Il n’est d’écrire que pour convier l’homme a plus grand que lui-même. Il n’est de regarder que pour s’ouvrir à plus grand que soi-même. Il n’est de communiquer que pour asseoir les fondations de la fraternité.
Coucher des mots sur le papier dans le monde visible, c’est construire des ponts sur les plans de l’invisible…
C’est parce qu’il y a des rires que le monde s’enfante de promesses. C’est parce qu’il y a des sourires que le monde se construit d’offrandes. Et c’est ainsi que va le monde : de rires en partages, de regards en sourires, il se construit de grâce et nous hisse au-delà des apparentes séparations auxquelles nous nous heurtons quotidiennement.
Parfois s’ouvre en plein ciel des fenêtres ou la lumière s’engouffre…
Fraternellement,
Alain
Commentaires bienvenus
Merci Alain pour ce remarquable texte.
c'est magnifiquement dit et écrit...merci
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