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Guerrier de Lumière de P Coelho

«Le guerrier se concentre sur les petits miracles de la vie quotidienne.

 S'il est capable de voir ce qui est beau, c'est qu'il porte en lui la  beauté - puisque le monde est un miroir qui renvoie à chacun l'image  de son propre visage. 

Bien qu'il connaisse ses défauts et ses limites, le guerrier fait son  possible pour conserver sa bonne humeur dans les moments de crise.

 En fin de compte, le monde s'efforce de l'aider, même si tout, alentour,  semble dire le contraire. »

  "Un guerrier de la lumière bénéficie toujours d'une seconde chance dans la vie.  

Comme tous les autres hommes ou femmes, il n'est pas né en sachant manœuvrer son épée.

 Il s'est souvent trompé avant de découvrir sa Légende Personnelle.

Aucun guerrier ne peut s'asseoir autour du feu près des autres et prétendre : « j'ai toujours agi correctement. »  

Celui qui affirme cela ment et n'a pas encore appris à se connaître lui-même.  

Le véritable guerrier de la lumière a commis des injustices par le passé. Mais, au cours de son voyage,   il comprend qu'un jour ou l'autre il rencontrera de nouveau les gens envers lesquels il s'est mal comporté.

 La chance lui est offerte de réparer le mal qu'il a causé. Il l'a saisit toujours, sans hésiter."

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Commentaire de Chamine le 16 décembre 2012 à 11:06: Je suis d'accord avec vous sur le mot "guerrier" qui sous-entend une lutte, un combat. P. Coelho aurait pu utiliser d'autres termes en effet, mais cela ne collerait surement pas avec son roman. "L'Homme en quête" est la manière dont je le remplacerais. Chacun l'adapte à son ressenti. Belle journée

Commentaire de Lovyves le 16 décembre 2012 à 10:39: Bonjour à Tou(te)s
Il n'y aura plus de guerre, lorsque nous ne ferons plus l'apologie des guerriers.
Que ce soit de l'ombre ou de la lumière.
Je préfère le mot "les agents", car, ceux-ci ont la peau lisse... de tous soupçons de rugosité ancestrale !

Commentaire de Spirit le 15 décembre 2012 à 15:53: J'aime bien ce texte (et Paulo). Merci Chamine.

En fait, c'est ce que je constate dans ma vie. On ne peut zapper nos problèmes. La nature attend de nous que nous évoluions (exprimions nos potentiels) mais aussi que nous prenions soin et guérissions nos blessures ainsi que les erreurs que nous avons commises. Et nous pousse à le faire en nous présentant sans cesse l'"exercice", jusqu'à ce que nous le réussissions. C'est ce que je crois aujourd'hui.