I – « Orion – Sirius – Terre »
II – Orion espace mythique
III – La conspiration d’Orion
IV – Les pyramides du monde
I – « Orion – Sirius – Terre »
Pourquoi les anciens semblent-ils vénérer ces constellations plutôt que d’autres ? pourquoi ne trouve t’ont pas de vestiges de cette fabuleuse civilisation qui semble avoir influencé l’Égypte des Pharaons ? On dirait que tout cela apparaît sans qu’il y ait eu signe avant-coureur, à un moment précis de l’Histoire.
Pourquoi la NASA choisit-elle la ceinture d’Orion pour élément » décoratif » du logo du programme Apollo ? Quelle est la symbolique de ceci :
Tout cela n’est-il qu’une succession de coïncidences. En tous cas, la géologie et le sismographe de Bauval ne peuvent mentir, on peut en être certain. La NASA ne peut nier son intérêt pour l’Égypte Ancienne. Elle a, plusieurs fois, pris des clichés du site de Gizeh. On peut supposer que d’autres l’ont également fait.
Découverte de molécules d’Oxygène dans la nébuleuse d’Orion
Le télescope spatial Herschel de l’Agence spatiale européenne (ESA) a récemment détecté des molécules d’oxygène (O2) parmi la nébuleuse d’Orion. La découverte inédite, réalisée par l’équipe de recherche de Paul Goldsmith a fait l’objet d’une publication parue dans l’Astrophysical Journal.
Si la présence d’atomes individuels d’oxygène dans l’espace a été révélée depuis longtemps, la chasse à l’oxygène moléculaire (O2) est en revanche restée jusqu’à présent infructueuse. Mais pour la toute première fois, la molécule, qui représente environ 20% de l’air que nous respirons, vient d’être détectée par le télescope spatial Herschel au sein de la nébuleuse d’Orion, une région composée d’une multitude d’étoiles en formation.
Selon les scientifiques, l’oxygène se trouve à l’origine piégé dans la glace qui forme des grains de poussières interstellaires et est donc indécelable par les appareils de mesures. Lors de la formation d’une étoile, la lumière et la chaleur émise font fondre la glace libérant ainsi l’oxygène moléculaire potentiellement détectable.
Une molécule d’oxygène parmi l’hydrogène
Pour tenter de confirmer cette hypothèse, une équipe internationale d’astronomes de la Nasa et de l’Esa ont entrepris de rechercher l’oxygène moléculaire au sein des régions de formation stellaire. Ils ont pour cela utiliser l’instrument HIFI (Instrument hétérodyne pour l’infrarouge lointain) à bord du télescope spatial Herschel, un spectromètre à haute résolution spectrale capable d’observer des transitions moléculaires et atomiques qui se produisent dans l’infrarouge lointain. L’instrument, pointé sur Orion, a ainsi détecté l’existence d’une molécule d’oxygène (O2) parmi les millions de molécules d’hydrogène.
Pour l’heure, les opérations de recherche continuent pour tenter de détecter de l’oxygène moléculaire au sein d’autres nébuleuses. « Nous n’avons pas encore trouvé de grandes quantités de cette molécule, et nous devons également comprendre les spécificités de ces régions présentant de l’oxygène. L’univers a encore beaucoup de secrets », conclut Paul Goldsmith, coordinateur de l’équipe de recherche et principal auteur de la publication.
Le mystère de Khéops
KHEOPS représente le DIEU Ré au sommet de sa pyramide
Ses yeux sont situés sur la base du pyramidion renversé, c’est à dire au 1 000 000âme de la distance entre la Terre et le Dieu Râ !
KHEOPS représente le Dieu Râ au sommet de sa pyramide ; l’orientation de celle-ci à une signification religieuse, orientée avec un retard volontaire de moins 3′ 06″ du zénith, cela a permis de découvrir que KHEOPS représente un certain jour de l’année !
Il en est de même pour KHÉPHREN et MYKÉRINOS (deux autres jours) ; c’est la raison pour laquelle il y a que trois pyramides à Gizeh !
Des opérations permettent d’obtenir le 1000ème du diamètre du Soleil 1395,1371
Rayon 697,56855 les prêtres architectes l’ont calculé, preuve à l’appui !
Hauteur 69,79 m. pyramide de NEFERIRKARé à Abousir (le 10000ème du rayon)
C’est un cube de 9, 865 m, de côté (3, 1412), qui a permis de tailler dans le rocher, la coiffe du SPHINX ; la sphère qui est « inscrite » autour de ce cube, représente le Dieu Ré (le Soleil), le rayon de cette sphère est le 100 000âme de la Longueur du rayon du Soleil, 6,9756 m
La Pyramide de KHEOPS
La Longueur de la 2ème assise est de 229,28 m. (soit le r.m. 57,32 X 4
La 1ère assise représente un socle d’une hauteur de 1, 50 m sur 230,36
La hauteur (avec le pyramidion absent) est de 146,62 m.
La hauteur exprimée est de 148,84 m. (soit le 1 000 000ème de la distance, les 5 premiers chiffres).
Les pyramides de KHEPHREN et MYKERINOS expriment elles aussi, les 5 premiers chiffres de deux façons différentes et astucieuses ! Elles ont été construites avec une hauteur décroissante, suivant l’arbre généalogique.
Le volume de sa chambre initiale permet de connaître le 1000e de la distance
L’orientation a été réalisée avec l’ombre d’un poteau face au Dieu Ré (le Soleil) ; ce poteau mesurait exactement 5,23 m ! ( 10 coudées royales ).
Une inspiration religieuse a déterminé l’emplacement de sa chambre initiale !
Avec la même inspiration, un seul autre emplacement pour une mini chambre secrète est réalisable dans sa pyramide ; celle-ci, devrait être « coiffée » du couvercle disparu et du pyramidion absent, c’est un raisonnement logique ! KHEOPS a rejoint ATOUM, c’est la raison qu’il est cité : « KHEOPS est représentant l’horizon »
Comment élever le pyramidion de 40 t. à 144,40 m de hauteur, sans effort ! Les calculs démontrent indiscutablement qu’il existe, son volume (14,61 m3) représente le 100ème de 1461 jours !
La croix Ankh
L’origine de la croix Egyptienne se situe aussi dans la combinaison du pyramidion avec le pyrarnidion renversé. Nous retrouvons la 1/2 circonférence du cercle qui représente le Dieu Ré, le Soleil, avec une portion des deux cotés obliques du triangle équilatéral A-X et A-W, puis les ‘traverses’ positionnées sur le diamètre Y-Z, la hauteur du pyramidion représente le montant. La croix est aussi appelée « croix de vie », l’ankh.
Sur certaines gravures Egyptiennes, nous constatons que le Dieu des Morts ANUBIS, remettait la croix de vie aux Rois, or, cette croix de vie était présentée à la bouche même de ces Derniers !
Ne voyons-nous pas ici, l’origine de la communion ?
De plus, c’est le Dieu Ré qui était « remis » aux Rois, du fait que le Dieu ANUBIS tient la croix de vie par le montant de celle-ci !
Apis
Toujours dans la même « combinaison », nous retrouvons l’origine du taureau sacre APIS : entre les cornes, nous avons RE/KHEOPS, comme sur la stèle de Memphis; sur cette dernière, il y a seulement un cercle entre les cornes d’APIS ; le taureau est gravé entièrement de profil.
6 6 6 – Le nombre appelé solaire.
Ce nombre doit représenter une Grande 1/2 circonférence. En effet la « formule sacrée » permet d’obtenir une petite 1/2 circonférence d’un diamètre de 5,23 m. ( 10 fois la coudée royale), avec le temps réel 12 h. 17/100e, nous obtenons le rayon terrestre, (le100 âme)
5,23 X 12, 17 = 63,70 (un écart de 7 km seulement).
666 X 2 = 1332 Grande circonférence
La racine carrée permet d’obtenir le temps de la révolution de la Terre autour du Soleil = 36,496 (le 10e de 365 jours par défaut)
Recherche civilisation antédiluvienne désespérément…
Que ce soit West, Bauval, Hancock ou d’autres, ils sont tous convaincus de l’existence d’une civilisation de loin antérieure à celle des Egyptiens et, qui plus est, dont l’avance technologique et scientifique serait équivalente, voire supérieure à la nêtre ! Le Sphinx serait un vestige de cette fabuleuse civilisation pour laquelle la constellation d’Orion et l’étoile Sirius semblent avoir une énorme importance.
L’Egypte serait-elle la seule contrée où ces indices, attestant d’une maestria technique pour le moins anachronique, seraient tangibles à Non, il existe quantité d’autres éléments qui militent en faveur de la présence sur terre d’une technologie avancée alors que, pour l’Histoire officielle, nous en sommes encore à l’ége de la pierreé L’Amérique du Sud recéle également bon nombre de questions jusqu’ici laissées sans réponses.
Pourtant, les égyptologues, les historiens et les archéologues posent des questions qui me paraissent pertinentes : « Pourquoi ne retrouve-t-on aucune poterie, aucun vestige, aucune trace de cette civilisation où sont les villes, les industries et les objets ? »
C’est un fait, pour l’instant, personne n’a trouvé de ruines d’usines ou de complexe industriel datant de 11 000 ans avant notre ére. Certains diront que nous cherchons au mauvais endroit. Ils nous conseilleront d’aller creuser sous la glace des pôles, à 1500 mètres de profondeur ou de sonder le Sahara. D’autres nous indiqueront l’Océan Atlantique et ses fonds abyssaux. Les moyens technologiques actuels (satellites) nous le permettent. Nous savons que les militaires des grandes puissances ont des cartes très détaillées du fond des océans (relief, etc.) afin que leurs sous-marins respectifs puissent se mouvoir aussi aisément et discrètement que possible.
Ce n’est un secret pour personne que les Etats Unis sont capable de débusquer, par satellite, les bunkers, les silos de missiles balistiques et autres laboratoires enterrés parfois à plusieurs centaines de mètres dans le sol.
C’est ainsi que, récemment, le Jet Propulsion Laboratory (NASA) de Pasadena a pu découvrir un site religieux très ancien dans la jungle cambodgienne.
Alors pourquoi n’a t’ont jamais trouvé de vestiges significatifs attestant de l’existence d’une civilisation terrestre antédiluvienne à D’oé sort la technologie nécessaire à la construction des pyramides suivant un schéma mathématique, géométrique et astronomique aussi précis à D’oé sort la connaissance astronomique des Dogons, peuplade africaine du Mali, qui identifient l’étoile Sirius A et B bien avant tout le monde, des centaines d’années, voire des milliers. Eux aussi, supposent certains spécialistes et ethnologues, sont probablement des émigrants du Saharaé Pour les Dogons, c’est de Sirius qu’un peuple amphibie est venu visiter les hommes de la Terre, il y a très longtemps, au commencement d’un temps. Ces habitants des étoiles leur auraient apporter la parole et la connaissance. C’est leur religion.
Pyramides et configuration stellaire
Bauval et Hancock pensent que le Sphinx fait partie d’un plan réfléchi dans lequel seraient également impliquées les pyramides de Kheops, Khephren et Mykérinos. Les Egyptiens accordent une très grande importance aux étoiles. Comme nous l’avons vu précédemment, Osiris, le dieu pharaon, est symbolisé par la constellation d’Orion. Isis, son épouse, par Sirius.
Par exemple, la chambre du Roi de la Grande Pyramide et ses deux « conduits d’aération ». De cette chambre, située au cœur de la structure, partent deux espéces de tunnel qui, jusqu’ici, étaient perçus comme étant un système d’aération. Pourtant , dés 1964, les astronomes Trimble et Badawy vont montrer que ces puits, en 2500 avant notre ère, pointaient très exactement vers des étoiles précises : l’un vers Alpha Draconis, l’autre vers Orion (Osiris). La position des étoiles dans le ciel n’a pas changé par rapport aux temps reculés et ceci est dé à un phénomène appelé » précession » : la terre fait un tour sur elle-même toutes les 24 heures mais, en plus, son axe tourne en oscillant tous les 26000 ans. Sur terre, cette lente oscillation donne l’impression que les constellations migrent dans le ciel. Bauval explique encore que les égyptologues ignoraient ce phénomène de précession mais que c’est lui la clé du » mystère » des pyramides…
Ce phénomène est incontournable pour étudier ce que certains appellent aujourd’hui l’archéo-astronomie. Bauval remarque alors que si le puit sud de la chambre du Roi vise Orion, le puit nord de la chambre de la Reine, plus bas, vise Sirius, l’étoile représentant Isis, épouse d’Osiris.
Bauval et Hancock pensent que tout ceci fait partie d’un plan commun où le Sphinx devait tenir un rôle. Bauval se demande quel serait la configuration astrale au-dessus des pyramides, il y a douze mille ans. La réponse est assez étonnante. Ce qu’il y a dans le ciel se trouve exactement projeté sur le plateau de Gizeh ! Les trois pyramides sont disposées selon un axe parfait, excepté pour la plus petite, celle de Mykérinos qui est légèrement décalée sur la gauche. Les distances entre elles sont aussi très importantes. Si l’on survole ces pyramides, voici ce que l’on voit : elles sont positionnées exactement comme le sont les étoiles de la ceinture d’Orion !
Encore plus fort ! Ce n’est pas seulement la projection parfaite d’un groupe d’étoile au sol mais bien une importante partie du ciel qui se retrouve ainsi représenté. En effet, on s’aperçoit que le Nil, situé sur la gauche des Pyramides, se reflète aussi sur la voute céleste car sa position correspond à celle de la Voie Lactée par rapport à la ceinture d’Orion. Que tout ceci arrive au moment où la constellation d’Orion franchit l’axe Nord – Sud n’étonnera plus personne. Une date magique rassemble toutes ces coïncidences : 10500 av. J.C.
II – Orion espace mythique
Dans certains civilisations, Orion est associé à un robuste chasseur près à conquérir le monde. D’autres civilisations y voient une tortue, une pieuvre, un caïman ou simplement des étoiles individuelles. Les plus vieilles légendes remontent à l’époque où florissaient les civilisations méditerranéennes en Anatolie (Syrie), en Égypte et en Grèce.
La mythologie Hittites
Chez les Hittites Orion s’appelait Aqhat. C’était un homme généreux et un grand chasseur sous le regard duquel la déesse de la guerre Anat tomba amoureuse. Mais leurs sentiments n’étaient pas réciproques. Un jour, alors qu’Aquat avait refusé qu’elle tende son arc, Anat envoya un homme de main lui voler son arme. La légende rapporte que le truand blessa Aqhat à mort et jetta son arc dans la mer. C’est pourquoi Orion et son arc descendent sous l’horizon au printemps.
La mythologie Egyptienne
Pour les Egyptiens Orion était la demeure d’Osiris, le dieu de la lumière, le pharaon qui fut assassiné par son frère Set, le dieu à face de chacal. Osiris vainquit la mort et après être ressuscité il résida dans la région d’Orion. Non loin de là Isis demeura auprès de Sirius. Les étoiles d’Orion brillent ainsi à l’image du tribut à Osiris.
Il y a plus de 3000 ans les Egyptiens avaient observé que Sirius se levait juste avant le Soleil une seule fois par an. Cet événement suivait une période d’invisibilité totale de Sirius qui durait environ 70 jours. Nous savons aujourd’hui que durant cette période Sirius ne disparait pas. Il circule en fait durant la journée, son éclat étant noyé dans celui du Soleil.
Pour les Egyptiens les pharaons commençaient leur journée dans les royaumes du firmament et rendaient visite à Osiris et Isis dans les régions d’Orion et de Sirius. Le dernier lever de Sirius correspondait à sa mort. Le jour il était invisible. Il se purifiait dans la maison des embaumeurs située dans les bas-mondes et n’en sortait ressuscité qu’avec l’apparition du Soleil. Le cycle de momification suivait ainsi le cycle sidéral et durait exactement 70 jours.
La mythologie Grecque
Le récit de la mythologie grecque est plus savoureux et fait intervenir de nombreuses acteurs célèbres dans notre culture qui ont pour certains vu leurs noms s’inscrire en lettres de feu sur le velours du ciel pour citer Hélios (Soleil), Zeus (Jupiter), Poséidon (Neptune), Mérope ou Apollon (Apollo).
Tête d’Apollon du 2eme siècle av JC. Cette sculpture du dieu de la lumière façonnée dans le marbre est l’étalon du profil Grec. Collection Lombry.
Chez les Grecs Orion était connu comme « l’habitant de la montagne ». C’était le fils d’Euryale et de Poséidon (Neptune chez les Romains). Son père lui donna le pouvoir de marcher sur les eaux, mais on rapporte qu’il fut si grand qu’il pouvait marcher au fond de la mer alors que sa tête demeurait au-dessus des vagues.
Orion était célèbre tant par ses actes de chasse que par ses passions amoureuses. Mais quand il se vanta de pouvoir débarrasser la Terre de tous les animaux sauvages, son destin fut scellé.
La légende rapporte qu’un jour, alors qu’Orion se rendit à Chios, il tomba amoureux de Mérope, l’une des sept Pléïades et fille du Roi Enope. Le Roi lui promis la main de sa fille s’il pouvait débarrasser l’île de tous les animaux dangereux. Alors qu’Orion ramenait des peaux de bête à sa bien-aimée, Enope s’inquiéta de savoir si Orion réussirait sa mission car il était lui même tombé amoureux de sa fille Mérope.
Lorsqu’Orion ramena la dernière peau de bête et déclara au roi qu’il avait terminé sa tâche, Enope refusa de lui donner la main de sa fille. Ecoeuré, Orion bût le vin du roi et fut si saoûl qu’il n’hésita pas à kidnapper Mérope. Ce fut une grande insulte pour le roi et Enope pressa son père Dionysos de punir son invité. Le dieu du vin envoya un groupe de Satyres enivrer encore un peu plus Orion. Durant la nuit, lorsque l’homme fut endormi Enope lui creva les yeux et le jetta sur le rivage.
La colère d’Orion ne fit que grandir. Il visita un oracle qui lui annonça qu’il pourrait recouvrer la vue s’il se dirigeait vers l’Est là où Hélios se levait sur l’océan.
Artémis. Extrait d’un tableau de Kagaya.
En suivant le son émis par le marteau du Cyclope, Orion parvint à rejoindre l’île de Lemnos. Arrivé sur place il captura l’apprenti d’Hephaestos dénommé Cedale, qui accepta de lui servir de guide.
Quand finalement Orion atteignit l’extrémité Est de la mer, Eos tomba amoureuse d’Orion et son frère Hélios lui redonna la vue.
Après avoir passé quelques temps avec Eos sur l’île de Delos, Orion revint à Chios pour se venger du Roi Enope. Mais le roi s’enfuit par une chambre sous-terraine qu’Hephaestos, le dieu des forges et du feu lui avait construite. Déterminé, Orion partit en Crête rejoindre le grand père d’Enope, le Roi Minos.
Durant le voyage Orion rencontra la soeur d’Apollon, la belle Artémis, déesse de la chasse et de la Lune. Artémis et Orion partageant la même passion pour la chasse, elle le persuada d’abandonner son amertume et son désir de vengeance pour se joindre à elle et chasser les animaux.
Apollon, le dieu de la lumière, des prophéties et de la musique apprit la nouvelle et ayant par jalousie pris peur qu’Orion fasse à Artémis la même cour qu’il fit à Eos, il rapporta à Gaïa, la déesse de la Terre, la vantardise d’Orion à propos des animaux.
Apollon et Artémis
Pour se venger de l’orgueil d’Orion, Gaïa envoya un scorpion mortel le tuer en le piquant au talon. Durant le combat Orion se rendit rapidement compte que son épée ne parviendrait jamais à percer l’armure du scorpion qui était impénétrable à tous ses coups mortels et qu’il ne pourrait jamais le tuer. Orion pris la fuite, plongea dans la mer et nagea jusqu’à Delos où il espérait trouver de l’aide auprès d’Eos.
Apollon qui fut témoin de la lutte refusa de laisser Orion s’échapper si facilement.
Il lança un défi à sa soeur Artémis, lui demandant si elle était capable d’atteindre ce petit objet noir qui était au loin dans la mer, « la tête, lui dit-il, de l’abominable traître Candaon » celui qui avait séduit Opos, l’une des prêtresse Hyperboréennes.
Artémis ignorant que Candaon était le surnom boétien d’Orion, elle tendit son arc, frappant au but du premier coup. Elle nagea ensuite pour récupérer le corps de sa victime et découvrit la réelle identité de cet inconnu; elle avait tué son amoureux, Orion.
Artémis implora les dieux pour qu’ils lui redonnent vie mais Zeus refusa. En son souvenir Artémis plaça l’image d’Orion et de ses deux chiens, Canis Major et Canis Minor dans le ciel parmi les étoiles. Plus tard Apollon épousera Artémis.
On dit que dans sa chasse éternelle Orion se place prudemment loin devant le scorpion. Une autre interprétation dit que le scorpion poursuit Orion pour l’éternité. Mais en réalité Orion a déjà disparu sous l’horizon septentrional des Tropiques quand son ennemi juré se lève pour dominer à son tour le ciel nocturne. Orion n’a plus à craindre la blessure du scorpion.
pour les Grecs les étoiles d’Orion servaient à marquer le temps des moissons. Pour un obervateur se levant tôt, Orion est visible tout l’été. Le poète Hésiode exigea par exemple de son neveu fermier qu’il observa la première apparition d’Orion en été : « N’oublie pas, lorsqu’Orion se lèvera pour la première fois, de faire battre les épis sacrés par tes servantes… ». A la fin de l’été, lorsque vient la saison des vendanges, Orion se lève à minuit. Et lorsqu’Orion se lève au coucher du Soleil en automne, les marins savent qu’il est temps de ramener leur bâteau au port pour l’abriter des tempêtes.
III – La Conspiration d’Orion
Depuis 1 million d’années dans un univers si vaste soit il aucune civilisation n’ai jamais mis le nez dans notre système solaire et pourquoi pas sur notre planète ? Je reprendrai une citation d’Einstein pour les sceptiques invétérés qui refusent de croire en ce qu’ils ne voient pas: « Il est plus facile de briser un atome que de briser un préjugé. » Je vais commencer par tenter de vous convaincre tant bien que mal je vous l’accorde de l’existence d’extra terrestres dans notre univers, car c’est après tout le sujet de ce paragraphe.
Parlons des égyptiens, cette mystérieuse civilisation qui dura 5000 ans et regorgea de technologies plus intrigantes les unes que les autres, et dont les hiéroglyphes n’ont cessés de surprendre nos graphologues…
Vous devez vous demander pourquoi les égyptiens auraient bénéficiés d’une aide extérieur aka extra terrestres, et bien observons leurs constructions pour commencer. Une des plus étranges est sûrement celle de Kheops, située à côté du Sphinx. Il aurait fallut à peine 20 ans pour déplacer environ 2,3 millions de blocs. Cela fait environ un bloc toute les 2 minutes (nous prenons en compte l’extraction, l’acheminement, et le placement) si les ouvriers travaillaient 365 jours sur 365. De plus, l’étoile du sud, le plus gros bloc de la pyramide (il pèse plus de 2 000 tonnes), est impossible à soulever actuellement. Sachant que les Egyptiens l’ont transporté sur une vingtaine de kilomètres, on est en droit de se poser des questions. Qu’est ce que les Egyptiens avaient que nous n’ayons pas aujourd’hui ???
Autre détail important, la précision des constructions. On retrouve sur les arêtes de cette pyramide une marge d’erreur inférieure à 0.015%. On peut donc qualifier cette construction comme étant parfaite ! Dernier détail : le placement des pyramides. Ce placement, représenté par trois pyramides ( ) rappelle, et avec la même proportionnalité des distances, la constellation d’Orion. Le Nil joue même son rôle puisqu’il représente la voie lactée. Tout ces anachronismes ne servent qu’à montrer l’ingéniosité Egyptienne ou à prouver une intervention extérieure. Deux faits nous orientent vers la 2éme hypothèse.
Tout d’abord, le fait qu’aucun mobilier, momie, ou marque d’écriture n’aient été découverts dans la pyramide. Cette pyramide, contrairement à son usage habituel, ne servaient donc pas de monument funéraire. Elles devaient avoir une autre utilité. De plus, on peut voir que les pyramides qui suivront celles du plateau de Ghizé n’auront plus la même perfection. Ce qui nous laisse penser que, soit la technique était « morte », soit les vrais fabricants des pyramides(ou leurs machines) étaient partis .
Selon les Egyptiens, la création de l’univers serait due à Atoun qui créa le monde en le pensant. Vint ensuite un combat entre les forces de la lumière et les forces obscures. Ensuite, et c’est là le plus intéressant, se produisit le règne de dieux et déesses (Phré, Chou, Tefnout) qui dura 13 900 ans. Ces « divinités » possédaient de nombreux pouvoir, qui étaient, pour l’époque, aussi formidable que mystérieux .Des appareils permettant de voir à distance, de détruire, jalonnent ainsi les légendes populaires. Allez donc faire un tour de ce côté: http://www.multimania.com/pyramide/guizeh.html vous y trouverez de nouvelles preuves.
On remarque pour mettre tout ceci en relation que les illuminati sont très « attachés » à l’égyptologie, pyramides, oeil d’Horus, vous verrez dans la prochain mise à jour que les symboles catholiques y sont aussi liés… Bref le sujet n’étais pas d’écrire une thèse sur les égyptiens mais de démontrer qu’ils n’ont peut être pas toujours étés seul durant 5000 ans … Et que si les illuminati attribuent autant d’importance à des symboles égyptiens comme l’oeil d’Horus ou encore la pyramide, ce n’est pas par hasard. Tout ce rejoint, l’égyptologie, les passages bibliques, les symboles illuminatiques étrangement liés à des symboles extra terrestres et le plus important, le fait que l’oeil d’Horus soit placé tout en haut de cette même pyramide sur ledit billet de 1$ …
On vous dit: « la vérité est ailleurs », moi je vous dit: elle est devant votre nez, il suffit d’ouvrir les yeux…
Les signes sont de plus en plus nombreux. Les lumières dans le ciel apparaîtront rouges, bleues, vertes, rapidement. Quelqu’un vient de très loin et veut rencontrer les gens de la Terre. Les rendez-vous ont déjà eu lieu. Mais ceux qui ont vraiment vu se sont tus. Pape Jean XXII, 1935
LE 666 REPRÉSENTE LA PORTE DES ÉTOILES VERS ORION
LE STARGATE VERS L’AU-DELÀ OSIRIEN
L’ETOILE DE DAVID (bouclier de David ou étoile de Sion) est aujoud’hui le symbole du judaïsme. Aujourd’hui, on le trouve notamment sur le drapeau de l’État d’Israël. L’expression « ETOILE DE DAVID » est historique, tandis que l’expression « SCEAU DE SALOMON » a une connotation, une valeur, une ambiance magiques. Même dénotation, mais connotations distinctes. L’expression « sceau de Salomon » fait référence au Talmud de Babylone, à la légende de l’anneau de Salomon. Ce symbole n’est aucunement juif! L’Etoile représente aussi l’Etoile de la MERKABA. En occultisme, la MERKABA est la lumière divine. Chez les adeptes du new âge et dans les sociétés occultes, elle est utilisée par les maîtres pour se connecter avec les entités dans d’autres mondes (spirit).
Le nombre 666 est le nombre d’un triangle à trois angles de 60 degrés chacun, le Trangle équilatéral. Symboliquement, dans le Triangle est le ‘G‘ est la Porte de l’Arche, le grand G cosmique des indiens vers Orion et sa spirale, c’est à dire le STARGATE vers OSIRIS et son royaume des morts : ORION. C’est de la KABBALE, la religion égyptienne inspirée des mythes babyloniens et de l’ancien monde avant le déluge (Atlantide) et largement pratiquée par la maçonnerie. Le G est la » PORTE DES ETOILES « .
IV – Les pyramides du monde
La constellation d’Orion est la constante de l’orientation des pyramides du monde: les pyramides Aztèques , Mayas , Chinoises, Bosniennes ainsi que celle de Gizèh sont géographiquement situées comme le sont les trois étoiles du baudrier d’Orion par rapport à la Voie Lactée et que deux autres pyramides, au nord et au sud du site, correspondent exactement aux étoiles Bellatrix et Saiph d’Orion. Exactement comme les pyramides du site de Gizèh!…
Pyramides de Gizeh
Chine Pyramides à Xian
These images were taken by Hartwig Hausdorf, a Germany researcher:
www.thelivingmoon.com/42stargate/04images/China/chinesepyr.jpg" width="517" height="131" border="4" />www.thelivingmoon.com/42stargate/04images/China/chinesepyr2.jpg" width="463" height="216" border="4" />
www.thelivingmoon.com/42stargate/04images/China/chinesepyr3.jpg" width="487" height="112" border="4" />
www.thelivingmoon.com/42stargate/04images/China/chinesepyr4.jpg" width="696" height="200" border="4" />
En savoir plus sur les Pyramides de Chine sur The Living Moon
Pyramides du Pacifique Sud
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Découverte d’une pyramide en Indonésie plus grande que celles de Gizeh !
Le mont Sadahurip à Garut, à l’ouest de Java, appelé « la pyramide de garut », est actuellement en train d’être examiné par des équipes d’archéologues pour voir s’il ne serait pas en fait une structure humaine. Surprise, la science penche dans ce sens:
En utilisant des instruments géo-électriques afin de mesurer la résistance des différentes couches géologiques, ils ont déterminé qu’effectivement cette structure ne pouvait pas être de formation naturelle. Un relevé 3D de la topographie locale supporte également l’hypothèse humaine.
Les analyses au Carbone 14 révèlent que la terre daterait de 6 000 avant Jc alors qu le sol plus profond est quant à lui daté de 7 500 avant JC. Preuve irréfutable !
Nous allons de surprise en surprise:
Avant que les archéologues ne se mettent au travail, ils ont pénétré différentes excavations et ont trouvé un certain nombre de roches couvertes d’écritures. Exceptionnel ! WikiStrike vous les présentera bientôt…
Les calculs montrent que cette pyramide est plus grande que celles du plateau de Gizeh , la hauteur étant estimée à au moins 200 m et aurait été construite vers 10 000 avant JC, à peu près à la même période que le site de Göbekli Tepe, en Turquie, la plus ancienne preuve de civilisation au monde à ce jour.
La Deutsche Orient-Gesellscaaft (DOG) du professeur Bonatz , actuellement à la tête des recherches, va rencontrer Stephen Oppenheimer de l’université d’Oxford afin d’accéder à des fonds et ainsi accélérer les fouilles et déterminer la validité des récentes trouvailles.
Des surprises restent donc encore à venir…
Une gigantesque pyramide découverte au fond de l’océan Atlantique?
À GLORIA système de sonar à balayage latéral à longue portée GLORIA (Asdic d’enclin à long terme géologique).
Derrière les murs du Complexe de Sapelo
Au large des côtes de Géorgie, il y a quelques semaines, de grandes pyramides auraient été découvertes.
Au sud-est d’Atlanta en Géorgie, au large des côtes, surl’île de Sapelo, les archéologues ont mis au jour les vestiges d’une ancienne ville fortifiée qui est antérieure à la construction d’un grand nombre de pyramides d’Égypte.
Connu sous le nom de « complexe de Sapelo », cette ancienne ville a été construite autour de 2300 avant JC et fut composée de trois quartiers, chacun entouré par des murs circulaires de vingt pieds de hauteur construit à partir de tonnes de coquillages. Une partie des plus anciennes poteries d’Amérique du Nord a également été retrouvée enterré dans les ruines de cette cité perdue.
Le site est énigmatique, parce qu’à l’époque de sa construction, les Amérindiens qui vivaient dans la région étaient de simples chasseurs-cueilleurs et n’avaient pas encore inventés l’agriculture. De nombreux chercheurs croient que l’agriculture est une condition sine qua non pour la civilisation. Alors comment est-ce possible ? Comment ont-ils pu bâtir de pareilles enceintes ? Et pourquoi cette poterie sans le bénéfice de l’agriculture ?
Une réponse à ce paradoxe semble d’intérêt: un peuple déjà civilisé serait arrivé sur les côtes de Géorgie. Mais dans ce cas, qu’est-il donc devenu ?
Les pyramides de coquillages de Sapelo Island
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Les archéologues ont montré que les premiers habitants du Nouveau-Monde ont construit d’impressionnants complexes architecturaux (cf: Poverty Point: richesse préhistorique des Amérindiens) composés de buttes de terre ou d’argile. Les monticules ou les anneaux de fortifications étaient parfois constitués d’un amas de coquilles (d’huîtres, de conques, de palourdes et de moules).
Ce type de structures s’est développé dès 3500 avant J.C. sur les rives de l’océan Atlantique et sur les côtes du Golfe du Mexique. On en trouve également au Pérou, en Colombie, ainsi que dans les îles Caraïbes et au Japon.
Aux États-Unis, la plus ancienne ceinture de coquillages connue est celle de Tick Island, près de Jacksonville en Floride. Il en existait sans doute d’autres, peut-être plus vieilles, mais elles ont disparu. Les îles de la côte Atlantique Sud sont en effet soumises à une forte érosion, liée aux violentes tempêtes et raz de marée. L’une des plus impressionnantes structures est celle de Sapelo Island en Géorgie. La construction de ce complexe semble avoir débuté vers 2500 avant notre ère. L’île a révélé plus de 200 buttes circulaires en coquillages dont les dimensions varient entre 2 et 100 mètres de diamètres. Les plus larges ont été édifiées vers -1200 mais les Indiens ont continué d’en construire de plus petites jusqu’au 17ème siècle. Les premiers explorateurs français ont notamment rapporté que les Indiens Timucua de Floride vivaient en communauté dans des sortes de forteresses circulaires. Jacques Le Moyne de Morgues (1533 – 1588), membre de la seconde expédition de Jean Ribault dans le Nouveau Monde, en a fait plusieurs dessins.
Deux grandes théories ont été avancées au sujet de ces pyramides de coquillages. D’aucuns pensent qu’elles sont le résultat d’un usage pratique: les structures auraient été édifiées par une accumulation de déchets. Certaines sont consolidées par des arrêtes de poissons ou des os de mammifères comme le cerf ou le raton laveur. Néanmoins, de nombreux archéologues sont persuadés que l’édification des monticules est liée à un rituel cérémoniel. Selon eux, la forme circulaire des édifices ne peut être qu’intentionnelle. Par ailleurs, les chercheurs ont découvert des vestiges de foyers qui tendent à prouver qu’ils étaient situés au sommet des buttes ou au centre des anneaux. On sait également que beaucoup de peuples côtiers ont construits des maisons sur des buttes de terre, ou de coquilles plus petites, afin de les protéger des inondations.
Des analyses récentes, basées sur les résidus alimentaires trouvés sur les sites des îles de St. Simons et de Sapolo, ont permis de déterminer qu’un groupe d’individus occupaient régulièrement les lieux, si ce n’est toute l’année. Il est difficile d’évaluer la population mais les chercheurs ont établis une fourchette d’une vingtaine à plusieurs centaines d’individus. A Sapolo, les archéologues ont exhumé les débris des plus anciennes poteries d’Amérique du Nord et émettent l’hypothèse qu’il pourrait s’agir de la première colonie permanente. Les habitants de Sapolo seraient peut-être les ancêtres des Indiens Timucua qui contrôlaient une vaste zone, depuis le sud de la Géorgie jusqu’au nord de la Floride, lorsque les Européens ont débarqué dans la région. Les études linguistiques ont montré que ce peuple était originaire d’Amérique du sud et qu’il aurait sans doute migré depuis le Venezuela jusqu’aux côtes de Floride et de Géorgie.
Une analyse plus précise et plus profonde sera évidemment lancée pour confirmer ou infirmer cette incroyable potentielle pyramide !
Derrière les murs du Complexe de Sapelo
Au large des côtes de Géorgie, il y a quelques semaines, de grandes pyramides auraient été découvertes.
Au sud-est d’Atlanta en Géorgie, au large des côtes, surl’île de Sapelo, les archéologues ont mis au jour les vestiges d’une ancienne ville fortifiée qui est antérieure à la construction d’un grand nombre de pyramides d’Égypte.
Connu sous le nom de « complexe de Sapelo », cette ancienne ville a été construite autour de 2300 avant JC et fut composée de trois quartiers, chacun entouré par des murs circulaires de vingt pieds de hauteur construit à partir de tonnes de coquillages. Une partie des plus anciennes poteries d’Amérique du Nord a également été retrouvée enterré dans les ruines de cette cité perdue.
Le site est énigmatique, parce qu’à l’époque de sa construction, les Amérindiens qui vivaient dans la région étaient de simples chasseurs-cueilleurs et n’avaient pas encore inventés l’agriculture. De nombreux chercheurs croient que l’agriculture est une condition sine qua non pour la civilisation. Alors comment est-ce possible ? Comment ont-ils pu bâtir de pareilles enceintes ? Et pourquoi cette poterie sans le bénéfice de l’agriculture ?
Une réponse à ce paradoxe semble d’intérêt: un peuple déjà civilisé serait arrivé sur les côtes de Géorgie. Mais dans ce cas, qu’est-il donc devenu ?
La pyramide de Falicon (France)
200 ans après…
LA DECOUVERTE
En ce début de printemps 1803, Domenico Rossetti, avocat siennois de passage dans la région, apprend l’existence d’un trou très profond vers le sommet de la montagne d’où s’échappent des chauves-souris (Ratapignate en niçois) à la tombée du jour. Arrivée sur les lieux un rayon de soleil lui révèle les profondeurs du gouffre. Rossetti, transporté par cette vision, est frappé d’une « stupeur inexprimable », Il décide aussitôt de descendre et c’est ainsi qu’il découvre la grotte…Lire la suite
Les incroyables pyramides sous-marines cubaines
En 2001, une équipe de chercheurs canadiens a travaillé sur la côte ouest de Cuba, afin de vérifier les dires de premiers explorateurs partis en 2000 dans la même zone et qui aurait découvert une ville engloutie depuis des milliers d’années. Et l’incroyable s’est produit: La cité existe !
Les ruines d’une ville engloutie ou « l’Atlantide cubaine » ont pu être localisées grâce à des sonars sophistiqués capables de détecter des structures en pierre jusqu’à 650 pieds de profondeur. Les premiers relevés ont suscité un énorme intérêt dans la communauté scientifique, qui a bien vite mis la découverte sous silence.
Les premiers explorateurs ont repéré le complexe il y a déjà 12 ans, quand ces chercheurs ont balayé la zone par hasard. Les radars ont alors mis à jour une unité sophistiquée composée de plusieurs pierres disposées de façon symétrique.
Zelitsky, ingénieur russe, ancienne espionne de la marine soviétique pendant la guerre froide, et son mari, Paul Weinzweig, un chercheur en « Communications numériques avancées » (photo ci-dessous à gauche), ayant des bureaux au Canada et à Cuba, ont parcouru et exploré avec leur navire de recherche « Ulises » les profondeurs au large du cap Saint-Antoine, au nord-ouest de Cuba, dans le but de récupérer d’éventuelles épaves, quand ils se sont rendus compte que sous leur coque dormait un trésor archéologique à la fois mystérieux et incroyable.
La structure qu’ils découvrent est un complexe urbain.
Pour le vérifier, ils envoient alors un robot bourré de technologie. Ce drone, un Remotely Operated Vehicle (ROV), est capable de prendre des photos et de recueillir des échantillons de roches à de grandes profondeurs.
Pour accompagner l’expédition, des experts locaux les accompagnent, y compris le Dr Manuel Iturralde, géologue, chercheur au Muséum d’Histoire Naturelle de La Havane.
Les sous-marins envoyés confirment la présence d’énormes blocs de granit très lisse !
Selon certains de ces chercheurs, on parle ici de pyramides !
L’on y trouve aussi d’incroyables alignements circulaires.
Après analyse des échantillons et des images fournies par le robot lors des plusieurs expéditions de 2001, Iturralde révèle que ces structures se trouvaient jadis hors de l’eau et que différentes explications géologiques parlent dans leur composition. Néanmoins, si le complexe paraît naturel, leur forme et la disposition peuvent avoir été modifiées par l’homme.
Les structures remonteraient à 6000 ans, une date qui précède les grandes pyramides d’Egypte de 1500 ans, officiellement. « C’est vraiment une découverte merveilleuse que ce centre urbain », a rapporté l’Explorateur Zelitsky à Reuters.
Des corrélations sont probables avec « le déluge » rapporté par la Bible, sur lequel il est dit que notre planète a été dévastée par de fortes inondations il y de cela plusieurs milliers d’années.
À ce jour, cette merveille est inconnue du grand public, presque oubliée par les médias. Le chercheur Cossano Carlo Alberto va plus loin, pour lui, les ruines submergées de Cuba peuvent réécrire l’histoire de la civilisation humaine, et même aider à percer les mystères concernant son origine.
Le silence est de mise autour de cette découverte, et pour cause, les énormes structures pyramidales sont similaires en taille à celles du plateau de Gizeh, en Egypte. Sous l’eau e trouve aussi plusieurs sphinx, des pierres disposées comme Stonehenge ainsi qu’une écriture gravée sur les pierres. Pourquoi tout ceci a été réduit au silence ?
www.particuba.net/villes/nueva_gerona/images/Speleo_Cueva1_Punta.jpg" width="350" height="263" />Photos de la grotte de l’île de la jeunesse cubaine : un symbole d’étoile identique à celui observé dans les fonds marins à Cuba © 2001 par Zelitsky
Avant la découverte officielle en 2 000, Le gouvernement américain avait découvert l’endroit présumé pendant la crise des missiles à Cuba dans les années soixante, un sous-marin nucléaire ayant alors sondé la surface, pris des photos, et fait des mesures. Ils ont immédiatement créé une zone Off Limits et mis le site archéologique sous contrôle, pour le protéger de la flotte russe.
Une source de l’armée à Montego Bay, dévoile que les USA travaillent toujours sur le site et a depuis 40 ans récupérer nombre d’objets et d’instruments (certains fonctionnent encore).
Ce bassin de moins de 10.000 ans est très bien conservé. Une autre cité a d’ores et déjà été découverte à 250 km au sud de la côte des Açores, découverte confirmée par le célèbre auteur Charles Berlitz.
Dans le numéro de Septembre-Octobre américain ancient Amerca, on peut lire un court article intitulé «US Navy Atlantis Cover-up? ». Il y est dit que le 7 septembre 2001, un escadron Espagnol, à la recherche de pétrole, s’est arrêté à 250 km au sud-ouest des Açores.
L’escadron était équipé de deux submersibles de recherche. Lors de la plongée, ils y ont découverts une sorte de long mur de 90 km avec un temple central soutenu par trois plateformes de neuf piliers d‘environ 3 mètres de diamètre supportant un toit plat en pierre d’environ 20 mètres de large et 30 de long. On peut y voir aussi des restes de cinq canaux circulaires avec des ponts, ainsi que quatre anneaux, et des installations comme un temple au milieu.
Cet endroit se trouve à 2800 pieds de profondeur dans la fosse médio-atlantique. Selon les chercheurs, quand ils ont essayé d’envoyer des images photographiques du site archéologique, leurs signaux ont été bloqués par un navire de l’US Navy qui patrouillait à proximité.
Le site des pyramides cubaines, mégalithique très probablement, et aujourd’hui l’objet de recherches discrètes entreprises par le gouvernement américain, tandis que Cuba le réclame, à juste titre.
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