“Je souhaites être un grand enseignant et guérisseur, rien ne me plairait plus. J'aimerais pouvoir contempler toute la création, la beauté de l'univers, me consacrer à l'amour de la terre et de toute vie.”

Prends le temps de poser ta question, car dans un état de liberté d'esprit psychologique où tu as la maîtrise de la pensée, est un état créatif sans limite, cela nécessite du repos pour ta recherche.

“Le problème c’est que je crois comprendre et me voilà à pleurer, à douter, à souffrir. Je penses à un être que j'aime qui ma trompé et quitté, je souhaites être en colère ou jaloux et je n'y arrives pas, je veux me taper la tête pour me ressaisir mais je trouve cela absurde. Je reste enfermé dans une mélancolie silencieuse, une tristesse camouflé et épuisante. Qu'elle est la finalité, quel est le sens de tout cela, je vois des êtres heureux et qui semblent satisfait, ou de grands maîtres philosophique et spirituel en paix avec leurs réponses et leurs états d'êtres, leurs études. Ils sont beaux et en paix , mince, cela me renvois à moi qui souffre, qui ai besoin d'aide. Suis je nécessaire pour que tout ces êtres puissent s'expérimenter eux-même dans leurs rôles de guérisseurs et d'enseignants ? Je suis confus, la recherche de vérité me mène en bateau.”

Qu'elle est vraiment la question ? Pour chercher la réponse à une question, je dois faire mienne la question, je dois me poser la question comme si je cherchais avec sincérité une réponse pour moi. Mon message serait différent si je ne sentais pas la question comme mienne, si je me considérais comme extérieure à la question et pas concerné par tes difficultés.

Si je comprends la question, non pas intellectuellement, mais comme venant de moi-même, de mes propres difficultés et souffrances humaine, je serais capable de chercher. Sinon, le message serait seulement le récit de connaissances sur un sujet, une imitation et une répétition de ce que je crois savoir.

La question et la réponse ne sont pas séparé, elles sont construite ensemble, se trompent ensemble et évoluent ensemble.

“Je cherche la vérité depuis longtemps, et les découvertes que je fais me bouleversent, je suis désemparé de découvrir qu'il y a un escroc en moi, grâce à lui, j'ai réussi à obtenir tout ce que j'ai aujourd'hui, j'ai pu faire tout ce que je voulais quand je le voulais et cela en étant gentil, aimable, embrassant, parlant d'ouverture et de tolérance, usant souvent de philosophies sur la beauté, la vérité et l'amour. J'ai un véritable pouvoir magique sur les autres que j’attire assez facilement. J'aime contrôler et gérer ma vie et pourtant malgré toutes les étoiles et la musique, je me sent manipulateur et escroc à l'égard des autres et de moi-même. Un mensonge qui grossit que je n'arrive plus à cacher sans souffrances ou une grande dépense d'énergie. Je crois que j'ai peur de tout perdre ce que j'aimais dans la vie, alors j'ai l'impression de protéger cet escroc pour ne pas devenir cynique, mélancolique, agressif et ensuite voir mes talents s'effondrer, d'être rejeté si je renonces à tout ce que j'ai été ? Comment faire le choix de vraiment vivre spontanément et avec sincérité, et non participer à un processus destructeur ? Comment créer et ne pas détruire ?”

Dans ton état de liberté complet et inconditionnel, tu as un pouvoir illimité de création, mais de la même façon que ta liberté t'es caché, tes croyances et ton inconscience limite tes créations qui te restent incomprises et confuses.

Ce n'es pas un jugement mais une observation, car malgré certaines inspirations et créations pleines de joie, la plupart de ton œuvre est simple répétition de tes peurs, de comportements dysfonctionnels et creusant un fossé entre ce que tu souhaites atteindre et ce que tu crées vraiment pour ta réalité, division, conflits et illusions.

Là où tu pourrais exprimer ton entièreté sans conditions, user de couleurs et de mélodies pour chanter la gloire de la vie et de l'univers, tu te limite et souffres de ces limites.

Tu as créé de nombreux besoins illusoire alimentant plus souvent tes peurs, dont cette principale et incessante recherche de sécurité qui ne pourra être comblé que lorsque tu auras trouvé ce qu'il te manques. Sauf qu'en vérité rien ne te manque pour être toi.

De l'idée de ton incomplétude tu crée un monde de besoins inapaisable, et ton art de vivre n'est que l'ombre de l'idée que tu cherches à atteindre, la paix, le calme et le respect entre tout les êtres.

Tu n'arrêtes jamais de créer, tu oscilles simplement entre quelque rares créations consciente et nombreuses créations inconsciente, créant ta réalité avec joie ou avec nombreuses craintes et plaisirs.

Les barrières que tu dresse sur ton passage se nomme : mesure et comparaison alors que tu es immensurable et incomparable. Le mur que tu battit devant tes yeux s'appelle jugement et opinion, t’empêchant de voir l'innocence de ton cœur et celui de ton frère. La fumée que tu propages dans ta vie se déclare certitudes alors qu'il ne s'agit que de croyances fermant pour toi une vision saine de la vérité indescriptible.

La spontanéité, l'humilité et la sincérité ne se cultive ni ne se contrôle. Quand tu ne penseras ni à l'un ni à l'autre. Quand tu ne te soucieras pas de les définir ou de les expliquer à quelqu'un d'autre. Quand tu n'entreprendras plus de plans pour enseigner ou guérir quelqu'un, tu seras cet enseignant guérisseur que tu es déjà.

Encore une fois, je ne te juges pas et à mes yeux, quelque soit les choix que tu fasses, cela ne change rien sur ce que tu es en vérité. Tu te débat peut être entre deux directions, sache juste que les deux directions sont fausses, et que la direction que tu ne pendra pas, celle que tu acceptera et laissera être telle qu'elle est, ce sera la bonne, tu y es déjà.

Si tu prends ma main, ne la garde pas, car le sentier est magnifique quand on le prend par soi même, quand on est seul à monter la montagne sans être dirigé, une fois là haut, tu découvres l'indescriptible vérité, qu'en fait, tu n’étais pas seule, que tu ne l'as jamais été.

Créer qui tu es ne demande aucun effort. Tu te diriges calmement vers ce que tu es déjà, tu tourne autour d'un point de sécurité, comme l'enfant qui s'écarte des bras de ses parents pour explorer le monde, se dispute et se sépare un peu d'eux et une fois qu'il commence à être sûr qu'il peut être ce qu'il est par lui même, il revient vers eux avec joie.

Selon ton point de vue, le courage est d'essayer d'aller plus loin, plus haut pour trouver ce que tu es vraiment. Mais te souvenir, te montrera que tu n'as à aller nulle part. En sachant qui tu es vraiment, chaque situation et expérience est une surprise de joie et l'action résultant de ta compréhension directe est la meilleure réponse.

Le désir de contrôle, de manipulation, de charme et de politesse est une réaction de peur, peur que la situation ou la relation telle qu'elle est, t'empêche d'être qui tu es. Cette peur t'amène à détruire et à essayer de changer la couleur des murs de ta propre prison.

Mais cette peur n'existe pas ailleurs que dans le conditionnement de tes croyances, tu ne peux pas être qui tu n'es pas, tu peux seulement croire que tu dépend de circonstances extérieure et du temps pour être. Tes créations deviennent alors dysfonctionnelles, limitées et conditionnées.

Vivre sans limites, sans conditions, sans croyances exige avant tout une liberté intégrale de tout ton être et non un changement et une réforme extérieure, les formes, les réactions, les révoltes, l'attachement aux objets sont sans importance pour ta joie créatrice intérieure.

Les créations extérieures sont neutres à l'égard de qui tu es vraiment, tu peux les utiliser pour t'identifier et oublier qui tu es vraiment, soit tu peux voir que tout est miroir de qui tu crois être pour te permettre de t'observer et te redécouvrir.

La simple découverte est suffisante, le changement à lieu et les formes changent. Tout change à chaque fois que tu fais une découverte et que tu crées un autre toi, tes états d'être sont répétitif, bloqué et dysfonctionnel à chaque fois que tu t'identifie à tes créations extérieures et que tu ne vois pas qu'il s'agit d'un simple miroir qui demande guérison et amour.

Chercher à être vulnérable ou ne pas l'être est une illusion qui n'a pas de sens, il n'y a que l'escroc pour faire croire que l'attaque ou la défense crée de la sécurité, chaque attaque produit de l'attaque, chaque défense produit de la défense. La vérité c'est qu'il n'y a rien à attaquer et rien contre quoi se défendre, il n'y a rien contre quoi se rendre invulnérable ou aucune raison d'avoir à se mettre ou pas en sécurité. Tu es protégé de tout en acceptant et laissant sans contrôle arriver ce qui doit arriver.

Tes peurs par contre crée des idées, des interprétations, des philosophies, des illusions sur toi même et ta relation aux autres, tu crois en une bataille d'images, aux conflits à l'intérieure de ce jeu de masques malsain, d'image de toi que tu souhaites protéger et projeter sur les autres, et tu joue à ce jeu avec d'autres qui font la même chose en réaction à ce que tu donnes. La vérité c'est que dans ce jeu ou tu attaques et te défends, c'est toujours toi qui reçoit les attaques et les défenses. Tu ne contrôle rien, tu fais semblant de croire que tu contrôle pour te donner une sécurité psychologique, une illusion rassurante qui cache la vérité sur toi et tes relations dysfonctionnelles.

Tu n'as rien d'autre à faire, quand tu le souhaiteras, que guérir de tes croyances et pensées dysfonctionnelles en les laissant tomber ici et maintenant. Ce qui est dysfonctionnelle c'est l'écart qu'il existe entre ce que tu dis et fais vraiment et ce que tu déclare souhaiter atteindre. Faire la guerre pour être en paix est dysfonctionnel.

Je pourrais simplement te dire que tout est unité, que tu es à la fois ce simple et beau grain de sable que l'on déclare immobile et mort ou cette fourmi extraordinaire que l'on juge inutile. Mais ta vision du monde est conditionné à rejeter cette information, même si tu acceptes et comprends intellectuellement en célébrant l'unité dans quelque jeu théâtral, le dysfonctionnement du conditionnement humain est tel que l'on retourneras jouer au jeu de la dualité et de la division.

Ce n'est pas un jugement ou une déclaration de ce que tu devrais penser ou faire, c'est ainsi que ce monde à été créé et ses lois d'attraction et de réjection, tu sélectionnes sans conscience ce que tu souhaites expérimenter, voir, sentir, toucher et penser.

Tu es le créateur de toute la réalité qui t'entoure, il n'y a pas un moment ou tu ne crées pas. Il y a seulement des moments ou ta croyance te fais voir un manque, de liberté et d'amour. La mesure de ta liberté et de ton amour est à la mesure de ta compréhension de ta propre création.

Créer selon ta vision limité est lié à tes croyances d'être limité. Pourtant je te le dis, tu es ton propre créateur, tu as tout les outils te permettant de choisir qui tu souhaites être en relation à qui tu penses être.

Si tu as oublié qui tu es vraiment dans la croyance de ne pas pouvoir être qui tu es vraiment, il te semblera difficile de créer en relation à ta véritable nature. Tu créeras donc en relation à ce que tu n'es pas, ce qui limitera ta liberté, tes outils et toutes tes créations.

Maintenant quelqu'un te dit, tu n'as pas de limite dans la création quand tu comprends qu'en réalité ce n'est pas de l'extérieure que tu crée mais de l'intérieure.

Quand en fait, tu comprends que c'est toi que tu crée, dans une relation à toi même, dans un espace de liberté illimité, tu retrouvera les possibilités infinies de création.

Tout ce que tu crois impossible ou obligatoire n'aura plus grande importance, car peu importe de là ou tu démarres, quels sont tes conditions de vies actuelles, quels sont tes handicaps ou souffrances que tu as l'impression d'avoir hérité de l'extérieure ou d'une injustice de la loi d'évolution de survie du plus fort. Plus aucune barrière ne te sembleras infranchissable puisque tu es là maintenant libre de te recréer toi-même.

En le faisant tu change ton expérience intérieure, qui sera suivis de l'extérieure et de la totalité de l'univers.

Une porte s'ouvre, et tu peux regarder ce que je te montre, tu verras si ça t'es utile pour trouver ta propre porte et la franchir.

Il nous est difficile de se comprendre sur une définition de qui tu es vraiment, tes outils et ton incroyable beauté, car une relation ou il s'agirait juste de croire ou ne pas croire, d'être d'accord ou de ne pas l'être, de chercher par comparaisons ou par des jugements bloquerait la communication et la perception.

Je peux te parler de la finalité et du rôle des souffrances dans celle ci.

Les souffrances de ce monde ne sont pas nécessaire ni souhaitable pour tout les êtres conscient qui se souviennent d'eux-même et qui vivent aujourd'hui parmi les hommes. Ils n'ont pas besoins d'être entouré d'illusions et d'être perdu pour se sentir et s'expérimenter eux-même comme messie ou prophètes. Ils voient les illusions et la souffrance, et simplement ne la reconnaît pas comme vrai, mais l'accepte avec sincérité comme étant réel pour certain.

La souffrance est le résultat de tes créations erronés, celles qui sont créé à partir d'une interprétation et d'une vision fausse de la vérité.

La souffrance est l'outil non souhaité mais utile qui donne à l'être une opportunité pour se retrouver et guérir, il s'agit d'un panneau indicateur signalant qu'une cause à besoin d'être comprise et guérie. Comprendre ce n'est pas analyser, c'est simplement voir une illusion et la laisser s'effacer d'elle-même.

Il ne t'es pas possible de ne pas avoir d'opportunités de changer, de te créer de nouveau pour t'aligner à qui tu es vraiment. Car plus tu crois oublier et t'éloigner de qui tu es, plus ce que tu n'es pas crée des souffrances, que tu peux refouler, accumuler et cacher de bien des façons, mais qui ne disparaissent jamais et ne cesses de créer d'autres souffrances, tant que non comprises.

Les souffrances sont des messages pour te signaler un conflit intérieure entre ce que tu penses vouloir et être, et, ce que tu es et veux vraiment.

Tu crées, que ce soit de façon consciente ou inconsciente, tu ne peux te débarrasser de la création, seulement croire que tu la subit de l'extérieure et d'être la victime de hasards et d'agressivités. Soit comprendre que toutes les relations, conflits et souffrances te sont des opportunités incroyable pour rester sur la piste de ce que tu souhaites vraiment être.

Tu ne souhaites pas souffrir, ni voir souffrir, c’est que c’est encore toi qui souffre en partageant avec l'autre une vision de peur sur ce qu'il est. La souffrance engendré par ton regard crée de nouvelles souffrances, te bloquant dans un cycle qui se nourrit lui-même.

Une révolution radicale peut intervenir à partir du moment ou tu n'utilisera plus l'extérieure pour justifier ta vision erroné et tes souffrances mais lorsque tu comprendras que tout ce qui t'es extérieure est le miroir en relation de ce que tu es avec ce que tu crées.

Le monde te semble violent, agressif et injuste, c'est que tu es le créateur de violence, d'agressivité et d'injustice par ton regard, tu expérimentes ta vision, tu crées ta réalité.

Libéré de ta vision, un fois que tes outils dont le mental et même ce que l'on appel l'ego seront inversé, qu'ils reprendront leur fonction véritable, il est alors possible que tu ne voies que joie et ordre en toute chose.

Les plaisirs crée d'autres expériences, qui lié à la peur, peuvent te sembler réjouissante ou satisfaisante et sont parfois même appelé amour, mais sont aveuglante et ne peuvent avoir de rôle guérisseur aussi longtemps qu'elles seront utilisé par la peur et le jugement pour justifier des comportements et des créations dysfonctionelles.

Toutes tes créations changeront radicalement ton monde quand elles seront alignées à ce que tu es vraiment. Ainsi il te semblera naturel de créer et de recréer ce que tu es vraiment. Toutes les réponses et actions te viendront spontanément, car te créer toi même, c'est te redécouvrir par la perception de la vérité. Aucun effort ou intervention de ta part n'est nécessaire pour créer la vérité, elle est ce qu'elle est. Elle ne juge pas tes illusions, car elle ne les voit pas comme vrai, elle attend patiemment, éternellement, d'être découverte, oublié de nouveau, elle, ne t’oublie pas et reste imperturbable à tes désirs de la fixer ou de l'attraper.

Si tu te poses la question de la finalité de la vérité, sache qu'il n'y a pas de fin à tes créations, la vérité est la source, le cadre de référence illimité dans lequel tu crées sans limites. Et bien sûr dans ta liberté, tu as la possibilité de créé ce qui n'est pas la vérité, de créer toute les formes, les illusions et d'y être attaché au point de croire en leur réalité.

Le mouvement vers la fin n'est pas possible, il n'y a pas de fin, tout est danse éternelle, un jeu de lumière infini, tout est création perpétuelle recréé et changeant sans cesse,  le plus simple grain de sable est un être vivant d'une immense beauté et aux yeux de la vérité rien n'est moins beau qu'une autre. La mesure et la comparaison est un jeu de ta façon de voir ton monde.

La finalité c'est de guérir. C'est de guérir de la croyance qu'il ne t'es pas possible d'être qui tu es vraiment. Cette peur, tu l'as fragmenté de tellement de façon qu'il te faut te recréer toi-même et rassembler tout les fragments éparpillé, retrouver l'unité, non pas l'unité des illusions, des apparences et des bruits extérieure ; mais l'unité de cette mélodie que tu essayes de composer avec toutes ces notes désordonnées que tu as en toi.

C'est tellement simple et immédiat que tu en riras de joie, pour l'instant tu pleures et tu dois sécher tes larmes, guérir est ta mission, ton œuvre, guérir sans te soucier de ton effet sur l'extérieure, et sans te poser de questions sur comment faire, tout se mettra en ordre autour de toi quand l'ordre s'installera en toi.

Tu peux te croire seul, d'avoir à te battre pour atteindre la guérison, mais tu n'es pas seul, tu es infiniment aimé et aidé sans condition de ta part. De la même façon que ton corps na pas besoin de ton contrôle pour respirer ou que le sang circule et que ton cœur batte, ton esprit n'a pas besoin de ton contrôle, de ta condition, pour devenir sain – au contraire – et en abandonnant tout désir de diriger ta guérison, alors une santé mentale et une énergie que tu imaginais impossible t'ai donnée.

En te créant toi même sans aucun contrôle ni choix, ta création devient une merveille indescriptible sans limites ni frontières.

La finalité de ta mission n'est pas une fin, rien ne s'arrête jamais, tu es mouvement, tu es changement perpétuel, tu as comme joie de créer et de recommencer à créer. Tu crées et n'as aucune limites.

Si tu mets un cadre, une croyance, une idée de ce qu'est ta création, tu bloques par ton désir de contrôle le cours naturel de l'expression de l'univers à travers toi, et apparaît des dysfonctionnements qui ne donne des effets que pour ta réalité seule.

C'est le jeu de ta liberté, tu peux créer de manière illimité en connexion avec la vérité soit tu peux croire en ta capacité à la nier, la limiter, la contrôler, la diriger et voilà que ce que tu crois faire à la vérité et aux autres, tu ne le fais qu'à toi.

Tu reçois des expériences de limitations, tu es nié dans ce que tu es, manipulé, contrôlé et tu réagis par la colère ou la déprime, l'agressivité ou la dépression.

Tu seras toujours accepté dans tes choix de créations dysfonctionnelle, elles font aussi parti du grand jeu. La vérité est là, même quand tu ne la regarde pas.

La regarder suffit, d'autres outils de création te sont donnés et comprendre complètement le mouvement de la vie est à la foi guérison et création.

Qu'est ce que tu crées ? Tu te crées toi-même, c'est une œuvre éternelle et elle est magnifique, tu n'en vois peut être que de petits morceaux, des limites, mais avec un peu de recul tu découvrirais à qu'elle point tu es belle.

Si ton soucis est de savoir comment garder ou préserver tes avantages, tes pouvoirs magiques, comment aménager l'escroc pour qu'il puisse continuer son travail sans que cela entraîne des souffrances, tu te créeras de nouvelles fragmentations et problèmes.
Le faux problème que tu entretiens c'est que tu ne peux pas être en même temps ce que tu es et ce que tu n'es pas. Tu peux seulement choisir ce que tu veux être ici et maintenant, te créer.

Si tu vis des conflits intérieur après avoir fais un choix de ce que tu veux être c'est que l'escroc lutte pour la survie du contrôle, la vérité n'est pas comprise, seulement des idées la concernant sont utilisés et aménagées.

Laisser tomber l'escroc, ce n'est pas exercer un contrôle pour s'en débarrasser, c'est de l'accepter tel qu'il est maintenant, de l'inviter à être ce qu'il est et une fois accepté et pardonné, une fois qu'il n'y aura plus de peurs de ne pas pouvoir être qui tu es vraiment – un changement à lieu – immédiat si l'escroc reprend le contrôle en recommençant à se juger et se mesurer lui même – ou plus long, si on acceptes de ne laisser aucune autorité extérieure (dont fait parti l'escroc intérieure fragmenté) donner des réponses sur ce qu'est l'amour, la vérité, le mal, le bien, la création ou le chemin pour guérir.

L'escroc n'a aucun pouvoir réel de création, il peut jouer un peu avec la matière, rendre le corps malade ou coupable, il peut se déclarer vérité et maître du monde avec un grand sourire de satisfaction, mais un peu plus tard, il pleurera pour ne pas avoir réussi à trouver ce qu'il lui manque réellement pour être ce qu'il est vraiment.

Ce que tu es vraiment est déjà guéris, tu n'as pas à avoir de culpabilités ou de souffrances que l'escroc essayes d'utiliser pour éviter la guérison qui ne lui donnerait pas le premier rôle.

Mais je te le dis en vérité, tu es guéris, tu es magnifique et entre deux actes de contrôle fatiguant, tu as un acte de création grandiose.
Ta plus belle œuvre.
La plus belle œuvre qui puisse exister;
Toi.

Je suis là,
Tu es là,
Je t'aime.

Source : http://ascension-spirituelle.fr/

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