L’eau est porteuse de la vie sur Terre. Elle alimente la vie, elle est source de vie.

La Terre est la seule planète qui recèle de l’eau.

La Terre n’est-elle pas une magnifique bibliothèque de toutes sortes de vies sous les quatre règnes qui la peuplent : minéraux, végétaux, animaux et humains ?

L’eau qui est sur Terre est celle de l’origine de la Terre.

En effet, l’eau ne peut être détruite ou créée.

L’eau est inlassablement recyclée : évaporation, pluie, consommation/ruissellements, mers.

Ces recyclages permettent une régénération de l’eau qui nous revient pure et saine.

L’eau est aussi la seule substance qui existe en trois états : liquide, solide et vapeur.

Toutes les autres substances ne peuvent revêtir que deux états seulement.

Mais l’eau est mal connue et surtout, elle est peu respectée.

La science "moderne" la considère comme un agglomérat de molécules H2O.

Elle sert à nourrir les plantes, les animaux et les hommes mais de plus en plus, elle est utilisée comme support pour véhiculer toutes sortes de substances industrielles mais aussi nos déchets ménagers ou excréments.

L’eau est polluée par tous nos rejets industriels, agricoles et ménagers.

L’eau ne manque pas sur Terre alors que l’eau potable fait de plus en plus défaut dans de nombreuses régions du globe.

En effet, l’eau potable est très mal gérée, dans les régions désertiques mais aussi dans certaines agglomérations.

Les grandes civilisations anciennes ont su ménager l’eau et subvenir aux besoins des populations pour une raison majeure : ils avaient conscience de la valeur de l’eau, ils la respectaient et l’utilisaient avec parcimonie.

Les principales découvertes sur l’eau :

De nombreux savants se sont penchés sur les propriétés exactes de l’eau.

Pour cela, il convient d’aller plus loin que la simple composition moléculaire.

Le biologiste français René QUINTON (1857–1925) a mis en évidence la similitude entre notre milieu organique (les liquides dans lesquels baignent toutes nos cellules) et le milieu marin.

Sur la base de ce constat, il crée l’eau QUINTON qui est une eau de mer purifiée qui peut être bue ou injectée directement dans le sang.

Le japonais Masaru EMOTO a mis en évidence que l’eau retenait les évènements qu’elle côtoie (la mémoire de l’eau) en examinant la cristallisation d’une eau gelée qui a vécu différentes situations.

Le biologiste français Jacques BENVENISTE (1935–2004) a réalisé des travaux très approfondis dans un laboratoire de l’INSERM sur la mémoire de l’eau et sur les influences des ondes électromagnétiques sur l’eau.

Le français Louis-Claude VINCENT (1906-1988) a mis au point les principes de la bioélectronique reconnue aujourd’hui comme particulièrement efficace :
•Pour déterminer l’état de santé (ou de maladie) des êtres vivants (humains ou animaux),
•Pour apprécier la nature des produits utilisables en vue d’assurer la restauration de la santé ;
•Pour connaître la qualité biologique des aliments, des boissons, des produits d’hygiène, des techniques agricoles.

Le français Jacques COLLIN a réalisé de nombreux travaux sur l’eau et ses vertus cachées.

Il a écrit trois magnifiques ouvrages qui sont des références :

•« L’eau, le miracle oublié » : l’auteur y aborde tous les aspects de l’eau qui pourrait bien être, au XXI° siècle, un des éléments les plus fantastiques de la régénérescence physique, mentale et spirituelle de l’homme.

L’eau attend pour se donner au Nouvel Homme, que celui-ci prenne conscience du formidable potentiel qu’elle présente.

•« L’insoutenable vérité de l’eau » : pour l’auteur, la mémoire de l’eau n’est que le reflet de qualités plus prodigieuses qui expliquent comment l’eau « capte » la vie et ses formes et rejoint le monde de la Conscience et de la Pensée.

•« L’eau-delà de l’eau » : en passant de l’autre coté du « miroir de l’eau », l’homme va découvrir de nouveaux univers avec lesquels il va retrouver l’essence et le sens de sa vie.

La « reconquête » de ces nouvelles dimensions est, pour chacun, un chemin personnel et intime vers la totalité de son être.

Hubert Maillard