Il y a beaucoup à faire, beaucoup. Mais ça peut aller relativement vite. Quand on observe, on s’aperçoit que ce qui prend le plus de temps, c’est de devenir conscient de ce qu’il faut changer, d’avoir un contact conscient qui permet que ça change. C’est cela qui prend le plus de temps. Le changement… Il y a des récurrences, mais ça diminue beaucoup d’intensité. Tout dépend de la somme d’inconscience et de tamas qu’il y a dans l’être ; à mesure que ça diminue, c’est plus fort.
La Mère - agenda – 24 juillet 1965
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