments ormus sont présents dans l'eau, l'air, la terre et les tissus vivants. Ils sont concentrés dans le sel. C'est depuis ce dernier qu'ils sont extraits à partir d'une solution d'eau distillée. L'Ormus se charge des énergies qui l'entourent lors de sa création.

Divers procédés et symboles de charge ont été utilisés :

la pyramide

le triskel

le cube de métatron

la fleur de vie

le dodécaèdre

les 72 pentacles des anges

la plaque atlante

Et, beaucoup d'Amour et de concentration, ainsi qu'une toute nouvelle technologie dont nous parlerons plus tard...

La méthode a été améliorée en remplaçant l'eau distillée par de l’Élixir d'opales réalisé avec de l'eau diamant distillée.

 Petit rappel :

L'Ormus peut avoir des effets puissants sur certaines personnes notamment au niveau des perceptions. Cependant l'alcool ainsi que d'autres substances en réduisent la perception.

Visites : 20605

Les commentaires ne sont pas autorisés sur cet article

Commentaire de Antão de Gaïa le 22 novembre 2012 à 8:15

Salut Monikaren,

J'ai pas mal cherché et questionné pour trouver un alchimiste sérieux et honnête... Et donc, le lien en bas de l'article pointe vers des anglais réputés à cause de leur démarche très impliquée dans la qualité, la recherche, les études, et vis à vis de l'attente des personnes qui utilisent l'Ormus, de plus, leur prix de vente bon marché est significatif. J'ai choisi de m'adresser à eux plutôt que de préparer moi même, parce que c'est bien plus qu'une simple recette à suivre...

Commentaire de Antão de Gaïa le 20 novembre 2012 à 22:20

J'ai mis un peu de "temps" pour trouver le bon alchimiste, tout en me préparant intérieurement pour absorber l'élixir, maintenant j'attends juste les fonds, d'ici sous peu, pour passer commande tout en finalisant mon intention. C'est un processus complexe qui de mon point de vue nécessite d'être complètement détaché de tout à priori mental, et d'être absolument réceptif à toutes les transformations induites. L'alchimie de la pierre philosophale est un alignement non pensé à la Source, ce qui demande d'être naturellement tout à fait prêt, vraiment centré et connecté. Donc, le début de l’absorption coïncidera avec l'approche du solstice d'hiver, qui est une étape essentielle pour moi, tout comme ensuite le nouvel an oriental qui est le début du printemps lunaire.

Commentaire de Antão de Gaïa le 20 novembre 2012 à 9:17

Cela n'est pas associé aux Andaras. Cet un élixir de vie qui répare et restructure l'ADN dans sa forme la plus efficiente et adaptée à Soi, tout comme il agit globalement sur l'équilibre et l'harmonie des fonctions physiologiques autant que sur les corps subtils de l'aura, de l'enveloppe énergétique du corps. C'est en ça que l'Ormus est la pierre philosophale.

Commentaire de Artemis le 18 novembre 2012 à 21:49

Merci Antao je vais certainement essayer cette recette. Cela m'a l'air faisable et assez naturel (et spectaculaire à cause de la potasse)...

Si je n'écris plus c'est que je n'ai pas survécu...hihihi...

Commentaire de Antão de Gaïa le 18 novembre 2012 à 20:48

Une recette facile pour fabriquer de l’Ormus
Par Anne Beversdorf
Traduit de l’anglais par Julien Frère

Cette recette vous est offerte par Anne Beversdorf. N’hésitez pas à la copier et à la diffuser. Je ne fais là aucune recommandation sur l’utilisation de ce produit, il s’agit d’un produit expérimental à fin de recherches.

Pour en savoir plus sur l’ORMUS :
http://www.arsitra.org/yacs/articles/view.php/775/les-ormus


Liste du matériel nécessaire:
• Deux récipients en acier inoxydable ou en pyrex, d’une contenance de deux litres minimum
• Des filtres à café pour cafetière
• Une passoire pour tenir le filtre à café (pas d’aluminium)
• Une petite bouteille avec une pipette
• Du papier pH pouvant mesurer jusqu’à 11 ou un pH mètre électronique
• Un flacon à décanter en verre (avec un robinet en bas si possible)
• Une pipette ou une seringue de 50cc (surtout si vous n’avez pas de robinet sur le flacon à décanter)
• Un récipient en pyrex gradué (Becher)
Ingrédients nécessaires:
• Sel de mer brut (le gris qui à l’air humide) est le meilleur. Vous pouvez aussi vous procurer du sel de la mer morte.
• De la potasse caustique (hydroxyde de potassium – KOH)
• Trois litres d’eau distillée
• Du vinaigre blanc

Préparation: au-dessus de l’évier !
Versez deux décilitres d’eau distillée dans le récipient en pyrex gradué que vous aurez préalablement placé l’évier. Ajouter deux cuillères à soupe de poudre de potasse. Restez assez loin de l’évier afin que la fumée ne vous arrive pas dans les yeux, et remuez la poudre afin qu’elle soit bien dissoute. Attention : l’eau va devenir chaude. Si la poudre de potasse rentre en contact avec la peau ou les habits, nettoyez immédiatement la peau avec de l’eau et du savon et retirez vos habits. Autrement la poudre risque de ronger la peau et les habits.

Posez la petite bouteille avec la pipette dans l’évier, enlevez la pipette et remplissez la bouteille avec la solution de potasse ainsi obtenue. Si l’eau est toujours chaude, ne refermez pas la petite bouteille tout de suite, mais attendez que cela refroidisse.

Marche à suivre:
1. Versez 1 litre d’eau dans un récipient puis mettez-y 2.5 dl de sel marin gris, ou 1.25 dl sel de la mer morte.
2. Filtrez l’eau salée à travers le filtre à café dans le second récipient, répétez l’opération en changeant le filtre jusqu’à ce que le filtre ne retienne plus de saletés.
3. Tenez le papier pH prêt, puis ajoutez quelques gouttes de la solution de potasse dans l’eau sale, tout en remuant en permanence. N’hésitez pas à varier votre mouvement quand vous remuez afin de bien mélanger la solution de potasse à l’eau qui a tendance à stagner au même endroit.
4. Vérifiez le pH de l’eau. L’objectif est que le pH atteigne 10 sans dépasser 11. Il augmentera lentement jusqu’à 9, puis s’accélérera ensuite. Lorsqu’il sera proche de 10, il augmentera très rapidement. Si il s’avère qu’il dépasse 11, ajoutez quelques gouttes de vinaigre afin de faire redescendre le pH.

Note: la raison pour laquelle il faut faire attention au niveau de pH est que les éléments à l’état M précipiteront juste au dessus de 10.5. Si vous allez plus haut, d’autres éléments (appelés éléments Gilchrist) précipiterons aussi, et ils ne sont pas bons. C’est pourquoi il faut impérativement maintenir le pH en dessous de 11 (10.78 pour être exact).

5. Lorsque que le pH désiré est atteint à un endroit, déplacez le papier pH pour vérifier que le niveau de pH est uniformément distribué dans l’eau.
6. Versez l’eau dans un grand récipient. Laissez reposer pendant au moins 4 heures. L’idéal est de laisser reposer pendant la nuit. Un précipité blanchâtre va se former au fond du récipient.
7. Lorsque que 4 à 12 heures sont passées, retirez l’eau salée du récipient(tout en laissant le précipité au fond, et remplissez le d’eau distillée ou d’eau du robinet. (Vous pouvez ajuster la quantité d’eau distillée et
augmenter le pH afin d’avoir encore un peu de précipité). Secouez et laissez reposer encore une fois. Cette procédure s’appelle “le lavage du précipité”.
8. Lavez le précipité au moins trois fois avec de l’eau propre, à chaque fois secouez et laissez reposer au moins quatre heures avant de recommencer. La procédure de nettoyage prend donc 12 heures.
9. Après le dernier nettoyage, versez le mélange sirupeux de poudre blanchâtre et d’eau dans une bouteille en verre, fermez hermétiquement et gardez-le pour un usage ultérieur. Stocker à l’abri des champs électriques et magnétiques.

Sachant que l’Ormus est fortement influencé par les pensées et l’énergie, il est intéressant d’augmenter son potentiel en mettant des objets charges d’énergie autour, comme par exemple des cristaux, des photos d’êtres aimés, des intentions écrites, des objectifs, etc.

Utilisation de l’Ormus :
Vous pouvez choisir de l’ingérer, dans ce cas, commencez avec une demi-cuillère à café deux fois par jour. Si vous en prenez une dose journalière trop forte, vous pouvez sentir votre corps se détoxifier, nous appelons cela une « crise de désintoxication » ! Il est possible de l’appliquer directement sur la peau pour tenter de faire
disparaître les cicatrices, les taches de vieillesse, les rides, les décolorations de la peau, etc.

Les animaux et les plantes l’adorent. (Vous n’avez pas besoin d’en mettre beaucoup dans les plantes pour avoir un gros rendement. Si vous en mettez trop, le rendement chute. Le rapport idéal, ça vaut ce que ça vaut, est de 11 litres pour 4000 m2 par saison. J’ai aussi entendu dire 10 dl de poudre pour 20 litres d’eau. Les plantes coupées en vase fleurissent comme des folles si vous leur mettez une goutte d’Ormus dans leur eau.

Anne Beversdorf conseillère en développement personnel, astrologue traditionnelle et védique.
+001 760 724-3622
anne@stariel.com

Note du traducteur : j’ai tenté de convertir les mesures anglo-saxonnes en mesures européennes le mieux possible. Si toutefois, après expérience il s’avérait que vous trouviez des mesures plus précises ou différentes donnant de bons résultats, n’hésitez pas à me contacter et je corrigerai ce document.
Julien Frère
julien.frere@postmail.ch
Version française 1.10 / 21.04.2010

Commentaire de Antão de Gaïa le 18 novembre 2012 à 20:39

Oui, un témoin : le fondateur de interobjectif.com et de nouslesdieux.org qui a vécu plusieurs mois en se nourrissant à peine d'aliments solides tout en étant très actif. Et de nombreuse observations médicales au Royaume Uni.

La fabrication de cette eau relève d'un processus alchimique, donc à la fois chimique et intentionnel.

Il existe une recette pour le faire soi-même, que je vais publier en article.

Commentaire de Artemis le 18 novembre 2012 à 19:52

Bonjour Antao,

Merci de présenter ce sujet qui revient de temps en temps.

Des témoins qui auraient essayé ces élixirs?

Ne pouvons nous pas créer aussi l'ormus à partir de notre intention? Dans l'eau que nous buvons par exemple.

Je peux créer de l'eau transmutée je me dis que cela devrait pouvoir se faire.

Commentaire de Antão de Gaïa le 18 novembre 2012 à 12:27

En cette période de transition globale il est judicieux de penser à se rééquilibrer, à se régénérer,

à unifier Inconscient (Corps) et Conscience (Divine Matrice)...

Voici la Pierre Philosophale qui participe de ce processus,

lequel s'inscrit nécessairement dans une démarche d’Être, consciente, holistique !

 

Life Love Light & Unity

Communauté

Rejoignez notre communauté pour partager textes, photos et vidéos sur le thème du développement personnel.

À découvrir

Stages, formations, etc.

Annonces gratuites

© 2024   ↑ Menu | Créé par l'association épanews    

Liens  |  Signaler un problème  |  Conditions d'utilisation