Guérir du cancer…Parce que je le veux bien ! (2/2)

Dans le premier volet de  Guérir du cancer, parce que  je le veux bien!, je vous faisais découvrir « the work » de Byron Katie.

Dans ce second volet, je vais tenter de proposer un « après the work » dans le cadre de la guérison du cancer de cet homme, qui a bien une tête à s'appeler Joe!

 

 

 

Je vous propose un protocole en 4 étapes: 

1ère étape : le questionnement

Nous avons vu the work à l’œuvre pour la phrase de départ : « Je veux que mon cancer cesse de se développer ». C’est super, mais il manque à mon sens une étape avant cela tout aussi primordiale :

Se poser les questions par rapport à l'apparition de son cancer.

Si on reprend le travail de Byron Katie, l'affirmation de départ pour Joe devrait être « je ne veux pas avoir le cancer ». Et le retournement serait son opposé : « je veux avoir le cancer ». Ok, peux-tu trouver trois (ou sept !) raisons pour lesquelles cela pourrait être vrai ?...

Joe va vite comprendre qu'avoir le cancer représentait quelques avantages pour lui. Mais est-ce que cette prise de conscience est suffisante pour guérir du cancer ?
Pour moi, c'est un grand pas vers la guérison du cancer. Mais ce n'est pas la guérison du cancer assurée.


2ème étape: la prise de conscience


J'ai pu constater que comprendre quelque chose était souvent insuffisant. Il faut distinguer 2 concepts: la prise de connaissance et la prise de conscience. Quelle est la différence ? Elle est énorme !  
La prise de connaissance s’arrête au stade de la compréhension. Mais c’est insuffisant pour guérir. Non, il faut autre chose.  
La prise de conscience possède cet autre chose qui est "exprimer ses émotions".

En effet, il faut que cette compréhension soit accompagnée d'un lâcher émotionnel intense. C'est seulement de cette manière que l'inconscient se libérera. On assiste alors à un passage de l'inconscient vers le conscient.

Certes Joe a avoué quelques-unes de ces raisons les larmes aux yeux, notamment lorsqu’il avoue se sentir tellement plus vivant maintenant qu’il ne l’était il y a un an. Mais il est devant un public, et ne peut pas se lâcher complètement bien entendu.
Il se lâche un peu, mais moi je ne parle pas de petites larmes au coin des yeux, là, je parle de pleurer toutes les larmes de son corps ! Vous vous rendez compte ? Dieu sait quel traitement, quelles opérations il a dû endurer, par quelles souffrances il a dû passer avec son cancer, peut-être lui a-t’il coûté un œil, l’histoire ne le dit pas. 
Joe réalise que s’il reste malade, c’est parce qu’il le veut bien...Si ça c’est pas un choc émotionnel ! Rien que pour ça, c’est à pleurer de rage, à se taper la tête contre les murs, non ?   
   

3ème étape: la thérapie


Je pense qu'un travail complémentaire pour accéder au stress originel inscrit dans le corps du patient devrait pouvoir  combler ce manque.
Il y a pas mal de thérapies nouvelles pour cela : hypnose Ericksonienne, PNL, EFT, EMDR, analyse transactionnelle,  méthode Tipi...

Je ne peux pas parler de ce que je ne connais pas, mais je vais vous parler d’une technique dont je sais l’efficacité, et qui fait gagner des années de psychanalyse :

La kinésiologie

La kinésiologie inclut pas mal de techniques rencontrées dans l’EMDR (Eye Movement Desensitization and Reprocessing) , et l’EFT (Emotional Freedom Technique soit technique de libération émotionnelle).

Avec le kinésiologue, on peut faire le travail sur l’affirmation, exemple :

« Je ne veux pas que mon cancer cesse de se développer parce que cela me permet d'ouvrir des portes. »

En kinésiologie, on travaille toujours sur des phrases par l’affirmative. Sinon le cerveau retient la négation. L’objectif de départ est de trouver la phrase qui génère le plus de stress (évaluable par la réponse au test musculaire).

Après avoir testé plusieurs phrases, on peut retenir une phrase comme :« Je peux m'ouvrir des portes tout en restant en bonne santé. » Le but du travail est d’arriver à prononcer cette phrase sans stress. C’est là qu’intervient le rôle de la kinésiologue qui utile tout l’arsenal à sa disposition pour contrer le stress :

- tapotements de points d’acupuncture précis.
- rotations oculaires pour éliminer le traumatisme, le choc émotionnel subi dans une situation...         

Mais il reste une étape encore :

4ème étape : changer ses croyances

Joe devra certainement travailler sur ses croyances qui sont fausses pour guérir du cancer.
Exemple: « Ça m’ouvre des portes que je n’aurais pas pu ouvrir tout seul. »

Je suggère là de reprendre les 4 questions de Katie Byron : Est-ce que c’est vrai ? Comment réagis-tu quand tu crois cette pensée ? Etc.

Il s’agira d’éliminer une à une ses croyances fausses : on peut très bien s’ouvrir des portes sans avoir le cancer. On peut être encore plus vivant sans le cancer (surtout si on en meure !). Ou, on peut très bien faire l’amour à sa femme sans avoir le cancer.

Il faut impérativement remplacer une croyance qui rend malade par une croyance qui guérit. Je suggère de faire ce travail dans un état d’auto-hypnose pour s’adresser directement à l’inconscient. Par exemple, visualiser la phrase :

« j’ouvre mon cœur sans mettre ma santé en danger » 

Que pensez-vous de mes solutions ? Vous voulez nous parler d’une autre technique possible ? 

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Commentaire de stéphane le 7 Mars 2013 à 16:56

Oh la la ! :(

Je préfère ne pas dire ce que je pense ...

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