Je vois beaucoup de gens qui souffrent à cause des autres, et cela me rappelle cette phrase célèbre de Jean-Paul Sartre : « l'enfer, c'est les autres »...
Les autres, avec les meilleures intentions du monde, tentent parfois de nous enfermer dans leur propre vision de la vie, et d'autres fois c'est nous qui avons vis à vis d'eux, des attentes qui ne se réalisent pas... L'idée que l'on se fait de l'autre, est déjà une cause de stress, souvent inconsciente. Alors oui, il est possible de vivre sans souffrance au milieu des autres, à condition de modifier légèrement notre vision du monde.
En s'appuyant sur de nouveaux principes. L'idée que l'on se fait habituellement de l'autre, se fonde sur l'éducation que nous avons reçue, c'est-à-dire sur des croyances collectives, issues en grande partie de notre tradition judéo-chrétienne, qui prend racine dans l'ancien testament. Cette vision du monde provient de peuples aux croyances manichéennes : il y a des bons et des méchants, un Dieu et un diable, et nous avons en nous-même des tendances bonnes ou mauvaises, ainsi qu'un libre arbitre permettant d'y faire face. Dieu nous surveille et nous laisse une certaine liberté, à condition que nous suivions la voie juste, sinon nous serons punis.
Notre vision de l'autre, est encore aujourd'hui imprégnée de cette philosophie, que l'on retrouve jusque dans les histoires et dans les films.
Or voici que cette philosophie ne fonctionne pas, même animée des meilleures intentions. En effet, elle est entravée de pas mal de contradictions flagrantes :
Dire que nous serons punis si nous agissons mal, revient à dire que nous ne sommes pas libres d'agir à notre guise : alors de quelle liberté parle-t-on, si un Dieu tout-puissant est là qui nous surveille ?
Prétendre que l'homme doit pardonner mais que Dieu ne nous loupera pas, c'est demander à l'homme plus qu'à Dieu...
Il est temps de prendre nos distances vis à vis de cette philosophie archaïque, ou au moins de la faire évoluer de façon plus lucide, afin de pouvoir vivre libres parmi nos semblables. Objectivement, l'homme est tout simplement soumis à des émotions comme la peur, la tristesse, la colère, la jalousie... Ce sont des émotions inconfortables, souvent chargées d'énergie, qui nous bousculent ou nous submergent : est-ce cela que les religions considèrent comme de mauvaises tendances ?
Si l'on se tourne vers la science, on apprend que la nature a façonné chaque espèce animale par le jeu de la sélection naturelle, et que si les émotions existent, aussi bien dans le règne animal que chez l'être humain, c'est qu'elles doivent bien nous aider à survivre.
Il est clair que nous ne choisissons pas nos émotions, elles se déclenchent spontanément. Personne ne programme à l'avance sa colère ou sa peur, personne ne dit « demain, à 10 H 35, je vais me mettre en colère ». Dans ces conditions si je suis intellectuellement honnête, je suis bien obligé de reconnaitre que quand quelqu'un est en colère contre moi, ou jaloux de moi, c'est qu'il ne l'a pas choisi.
Ce que je viens de dire tout le monde le sait, et pourtant nous l'oublions lorsque quelqu'un nous agresse. Nous oublions que l'autre agit sous l'influence d'émotions qu'il ne contrôle pas, en vérité c'est plutôt l'inverse, ce sont elles qui le contrôlent. Si nous étions conscients de cela, nous chercherions à l'aider au lieu de le combattre. Mais nous sommes tellement persuadés que chacun est libre !
La liberté de l'être humain, a été largement idéalisée par la religion et la philosophie. L'erreur a été de nous faire croire que nous sommes tous à la hauteur des grands penseurs et des grands prophètes, qui ont longuement médité, ou sont allés longuement s'isoler dans le désert ou en forêt, avant d'arriver à une telle sagesse.
Si celui qui nous a offensé était à la hauteur d'un prophète comme Jésus, il y aurait du soucis à se faire. Mais la réalité est toute autre, le type qui se met en colère pour une place de parking, est juste un pauvre type, une marionnette inconsciente, momentanément victime de ses pulsions émotionnelles (un peu comme vous et moi sans doute).
La religion nous dit de pardonner, mais elle ne nous dit pas comment faire, alors généralement on n'y arrive pas, et on se culpabilise. Soyons clairs : pardonner à quelqu'un qui a fait exprès de vous offenser, relève d'une bien curieuse logique... A y réfléchir, c'est même une idée saugrenue.
En revanche, pardonner à quelqu'un qui n'est pas pleinement maître de lui, cela tombe sous le sens. La bible rapporte que sur la croix, Jésus a dit en parlant de ses bourreaux : «pardonnez leur Seigneur, car ils ne savent pas ce qu'ils font».
Aucune offense n'a jamais été commise en toute conscience et en toute liberté, voilà tout ce qu'il faut savoir pour pardonner.
Nous avons été créés par la nature, elle est autour de nous et elle est en nous, où elle s'exprime par différentes fonctions, y compris par la pensée : ce que nous décidons découle directement des lois de la nature.
J'observais récemment le vol des hirondelles au dessus d'un étang, elles étaient très nombreuses et ce qui était saisissant dans ce spectacle, c'est la perfection avec laquelle elles se croisaient en parfaite harmonie, sans le moindre heurt malgré leur nombre et leur vitesse. Pourtant il n'existe aucun code de la route chez les hirondelles !
Si nous avons un libre-arbitre, rien ne prouve qu'il puisse agir faux. La nature n'a jamais programmé une hirondelle pour agir faux, et créer un accident. Si nous avons un libre-arbitre, rien ne prouve qu'il puisse agir faux et vous pouvez donc vous pardonner vos erreurs : vous avez fait ce que vous pouviez avec les ressources que vous possédiez à ce moment-là.
Ce que je viens de dire, nous le savons tous. Et pourtant nous continuons de nous culpabiliser, car nous avons appris à le faire, à cause de cette foutue théorie du bien et du mal, qui imprègne encore nos esprits. Selon les religions judéo-chrétiennes, Dieu nous a créé à son image, sauf que lui est parfait et nous pas... une contradiction de plus ! Comment un Dieu de bonté et de perfection, aurait-il pu avoir l'idée saugrenue de nous affubler d'un libre-arbitre non fiable, malade ou patraque, qui de temps en temps décide de faire le mal ?
Je pense au contraire que notre libre-arbitre ne peut que nous aider, comme d'ailleurs tous les organes que la nature a placé en nous. Il ne peut que nous aider à choisir une voie d'harmonie. Tous les êtres humains ont le sens de la musique, même ceux qui n'ont jamais appris le solfège. Personne n'a en soi un organe qui l'invite à faire des fausses notes et le libre-arbitre, si tant est qu'il existe, ne peut que ressembler au sens de l'harmonie que chacun porte en soi.
La théorie du bien et du mal n'a qu'un seul avantage : elle donne le pouvoir de manipuler le petit peuple. Imaginez un roi, qui désire faire régner l'ordre dans son royaume. Il peut faire envoyer des militaires ou des policiers un peu partout dans le pays, pour surveiller les gens. Mais c'est une solution coûteuse. Et puis ces soldats pourraient un jour se retourner contre le roi, et faire un coup d'état.
Par contre, si le roi fait alliance avec les religieux et qu'ils concoctent ensemble une théorie manichéenne, alors tout rentre dans l'ordre. Ainsi de fil en aiguille, la théorie s'est peaufinée dans tous les royaumes, pour obtenir à peu près ceci :
Dieu est partout, il voit tout, et il est tout-puissant (plus sûr et moins cher que la vidéosurveillance)
on devient Roi uniquement par droit divin (ainsi pas de coup d'état possible)
le Roi est le chef suprême autant sur le plan matériel que dans le domaine du religieux
l'homme est censé être libre uniquement de faire ce qu'on lui dit
la loi est dictée par le roi, assisté des religieux
il n'y a qu'un seul Dieu (donc pas de contestation possible)
les prêtres sont les seuls habilités à faire le lien entre Dieu et vous (pas moyen de biaiser, vous devez passer par le chemin qu'on vous indique)
Ils n'avaient guère le choix. D'ailleurs ils n'ont pas tous joué le jeu. Jésus est l'exemple même de quelqu'un qui en son temps, s'est opposé bien des fois à l'arbitraire loi des religieux.
Ceux qui n'ont pas voulu jouer le jeu ont été éliminés, les autres ont été bien traités, bien nourris, ils se sont enrichis parfois, et sont remontés dans l'ordre social. Par exemple en France le clergé était appelé « la noblesse de robe » : la noblesse d'épée et la noblesse de robe, siégeaient côte à côte au parlement.
Il n'y avait pas le choix à l'époque, et sans doute qu'à leur place j'aurais fait pareil, et vous aussi vous auriez fait pareil.
La dure loi manichéenne est née à une époque très rude, avec des tensions entre d'une part les paysans, déjà sédentarisés, et d'autre part les éleveurs de troupeaux, encore nomades pour la plupart. La vie était rude et les pulsions fortes, notamment chez les bergers nomades, qui savaient adroitement égorger une bête et donc aussi un homme. Dans ce contexte tendu, il fallait que l'artisan ne se fasse pas voler le fruit de son travail, que le paysan ne se fasse pas piller sa récolte, et que les enfants puissent grandir sans que leur mère ne se fasse enlever par quelque bandit de passage. Bref, il fallait un minimum d'ordre pour que l'empire prospère, plutôt que de sombrer dans la famine ou dans la misère.
N'importe quel roi, dans une ambiance pareille, est obligé de faire peur pour régner. Sans vidéosurveillance, il fallait bien inventer le Dieu impitoyable de l'ancien testament, ainsi que l'enfer et le paradis, et un système de lois assez simple pour être compris de tous, comme les dix commandements. En 2012 avant Jésus Christ c'était compréhensible, et aujourd'hui ce que nous avons de mieux à faire, c'est de nous en défaire.
Beaucoup de souffrances proviennent des attentes que nous exprimons consciemment ou non, sous l'emprise de la pensée manichéenne. J'entends beaucoup de gens se plaindre du boulot qu'ils font, disant que c'est la pagaille, là où ils travaillent.
Parfois je leur dit : si ce n'était pas la pagaille, on n'aurait peut-être pas eu besoin de vous pour faire ce boulot... Non ? Sachez que par définition, vous êtes payés pour mettre de l'ordre là où vous êtes !
D'une manière générale, n'attendez pas pour aller bien, que tout aille bien autour de vous... Vous risqueriez d'attendre longtemps ! Faites un essai, arrivez avec enthousiasme, et voyez comment ça se passe. Il y a 2000 ans quelqu'un a dit : « Vous êtes une lumière dans les ténèbres ».
Et pourtant nous avons oublié. Nous nous attendons de la part de nos proches, à certains comportements précis, que nous estimons corrects et justes : et quand ils se conduisent autrement, nous sommes déçus. Or la notion du bien et du mal varie d'un individu à l'autre, et chaque fois que vous émettez un jugement sur ce que untel devrait faire, devrait penser, ou devrait ressentir, vous vous exposez à ce que quelqu'un d'autre émette un jugement contradictoire, alors commence une polémique sans fin.
En revanche si vous n'émettez aucune attente, en restant dans l'ouverture totale, il vous sera possible d'échapper à la déception...
La bonne nouvelle, c'est qu'on peut être à la fois dans l'ouverture et dans l'action. On peut manifester son désaccord, ou au moins exprimer les émotions que l'on ressent, durant l'action. Quand j'exprime une émotion, non pas pour en rejeter le tort sur l'autre mais pour le tenir au courant de ce qui se produit en moi, je n'offre pas de prise à la polémique. En fait, personne ne peut me dire : « non, ce n'est pas vrai, tu ne ressens pas cela ». C'est toute la différence entre le jugement et l'émotion : le jugement est dans la dualité du bien et du mal, tandis que l'émotion touche directement la faculté sensorielle de l'autre.
Je vois des gens qui souffrent des relations qu'ils ont avec leurs enfants. Ces parents aiment profondément leurs enfants, mais ils n'obtiennent pas en retour la reconnaissance à laquelle ils s'attendent : si seulement ils pouvaient jouer leur rôle de parents sans rien attendre en retour ! Les attentes que nous entretenons dans notre imagination, nous font tout simplement souffrir. Faisons les choses juste pour rendre à la vie ce qu'elle nous a donné, comme les plantes le font en jetant leurs graines dans le vent. Alors tout sera plus léger.
Nous avons besoin d'être aimés, et nous avons surtout besoin d'aimer. Lorsque nous nous focalisons sur « être aimé », nous sommes souvent frustrés car « être aimé » dépend avant tout des autres. Beaucoup de gens me disent qu'ils ont un sentiment de manque, une sorte de vide intérieur qu'ils comblent comme ils peuvent, par le tabac, l'alcool ou le grignotage. Mais de quel manque s'agit-il, si ce n'est un manque d'amour ?
L'amour, quand on n'en reçoit pas, on peut au moins en donner. On souffre du manque d'amour sans se rendre compte qu'aimer, fait encore plus de bien que d'être aimé. Et personne ne peut nous en empêcher.
Un père ou une mère qui aime son enfant, comble un vide dans son cœur même s'il n'y a pas réciprocité. Planter un arbre, est toujours un moment émouvant, même si on ne sait pas vraiment s'il poussera, ni à quoi il ressemblera.
A l'échelle de la société il le faut bien, dans la mesure où il y a des règles à faire respecter, comme par exemple le code de la route. Mais on pourrait sanctionner les écarts de conduite sans pour autant alourdir la sanction, du poids fastidieux de la culpabilité, en fait, le poids de morale manichéenne.
Car on retrouve jusque dans le vocabulaire juridique, les traces de notre vieille civilisation manichéenne : ne parle-t-on pas de plaider coupable ou non coupable? Les juges d'aujourd'hui, surtout s'ils sont athées, ne se reconnaissent pas dans cette vision des choses, ne voulant pas punir par stricte observance d'une morale religieuse.
Nous sommes dans une phase de changement de paradigme, autrefois la justice s'exerçait par analogie avec la morale religieuse, et c'est peut-être encore le cas dans les pays anglo-saxons. Mais de plus en plus, nous allons être amenés à trouver des bases laïques solides, permettant l'application de la justice. En attendant la confusion règne, certains juges répugnent à sanctionner des fautes pourtant graves, ne comprenant pas clairement qu'ils sont au service de la sécurité du citoyen.
En démocratie on ne peut pas juger un crime avant qu'il ait eu lieu, et ensuite, une fois que le crime a été commis, aucune décision judiciaire ne peut ramener la victime à la vie. Quelle est donc la justification de la sanction, si ce n'est de faire peur, afin d'éviter que de nouveaux délits soient commis ? La peur du gendarme, ou du radar à l’affût sur la route, fonctionne très bien avec nous, lorsque nous sommes au volant... Pourquoi chercher plus compliqué : même si le mot n'est plus à la mode, la justice a pour rôle de faire de temps en temps un exemple.
C'est pourquoi je dirais qu'il ne faut pas véritablement punir (car cela implique un jugement moral de type manichéen ou religieux) mais plutôt sanctionner, le seul but de l'institution judiciaire étant d'éviter la récidive.
Idéalement le meilleur juge est celui qui, appliquant les peines les plus légères possibles, parvient néanmoins à éviter la récidive. Etablie sur ces bases là, une traçabilité informatique des jugements pourrait permettre d'établir quels sont les juges les plus méritants, afin de leur accorder des primes ou des promotions, à la hauteur de leur savoir faire.
Vous voyez que je ne prêche pas le laxisme. On peut aimer une personne et être exigeant à propos de son comportement : c'est ce que je propose de faire.
En résumé, quels sont idées à retenir de cette discussion?
nous ne choisissons pas nos émotions, elles se déclenchent spontanément
les personnes qui vous ont offensé n'étaient pas en état de pleine conscience, mais sous l'emprise de leurs émotions
nos souffrances sentimentales sont la conséquence de nos déceptions, et proviennent des attentes que nous entretenons, à propos de ce que les autres devraient faire...
Si seulement nous pouvions nous rappeler que les autres, tout comme nous, sont victimes de leurs émotions, alors nous chercherions à les aider, au lieu de leur en vouloir
Quand on émet un jugement, on s'expose à un jugement contraire. Tandis que quand on exprime une émotion, elle touche directement les gens
On peut aimer une personne, et être exigeant à propos de son comportement
On ne doit pas punir la personne, mais sanctionner son comportement
Aimer, est plus important que d'être aimé
n'attendez pas que tout aille bien autour de vous, pour aller bien vous-même !
Voilà les principales idées à retenir, mais la liste n'est peut-être pas terminée et puis, ce ne sont pas des vérités absolues. Ce ne sont pas des principes gravés dans le marbre, mais plutôt des idées à tester. Nous les avons commentées mais voyez si elles vous réussissent, et l'expérience dira si ce sont des croyances porteuses, des repères utiles pour la suite de notre évolution. Une dernière question ?
Oui... en effet... j'ai la chance de l'être encore après tout ce que j'ai entendu...
Mais seul celui qui n'a jamais pris le temps de s'allonger le soir sous la voute étoilée, et de se sentir tout petit, peut imaginer qu'il n'existe pas dans le cosmos, une intelligence supérieure à celle de l'homme...
Avec plaisir.
Commentaires bienvenus
Bonsoir à Tou(te)s
Bon !
Moi, je ne suis pas philosophe , mais je ne suis pas anonyme, et, qu'est ce que je rigole !!
J'ai pris le temps de m'allonger sous la voute étoilée, et ceci m'a donné la chance de ne plus être prisonnier de mysticismes.
Beaucoup de choses intéressantes dans le résumé.
Certaines très intéressantes comme :
"nous ne choisissons pas nos émotions, elles se déclenchent spontanément".
Oui, et après 2/10° de seconde j'en fait ce que je veux.
"Quand on émet un jugement, on s'expose à un jugement contraire. Tandis que quand on exprime une émotion, elle touche directement les gens".
Tout à fait. Mais, pour exprimer une émotion, ne faut il pas, préalablement, avoir fait référence aux nos valeurs, car sans valeurs, pas d'émotions; avoir fait passer le ressenti par le cerveau !?
Ce qui implique un jugement !
Et il est de la 1° ou de la 2° intention !? en langage toltèque.
" On ne doit pas punir la personne, mais sanctionner son comportement
Aimer, est plus important que d'être aimé"
Ca c'est très beau ! C'est mon jugement !
Sans être philosophe, mais élève de Diogène, je le formulerais différemment :
"Je ne juge jamais la personne, mais je juge, selon mes valeurs, son comportement".
Juger, est un mot que j'aime bien, car personne ne l'aime, c'est le constat que je fais, et, un constat, c'est plus beau, que jugement, et, pourtant, c'est sans appel !
Cependant, je lis, plus bas : " …ce ne sont pas des vérités absolues. Ce ne sont pas des principes gravés dans le marbre, mais plutôt des idées à tester".
Ah, mince alors, pas besoin de contester ou d'approuver, c'est du relatif, du subjectif !
Bonne idée d'être resté anonyme !
Je connais des philosophes, pas anonymes, beaucoup plus .. radicaux.
.. .C'était un test, pour voir si vous pouviez vivre sereinement, avec mes propos désagréables !
Ou, peut être pas !
… Je veux dire ... Vivre sereinement !
... ou que mes propos ne sont pas désagréables !
... En finalité attention aux jugements .. ils sont partout !!!
D | L | M | M | J | V | S |
---|---|---|---|---|---|---|
1 | 2 | |||||
3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 |
10 | 11 | 12 | 13 | 14 | 15 | 16 |
17 | 18 | 19 | 20 | 21 | 22 | 23 |
24 | 25 | 26 | 27 | 28 | 29 | 30 |
Pour ajouter un commentaire, vous devez être membre de ‘épanews’.
Rejoindre épanews (c'est gratuit)