J'ai eu un rêve !
J'ai eu le rêve que tous les citoyens du Monde, dans tous les pays de la Terre, se lèvent le même jour à la même heure pour bâtir un autre avenir.
Ce ne sont pas des foules sombres et révoltées qui criaient leurs revendications dans de grandes manifestations que j'ai vu en rêve.
Ce sont des gens de toutes les couleurs et dans tous les pays, des gens heureux d'être là, fiers et respectueux, réunis sous une bannière blanche qui symbolise l'Unité, qui riaient, qui dansaient, qui chantaient. C'était une immense marée, un Tsunami de tous les amis qui se levaient, qui marchaient venant de toutes les régions à pied ou par tous les moyens, pour se réunir un même jour à la même heure aux mêmes endroits.
Ce n'était pas contre les gouvernements ou contre le pouvoir qu'ils se levaient. Mais pour soutenir leur élus, pour que leurs élus puissent prendre les décisions nécessaires. Pour que leurs élus puissent se libérer et libérer leurs pays des contraintes injustes auxquels ils sont soumis.
C'étaient des êtres humains qui réunissaient toutes leurs revendications en une seule. Des hommes, des femmes et des enfants qui portaient une couronne de galette des Rois pour dire : « Nous, Peuples de la Terre, Nations et citoyens, nous sommes chacun(e)s Souverain(e)s ! Il y a pour chacun une fève et une part de la galette ! »
Le 14 avril à 14 heures, une immense Marée Blanche se soulèvera partout autour de la Terre et pendant 24 heures, tout le monde ne pourra plus faire autrement que de La voir ! Ce sera la plus belle chose que je n'aurais jamais vu.
Après seulement, quand nous aurons montrés notre Souveraineté, il nous sera possible de construire, de présenter un programme : abrogation de l'article 123 de Lisbonne, mise en place d'un revenu d'existence, de la Loi de taxation sur le travail de l'argent, la mise en place d'une autre agriculture, d'une autre recherche, d'autres énergies...
Aujourd'hui, je suis émerveillé parce que je sais que ce rêve est possible !
Vous êtes Magnifiques !
Pour la Paix et l'Unité entre les Peuples
Commentaires bienvenus
Merci pour ce partage.
A Auroville dans le sud de l'Inde un texte allant dans ce sens:
« Il devrait y avoir quelque part sur la terre un lieu dont aucune nation n'aurait le droit de dire : "il est à moi" ; où tout homme de bonne volonté ayant une aspiration sincère pourrait vivre librement comme un citoyen du monde et n'obéir qu'à une seule autorité, celle de la suprême vérité ; un lieu de paix, de concorde, d'harmonie, où tous les instincts guerriers de l'homme seraient utilisés exclusivement pour vaincre les causes de ses souffrances et de ses misères, pour surmonter ses faiblesses et ses ignorances, pour triompher de ses limitations et de ses incapacités ; un lieu où les besoins de l'esprit et le souci du progrès primeraient la satisfaction des désirs et des passions, la recherche des plaisirs et de la jouissance matérielle.
Dans cet endroit, les enfants pourraient croître et se développer intégralement sans perdre le contact avec leur âme ; l'instruction serait donnée, non en vue de passer des examens ou d'obtenir des certificats et des postes, mais pour enrichir les facultés existantes et en faire naître de nouvelles. Les titres et les situations seraient remplacés par des occasions de servir et d'organiser; il y serait pourvu aux besoins du corps également pour tous, et la supériorité intellectuelle, morale et spirituelle se traduirait dans l'organisation générale, non par une augmentation des plaisirs et des pouvoirs de la vie, mais par un accroissement des devoirs et des responsabilités.
La beauté sous toutes ses formes artistiques, peinture, sculpture, musique, littérature, serait accessible à tous également - la faculté de participer aux joies qu'elle donne étant limitée uniquement par la capacité de chacun et non par la position sociale ou financière.
Car dans ce lieu idéal, l'argent ne serait plus le souverain seigneur ; la valeur individuelle aurait une importance très supérieure à celle des richesses matérielles et de la position sociale. Le travail n'y serait pas le moyen de gagner sa vie, mais le moyen de s'exprimer et de développer ses capacités et ses possibilités, tout en rendant service à l'ensemble du groupe qui, de son côté, pourvoirait aux besoins de l'existence et au cadre d'action de chacun.
En résumé, ce serait un endroit où les relations entre êtres humains, qui sont d'ordinaire presque exclusivement basées sur la concurrence et la lutte, seraient remplacées par des relations d'émulation pour bien faire, de collaboration et de réelle fraternité. »
La Mère.
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