DIEU L’hypothèse des "dieux" vivants allègue qu’ils sont en majorité ceux des polythéismes, et que le "Dieu" (propre aux monothéismes occidentaux) est le procréateur originel (assisté par d’autres "dieux et déesses" spécialisés en fécondation et obstétrique) et le monarque des "dieux" de l’Humanité spécifiques à chaque monothéisme, plus exactement mono idolâtrisme dans le sens où chaque culte a son "dieu" ou idole particulière comme chaque peuple a son roi. Ces "dieux" de l’Humanité auraient été d’apparence humanoïde et seraient arrivés sur La Terre il y a ± 400 000 ans (?). Ils seraient apparentés ou en relations avec des races "divines" déjà présentes depuis des millions d’années (!), et avec d’autres venues ultérieurement. Ils seraient les ancêtres des proto-sumériens et leurs instructeurs en sciences et savoirs. Depuis les temps antédiluviens de leur arrivée ils initièrent des cultes d’idoles à leur gloire pour soumettre les humains indociles sous les férules simultanées de systèmes religieux et politiques. Ces suprématistes "divins" fondèrent des écoles et confréries pour enseigner leurs sciences aux élites dirigeantes qu’ils formèrent et installèrent comme leurs successeurs… ceux-ci étaient des humains et hybrides humains-dieux choisis pour être leurs mandataires auprès de l’Humanité. Certains de ces "dieux " disparurent entre ± -6000 (?) et ± -3500 (?) avant le présent [hypothèses issues de mythes et traditions mémorielles planétaires] ; c’est durant cette période que se généralisent les guerres en Eurasie. Ces élites devinrent au cours des millénaires les aristocraties des civilisations, entretenant les cultes aux "dieux" vivants "disparus", bâtissant des systèmes politiques, religieux, éducatifs affiliés à des ordres initiatiques d’influenceurs/manipulateurs missionnés pour semer la confusion intellectuelle chez les humains via des narrations formées d’amalgames fictionnels, mythiques, légendaires, historiques, prophétiques, doctrinaux, législatifs, etc. Des peuples indépendants, comme les aborigènes d’Australie, vécurent loin des "dieux" vivants en marge de leur civilisation planétaire. Partout dans Le Monde des peuples accédèrent à des savoirs utiles à leur survie grâce à des "déesses et dieux" bienveillants cherchant à soustraire les humains de la démence et du despotisme de leurs congénères "divins", par exemple : Apkallus et Oannes (Sumer/Akkad), Abgals (Égypte), Fu-Xi et Un-Wa (Chine), Nommos (Dogons), Quetzacoalt (Amérique), Muldjewank - Antokarinja - Bagadjimbiri (Australie), Rishis (Védas), Varuna et les Àditya, Šiva et Vișṇu, Avalokiteśvara, les multitudes innombrables de Dévas, etc. ; sans oublier Çakyamuni qui évoque une "divinité" aux connaissances et pouvoirs mystérieux malgré son humanité ! Ainsi certains d’entre ces "dieux" diffusèrent parmi tous les continents des techniques et connaissances en agriculture, métallurgie, astronomie, géométrie, mathématique, construction, arts, artisanats, céramique, élevage, procréation, médecine, navigation, écriture, magie, etc. Certaines des peuplades instruites par les "dieux" devinrent des civilisations, d’autres restèrent des tribus encloses à leur biotope. Des systèmes sociopolitiques émergèrent, sans sagesse, ni bienveillance générant conflits, ostracisations, colonisations. Tous les mythes planétaires relatent l’existence de ces "dieux" vivants. Des sages africains, amérindiens, australiens, etc., déclarent qu’ils existent toujours en des plans invisibles (?) et dans les profondeurs terrestres (?) perpétuant leurs relations particulières avec l’Humanité, voire même qu’ils l’administrent ou l’influencent (?). Dans des textes d’Inde et de Chine peuvent se décrypter des informations concernant les pouvoirs des "dieux et divinités", leurs processus ésotériques/métapsychiques associés à leurs technologies inconnues, leurs inventions et exploits scientifiques et culturels, et leurs conséquences sur l’évolution des civilisations d’orient. Même s’il existe de rares réminiscences dans les traditions mémorielles et peu d’artefacts dans le sol, cette hypothèse est considérée plausible par l’étude de ces écrits anciens. L’histoire humaine est énigmatique depuis le XIXème siècle moultes allégations démontrent nos lacunes. Des traces archéologiques attestées d’humains signalent leur présence sur Terre il y a 200 millions d’années ! Si certaines assertions sont confuses, d’autres sont mieux documentées et analysées plus rationnellement, entre autres chez Anton Parks, Graham Hancock, Mauro Biglino, etc. Universitaires, religieux, archéologues, historiens officiels censurent et méprisent les chroniques sumériennes, égyptiennes, africaines, américaines, orientales, australiennes, évoquant cette question des origines et "dieux" vivants qui interrogent leurs certitudes, lesquelles subsistent comme des hypothèses partielles et temporaires. S’y ajoute la confusion des syncrétismes où des "dieux" changent de nom, sont un mélange de plusieurs "dieux", et en plus, leurs histoires se retrouvent dans diverses civilisations ! Par exemple : Nammu la Déesse Originelle des "dieux" proto-sumériens Anunas est nommée, plus tard, chez les gnostiques : Sophia Déesse Créatrice de l’univers. Dans la société antédiluvienne de ces "dieux" certaines femmes assimilées par les humains aux "Déesses Mères" sont les héritières de Nammu et détentrices de savoirs quasi initiatiques : agraires, élevage du bétail, mystiques, magiques, thérapeutiques, obstétriques et générateurs d’Êtres vivants, scientifiques, etc.

Les croyances en "dieu" se sont élargies à des concepts plus ou moins indéfinis : d’énergie, d’omnipotence, d’Amour universel, etc., ce qui laisse au mental la possibilité d’imaginer ce qui lui convient de définir pour adhérer à cette "déité" impersonnelle immanente… en provocant une bipartition non-consciente entre La Conscience Individuelle et LA CONSCIENCE KOSMIQUE à l’origine de la dualité.

Le mot "dieu" est porteur de significations divergentes dans l’inconscient collectif humain, il se réfère à toutes sortes de tyrannies, d’aliénations, de conflits, d’exterminations, de sacrifices, etc. Ces connotations génèrent des dissociations entre L’Âme, La Conscience, le conscient, le corps, et des conflits entre humains et avec La Nature. Le croyant en "dieu" s’anesthésie par un rêve d’espérance où son salut repose dans l’intercession hypothétique de ce concept indéfini, plutôt que par les Vertus (Tö) de Sa Conscience.

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